mercredi 24 mai 2017

Projet Basta ! Pauline – texte 2

¿Paridas de una costilla?

YESSICA YOHANNA ZABALA HERNÁNDEZ

Durante todo el viaje de regreso a casa revoloteaba en mi mente esa maldita condena del Infierno, impuesta por la misma divinidad. ¿Cómo huir de las ataduras femeninas y demostrarme como ser amante, llena de deseos? Imagino romper la cadena del tiempo, aun cuando me creen débil. Aquí todos son dueños de las mujeres, por eso prefiero huir dentro de mí misma, bailo desnuda y mi alma está contenta, tranquila, feliz, y es desde allí donde miro el “yo” que el mundo engendró.

Traduction temporaire :

YESSICA YOHANNA ZABALA HERNÁNDEZ

Enfantées à partir d'une côte ?

Durant tout le voyage de retour à la maison, cette maudite condamnation à l'Enfer, imposée par la divinité elle-même, flottait dans mon esprit. Comment fuir les carcans féminins et me montrer amante, pleine de désir ? J'imagine briser la chaîne du temps, même quand ils me croient faible. Enfantées à partir d'une côte ? Ici, ils sont tous propriétaires des femmes. Voilà pourquoi je préfère fuir en moi-même. Je danse nue et mon âme est contente, tranquille, heureuse et c'est de là que je regarde le "moi" que le monde a engendré.

25 commentaires:

Unknown a dit…

¿Paridas de una costilla?

YESSICA YOHANNA ZABALA HERNÁNDEZ

Durante todo el viaje de regreso a casa revoloteaba en mi mente esa maldita condena del Infierno, impuesta por la misma divinidad. ¿Cómo huir de las ataduras femeninas y demostrarme como ser amante, llena de deseos? Imagino romper la cadena del tiempo, aun cuando me creen débil. Aquí todos son dueños de las mujeres, por eso prefiero huir dentro de mí misma, bailo desnuda y mi alma está contenta, tranquila, feliz, y es desde allí donde miro el “yo” que el mundo engendró.

Enfantée d'une côte ?

YESSICA YOHANNA ZABALA HERNÁNDEZ

Pendant tout le voyage du retour à la maison, flottait dans mon esprit cette condamnation à perpétuité de l'Enfer, infligée par la même divinité. Comment sortir des chaînes féminines et me montrer en amante, pleine de désir ? J'imagine arrêter le temps, même s'ils me croient faible. Ici, ils dominent tous les femmes, c'est pourquoi je préfère fuir en moi-même, je danse nue et mon âme est contente, tranquille, heureuse. Et c'est depuis là que je regarde le "moi" que le monde a engendré.

Tradabordo a dit…

Ne mettez que la première phrase. Comme je l'ai indiqué dans un post collectif adressé à l'équipe qui s'occupe de Basta ! Colombie, je ne peux commenter qu'un fragment à chaque fois… – cela me prend déjà entre 1 à 3 heures par jour, en moyenne.

Unknown a dit…

¿Paridas de una costilla?

YESSICA YOHANNA ZABALA HERNÁNDEZ

Durante todo el viaje de regreso a casa revoloteaba en mi mente esa maldita condena del Infierno, impuesta por la misma divinidad.


Enfantée d'une côte ?

YESSICA YOHANNA ZABALA HERNÁNDEZ

Pendant tout le voyage du retour à la maison, flottait dans mon esprit cette condamnation à perpétuité de l'Enfer, infligée par la même divinité.

Tradabordo a dit…

Je demande son avis à Elena.

Elena a dit…

Je paraphrase : Durant tout le voyage de retour à la maison, cette satanée/maudite condamnation en Enfer, imposée par la divinité même, flottait/tournait en rond dans mon esprit.

Unknown a dit…

¿Paridas de una costilla?

YESSICA YOHANNA ZABALA HERNÁNDEZ

Durante todo el viaje de regreso a casa revoloteaba en mi mente esa maldita condena del Infierno, impuesta por la misma divinidad. ¿Cómo huir de las ataduras femeninas y demostrarme como ser amante, llena de deseos? Imagino romper la cadena del tiempo, aun cuando me creen débil. Aquí todos son dueños de las mujeres, por eso prefiero huir dentro de mí misma, bailo desnuda y mi alma está contenta, tranquila, feliz, y es desde allí donde miro el “yo” que el mundo engendró.


Enfantée d'une côte ?

YESSICA YOHANNA ZABALA HERNÁNDEZ

Durant tout le voyage de retour à la maison, cette maudite condamnation à l'Enfer, imposée par la divinité même, flottait en rond dans mon esprit.

Tradabordo a dit…

N'OUBLIE PAS DE REMERCIER ELENA.

¿Paridas de una costilla?

YESSICA YOHANNA ZABALA HERNÁNDEZ

Durante todo el viaje de regreso a casa revoloteaba en mi mente esa maldita condena del Infierno, impuesta por la misma divinidad.

