mardi 9 mai 2017

Projet Chloé T – phrases 4-7

Su mente se evade a aquella tarde en que observaba con sus hermanos las figuras que dibujaban las avedetrueno con sus estelas de nubes. El pasto olía a estiércol y primavera, y ellos soñaban con ser ricos y salir del pueblo, poder viajar y ver el mundo. Entonces escucharon una música distorsionada que venía de lejos, y se levantaron con curiosidad. Corrieron por los campos, espantando a las manadas de cabras y alpacas con sus juegos, y ayudando al más pequeño a saltar los muretes de piedra y yedra que cercaban las parcelas.

Traduction temporaire :
Son esprit s’évade vers cette après-midi au cours de laquelle, avec ses frères, elle observait les figures que dessinaient les oiseaux-tonnerre avec leurs traînées de nuages. Le fourrage sentait le fumier et le printemps ; eux, ils rêvaient d’être riches et partir du village, de pouvoir voyager et voir le monde. Ils entendirent alors une musique distordue qui venait de loin, et se levèrent avec curiosité. Ils coururent dans les champs, effrayant les troupeaux de chèvres et d’alpagas avec leurs jeux, et aidant le plus petit à sauter par-dessus les murets en pierre recouverts de lierre qui entouraient les parcelles.

6 commentaires:

Mme B. a dit…

Su mente se evade a aquella tarde en que observaba con sus hermanos las figuras que dibujaban las avedetrueno con sus estelas de nubes. El pasto olía a estiércol y primavera, y ellos soñaban con ser ricos y salir del pueblo, poder viajar y ver el mundo. Entonces escucharon una música distorsionada que venía de lejos, y se levantaron con curiosidad. Corrieron por los campos, espantando a las manadas de cabras y alpacas con sus juegos, y ayudando al más pequeño a saltar los muretes de piedra y yedra que cercaban las parcelas.

Son esprit s’évade vers cette après-midi pendant laquelle, avec ses frères, elle observait les figures que dessinaient les oiseaux-tonnerre avec leurs traînées de nuages. Le fourrage sentait le fumier et le printemps ; ils rêvaient d’être riches et sortir du village, pouvoir voyager et voir le monde. Ils entendirent alors une musique déformée qui venait de loin, et se levèrent avec curiosité. Ils coururent dans les champs, effrayant les troupeaux de chèvres et d’alpagas avec leurs jeux et aidant le plus petit à sauter par-dessus les murets en pierre recouverts de lierre qui entouraient les parcelles.

Tradabordo a dit…

Son esprit s’évade vers cette après-midi pendant [ou : « au cours de » ?] laquelle, avec ses frères, elle observait les figures que dessinaient les oiseaux-tonnerre avec leurs traînées de nuages [ou avec l'adjectif ? J'hésite… Je te laisse trancher]. Le fourrage sentait le fumier et le printemps ; [cheville : « eux, » ou inutile ?] ils rêvaient d’être riches et sortir [mal dit] du village, [« de » ?] pouvoir voyager et voir le monde. Ils entendirent alors une musique déformée [texte ?] qui venait de loin, et se levèrent avec curiosité. Ils coururent dans les champs, effrayant les troupeaux de chèvres et d’alpagas avec leurs jeux [virgule] et aidant le plus petit à sauter par-dessus les murets en pierre recouverts de lierre qui entouraient les parcelles.

Mme B. a dit…

Son esprit s’évade vers cette après-midi au cours de laquelle, avec ses frères, elle observait les figures que dessinaient les oiseaux-tonnerre avec leurs traînées de nuages. Le fourrage sentait le fumier et le printemps ; eux, ils rêvaient d’être riches et partir du village, de pouvoir voyager et voir le monde. Ils entendirent alors une musique déformée [texte ? // c’est que « distorsionnée » n’existe pas en français…] qui venait de loin, et se levèrent avec curiosité. Ils coururent dans les champs, effrayant les troupeaux de chèvres et d’alpagas avec leurs jeux, et aidant le plus petit à sauter par-dessus les murets en pierre recouverts de lierre qui entouraient les parcelles.

Tradabordo a dit…

Son esprit s’évade vers cette après-midi au cours de laquelle, avec ses frères, elle observait les figures que dessinaient les oiseaux-tonnerre avec leurs traînées de nuages. Le fourrage sentait le fumier et le printemps ; eux, ils rêvaient d’être riches et partir du village, de pouvoir voyager et voir le monde. Ils entendirent alors une musique déformée [texte ? // c’est que « distorsionnée » n’existe pas en français… ; pas qqchose de proche ?] qui venait de loin, et se levèrent avec curiosité. Ils coururent dans les champs, effrayant les troupeaux de chèvres et d’alpagas avec leurs jeux, et aidant le plus petit à sauter par-dessus les murets en pierre recouverts de lierre qui entouraient les parcelles.

Mme B. a dit…

Son esprit s’évade vers cette après-midi au cours de laquelle, avec ses frères, elle observait les figures que dessinaient les oiseaux-tonnerre avec leurs traînées de nuages. Le fourrage sentait le fumier et le printemps ; eux, ils rêvaient d’être riches et partir du village, de pouvoir voyager et voir le monde. Ils entendirent alors une musique distordue qui venait de loin, et se levèrent avec curiosité. Ils coururent dans les champs, effrayant les troupeaux de chèvres et d’alpagas avec leurs jeux, et aidant le plus petit à sauter par-dessus les murets en pierre recouverts de lierre qui entouraient les parcelles.

Tradabordo a dit…

Son esprit s’évade vers cette après-midi au cours de laquelle, avec ses frères, elle observait les figures que dessinaient les oiseaux-tonnerre avec leurs traînées de nuages. Le fourrage sentait le fumier et le printemps ; eux, ils rêvaient d’être riches et partir du village, de pouvoir voyager et voir le monde. Ils entendirent alors une musique distordue qui venait de loin, et se levèrent avec curiosité. Ils coururent dans les champs, effrayant les troupeaux de chèvres et d’alpagas avec leurs jeux, et aidant le plus petit à sauter par-dessus les murets en pierre recouverts de lierre qui entouraient les parcelles.

OK.