lundi 28 octobre 2013

Projet Morgane – phrases 28-30

Mauro, por su parte, aun vivía la literatura gracias al diario de Rebeca. Pero detestaba en ella esos arranques raros, incongruentes; él prefería en la vida los hechos prácticos. Por eso ahora, mirando a su esposa, hizo otro esfuerzo por comprender.

Traduction temporaire :
Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebeca. Mais il détestait quand elle avait ces crises étranges, incongrues ; lui, dans la vie, il préférait les faits concrets. Voilà pourquoi, à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit de nouveau un effort pour comprendre.

17 commentaires:

Unknown a dit…

Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebecca. Mais il lui détestait ces accés de colère étranges, incongrus; lui, dans la vie, préférait les faits concrets. C'est pour cela qu'à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit à nouveau un effort pour comprendre.

Tradabordo a dit…

Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebecca. Mais il lui [incorrect] détestait ces accés [accent !] de colère [pas ce que dit la V.O.] étranges, incongrus[espace avant les points-virgules / merci d'en tenir compte une fois pour toutes]; lui, dans la vie, [« il »] préférait les faits concrets. C'est pour cela [ou « Voilà pourquoi » ? Comme tu veux…] qu'à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit à [« de »] nouveau un effort pour comprendre.

Unknown a dit…

Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebecca. Mais il détestait chez elle ces crises étranges, incongrues ; lui, dans la vie, il préférait les faits concrets. Voilà pourquoi, à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit de nouveau un effort pour comprendre.

Tradabordo a dit…

Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebecca [orthographe]. Mais il détestait chez elle [bof…] ces crises étranges, incongrues ; lui, dans la vie, il préférait les faits concrets. Voilà pourquoi, à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit de nouveau un effort pour comprendre.

Unknown a dit…

Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebecca. Mais il détestait ces crises étranges, incongrues qu'elle faisait ; lui, dans la vie, il préférait les faits concrets. Voilà pourquoi, à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit de nouveau un effort pour comprendre.

[Orthographe? Je ne comprends pas. S'agit-il de l'orthographe du prénom ?]

Tradabordo a dit…

Un seul « C » en espagnol.

Unknown a dit…

Mais un "C" a été rajouté depuis le début en français. Je suis restée cohérente avec ce qui a été fait.

Tradabordo a dit…

Ça veut dire que je ne l'ai pas vu avant… Mettre un deuxième ça, le « franciser » et donc le traduire. Est-ce que tu traduis María ?

Unknown a dit…

Non je ne le traduirais pas. C'est une erreur de ma part, depuis le début.

Unknown a dit…

Souhaitez-vous que je reprenne le texte depuis le début en corrigeant cette erreur et que je vous le renvoie?

Tradabordo a dit…

Non… Tu ne notes et tu le changeras au moment de tes relectures. Mais n'oublie pas.

Et là, donc, remets-moi la phrase correcte…

Unknown a dit…

Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebeca. Mais il détestait ces crises étranges, incongrues qu'elle faisait ; lui, dans la vie, il préférait les faits concrets. Voilà pourquoi, à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit de nouveau un effort pour comprendre.

Tradabordo a dit…

Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebeca. Mais il détestait ces crises étranges, incongrues qu'elle faisait [??????? Gros pb de syntaxe ou de ponctuation… Il faut que tu travailles tes virgules] ; lui, dans la vie, il préférait les faits concrets. Voilà pourquoi, à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit de nouveau un effort pour comprendre.

Unknown a dit…

Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebeca. Mais il détestait quand elle piquait ces crises étranges, incongrues ; lui, dans la vie, il préférait les faits concrets. Voilà pourquoi, à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit de nouveau un effort pour comprendre.

Tradabordo a dit…

Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebeca. Mais il détestait quand elle piquait [« avait », sera plus neutre] ces crises étranges, incongrues ; lui, dans la vie, il préférait les faits concrets. Voilà pourquoi, à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit de nouveau un effort pour comprendre.

Unknown a dit…

Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebeca. Mais il détestait quand elle avait ces crises étranges, incongrues ; lui, dans la vie, il préférait les faits concrets. Voilà pourquoi, à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit de nouveau un effort pour comprendre.

Tradabordo a dit…

Pour sa part, Mauro vivait toujours la littérature grâce au journal de Rebeca. Mais il détestait quand elle avait ces crises étranges, incongrues ; lui, dans la vie, il préférait les faits concrets. Voilà pourquoi, à ce moment-là, en regardant sa femme, il fit de nouveau un effort pour comprendre.

OK.