Enfantée [texte / grammaire] [cheville : « à partir » ? Je te laisse décider] d'une côte ?

YESSICA YOHANNA ZABALA HERNÁNDEZ

Durant tout le voyage de retour à la maison, cette maudite condamnation à l'Enfer, imposée par la divinité [« elle »] même, flottait en rond [mal dit] dans mon esprit.

Unknown a dit…

Oui bien sûr, merci Elena !

¿Paridas de una costilla?

YESSICA YOHANNA ZABALA HERNÁNDEZ

Durante todo el viaje de regreso a casa revoloteaba en mi mente esa maldita condena del Infierno, impuesta por la misma divinidad.

Enfantées, à partir d'une côte ?

YESSICA YOHANNA ZABALA HERNÁNDEZ

Durant tout le voyage de retour à la maison, cette maudite condamnation à l'Enfer, imposée par la divinité elle-même, flottait dans mon esprit.

Tradabordo a dit…


¿Paridas de una costilla?

YESSICA YOHANNA ZABALA HERNÁNDEZ

Durante todo el viaje de regreso a casa revoloteaba en mi mente esa maldita condena del Infierno, impuesta por la misma divinidad.

Enfantées, [j'hésite sur la virgule] à partir d'une côte ?

YESSICA YOHANNA ZABALA HERNÁNDEZ

Durant tout le voyage de retour à la maison, cette maudite condamnation à l'Enfer, imposée par la divinité elle-même, flottait [« tournait » ?] dans mon esprit.

Unknown a dit…

¿Paridas de una costilla?

YESSICA YOHANNA ZABALA HERNÁNDEZ

Durante todo el viaje de regreso a casa revoloteaba en mi mente esa maldita condena del Infierno, impuesta por la misma divinidad.

Enfantées à partir d'une côte ?

YESSICA YOHANNA ZABALA HERNÁNDEZ

Durant tout le voyage de retour à la maison, cette maudite condamnation à l'Enfer, imposée par la divinité elle-même, flottait dans mon esprit.

Tradabordo a dit…

¿Paridas de una costilla?

YESSICA YOHANNA ZABALA HERNÁNDEZ

Durante todo el viaje de regreso a casa revoloteaba en mi mente esa maldita condena del Infierno, impuesta por la misma divinidad.

Enfantées à partir d'une côte ?

YESSICA YOHANNA ZABALA HERNÁNDEZ

Durant tout le voyage de retour à la maison, cette maudite condamnation à l'Enfer, imposée par la divinité elle-même, flottait dans mon esprit.

OK.

Tu peux continuer.

Unknown a dit…

¿Cómo huir de las ataduras femeninas y demostrarme como ser amante, llena de deseos? Imagino romper la cadena del tiempo, aun cuando me creen débil.

Comment sortir des chaînes féminines et me dévoiler amante, pleine de désir ? J'imagine arrêter le temps, même s'ils me croient faible.

Tradabordo a dit…

¿Cómo huir de las ataduras femeninas y demostrarme como ser amante, llena de deseos? Imagino romper la cadena del tiempo, aun cuando me creen débil.

Comment sortir des [texte / bien plus fort en V.O. ; avec des histoires dures et des écritures très politisées comme ça, il ne faut pas ouater] chaînes féminines et me dévoiler amante [texte ?], pleine de désir ? J'imagine arrêter [pas ce que dit la V.O.] le temps, même s'ils me [texte ?] croient faible.

Unknown a dit…

¿Cómo huir de las ataduras femeninas y demostrarme como ser amante, llena de deseos? Imagino romper la cadena del tiempo, aun cuando me creen débil.

Comment fuir des chaînes féminines et me monter en amante, pleine de désir ? J'imagine rompre la chaîne du temps, même quand ils me croient faible.

Tradabordo a dit…

¿Cómo huir de las ataduras femeninas y demostrarme como ser amante, llena de deseos? Imagino romper la cadena del tiempo, aun cuando me creen débil.

Comment fuir des [« les »] chaînes [inexact ?] féminines et me monter [texte] en amante, pleine de désir ? J'imagine rompre [il y a mieux ici] la chaîne du temps, même quand ils me croient faible.

Unknown a dit…

¿Cómo huir de las ataduras femeninas y demostrarme como ser amante, llena de deseos? Imagino romper la cadena del tiempo, aun cuando me creen débil.

Comment fuir les carcans féminins et me montrer amante, pleine de désir ? J'imagine arrêter la chaîne du temps, même quand ils me croient faible.

Tradabordo a dit…

¿Cómo huir de las ataduras femeninas y demostrarme como ser amante, llena de deseos? Imagino romper la cadena del tiempo, aun cuando me creen débil.

Comment fuir les carcans féminins et me montrer amante, pleine de désir ? J'imagine arrêter [« briser »] la chaîne du temps, même quand ils me croient faible.

Unknown a dit…

¿Cómo huir de las ataduras femeninas y demostrarme como ser amante, llena de deseos? Imagino romper la cadena del tiempo, aun cuando me creen débil.

