lundi 28 octobre 2013

Projet Sabrina 2 – phrase 10

La melodía sigue rodando sobre los labios mayores de la noche, en esa hora ambigua que no está ni en el útero de la negrura, ni entre los pelirrojos vellos púbicos del crepúsculo, esa extraña hora en que los de mi oficina van a casa y yo me quedo un rato más sobre mi castillo, mi oficina, mi palacio.

Traduction temporaire :
La mélodie se propage toujours sur les grandes lèvres de la nuit, à cette heure ambiguë qui n'est ni dans l'utérus de la noirceur, ni dans la rousse toison pubienne du crépuscule ; cette heure étrange où mes collègues rentrent chez eux et où moi, je reste un moment encore sur mon château, mon bureau, mon palais.

6 commentaires:

Sabrina a dit…

Pour "los pelirrojos vellos", j'avais pensé à traduire par "toison d'or" mais sans doute qu'en français, ça rajouterait une référence qui n'existe pas en espagnol.

La mélodie court toujours sur les grandes lèvres de la nuit, à cette heure ambigüe qui n'est ni dans l'utérus de la noirceur, ni dans la rousse toison pubienne du crépuscule, cette heure étrange où mes collègues rentrent chez eux et où moi, je reste un moment de plus sur mon château, mon bureau, mon palais.

Tradabordo a dit…

La mélodie court toujours sur les grandes lèvres [même sans avoir l'esprit mal tourné, est-ce que ça n'est pas bizarre ;-) ? Vois si tu as une autre solution… sinon, tant pis, on s'en tiendra à ça] de la nuit, à cette heure ambigüe [orthographe ? Vérifie] qui n'est ni dans l'utérus de la noirceur, ni dans la rousse toison pubienne du crépuscule, [point-virgule ? J'hésite…] cette heure étrange où mes collègues rentrent chez eux et où moi, je reste un moment de plus [bof] sur mon château, mon bureau, mon palais.

Sabrina a dit…

Ahahah!! C'est vrai ;)!
Dans une phrase précédente, j'avais proposé pour "Cuando rueda Dvorak", "Quand j'écoute Dvorak". Je te propose donc un truc sur le même modèle.

Merci pour m'avoir fait découvrir la véritable orthographe de "ambiguë" dis donc!!

Oui au point-virgule!

Les grandes lèvres de la nuit écoutent toujours cette mélodie, à cette heure ambiguë qui n'est ni dans l'utérus de la noirceur, ni dans la rousse toison pubienne du crépuscule ; cette heure étrange où mes collègues rentrent chez eux et où moi, je reste un moment encore sur mon château, mon bureau, mon palais.

Tradabordo a dit…

Les grandes lèvres de la nuit écoutent toujours cette mélodie, à cette heure ambiguë qui n'est ni dans l'utérus de la noirceur, ni dans la rousse toison pubienne du crépuscule ; cette heure étrange où mes collègues rentrent chez eux et où moi, je reste un moment encore sur mon château, mon bureau, mon palais.

Ah non… ne change pas la syntaxe ; reviens à la V.O.

Sabrina a dit…

La mélodie se propage toujours sur les grandes lèvres de la nuit, à cette heure ambiguë qui n'est ni dans l'utérus de la noirceur, ni dans la rousse toison pubienne du crépuscule ; cette heure étrange où mes collègues rentrent chez eux et où moi, je reste un moment encore sur mon château, mon bureau, mon palais.

Tradabordo a dit…

La mélodie se propage toujours sur les grandes lèvres de la nuit, à cette heure ambiguë qui n'est ni dans l'utérus de la noirceur, ni dans la rousse toison pubienne du crépuscule ; cette heure étrange où mes collègues rentrent chez eux et où moi, je reste un moment encore sur mon château, mon bureau, mon palais.

OK.