Comment fuir les carcans féminins et me montrer amante, pleine de désir ? J'imagine briser la chaîne du temps, même quand ils me croient faible.

Tradabordo a dit…

¿Cómo huir de las ataduras femeninas y demostrarme como ser amante, llena de deseos? Imagino romper la cadena del tiempo, aun cuando me creen débil.

Comment fuir les carcans féminins et me montrer amante, pleine de désir ? J'imagine briser la chaîne du temps, même quand ils me croient faible.

OK.

Unknown a dit…


¿Paridas de una costilla?

YESSICA YOHANNA ZABALA HERNÁNDEZ

Durante todo el viaje de regreso a casa revoloteaba en mi mente esa maldita condena del Infierno, impuesta por la misma divinidad. ¿Cómo huir de las ataduras femeninas y demostrarme como ser amante, llena de deseos? Imagino romper la cadena del tiempo, aun cuando me creen débil. Aquí todos son dueños de las mujeres, por eso prefiero huir dentro de mí misma, bailo desnuda y mi alma está contenta, tranquila, feliz, y es desde allí donde miro el “yo” que el mundo engendró.

Enfantées à partir d'une côte ?

YESSICA YOHANNA ZABALA HERNÁNDEZ

Durant tout le voyage de retour à la maison, cette maudite condamnation à l'Enfer, imposée par la divinité elle-même, flottait dans mon esprit. Comment fuir les carcans féminins et me montrer amante, pleine de désir ? J'imagine briser la chaîne du temps, même quand ils me croient faible. Ici, ils dominent tous les femmes, c'est pourquoi je préfère fuir en moi-même. Je danse nue et mon âme est contente, tranquille, heureuse et c'est de là que je regarde le "moi" que le monde a engendré.

Tradabordo a dit…

Enfantées à partir d'une côte ?

YESSICA YOHANNA ZABALA HERNÁNDEZ

Durant tout le voyage de retour à la maison, cette maudite condamnation à l'Enfer, imposée par la divinité elle-même, flottait dans mon esprit. Comment fuir les carcans féminins et me montrer amante, pleine de désir ? J'imagine briser la chaîne du temps, même quand ils me croient faible.

Aquí todos son dueños de las mujeres, por eso prefiero huir dentro de mí misma, bailo desnuda y mi alma está contenta, tranquila, feliz, y es desde allí donde miro el “yo” que el mundo engendró.

Ici, ils dominent tous les femmes [une solution plus près de la V.O. ?], [ponctuation ?] c'est [évite « c'est » ; tu en as mis un après] pourquoi je préfère fuir en moi-même. Je danse nue et mon âme est contente, tranquille, heureuse et c'est de là que je regarde le "moi" que le monde a engendré.

Unknown a dit…

Enfantées à partir d'une côte ?

YESSICA YOHANNA ZABALA HERNÁNDEZ

Durant tout le voyage de retour à la maison, cette maudite condamnation à l'Enfer, imposée par la divinité elle-même, flottait dans mon esprit. Comment fuir les carcans féminins et me montrer amante, pleine de désir ? J'imagine briser la chaîne du temps, même quand ils me croient faible.

Aquí todos son dueños de las mujeres, por eso prefiero huir dentro de mí misma, bailo desnuda y mi alma está contenta, tranquila, feliz, y es desde allí donde miro el “yo” que el mundo engendró.

Ici, ils sont tous propriétaires des femmes. Voilà pourquoi je préfère fuir en moi-même. Je danse nue et mon âme est contente, tranquille, heureuse et c'est de là que je regarde le "moi" que le monde a engendré.

Tradabordo a dit…

Enfantées à partir d'une côte ?

YESSICA YOHANNA ZABALA HERNÁNDEZ

Durant tout le voyage de retour à la maison, cette maudite condamnation à l'Enfer, imposée par la divinité elle-même, flottait dans mon esprit. Comment fuir les carcans féminins et me montrer amante, pleine de désir ? J'imagine briser la chaîne du temps, même quand ils me croient faible.

Aquí todos son dueños de las mujeres, por eso prefiero huir dentro de mí misma, bailo desnuda y mi alma está contenta, tranquila, feliz, y es desde allí donde miro el “yo” que el mundo engendró.

Ici, ils sont tous propriétaires des femmes. Voilà pourquoi je préfère fuir en moi-même. Je danse nue et mon âme est contente, tranquille, heureuse et c'est de là que je regarde le "moi" que le monde a engendré.

OK.

Unknown a dit…

Donc cette fois c'est bien terminé ?
Le texte va pouvoir être publié ?

Je n'ai pas encore eu le temps de finaliser L'Epouvantail mais je vais le faire dans les 3 jours à venir je pense...
Bon week-end !

Tradabordo a dit…

Oui, c'est bon.
Et prends ton temps pour relire, car plus tu le fais sérieusement, moins j'ai de travail après toi…