mardi 4 mars 2014

Projet Morgane 12 – phrases 15-17

Lo peor de todo es que Sherwood tiene razón. Me gusta jalar viendo cómo se deshiela esta ciudad y eso no ocurre con frecuencia. Hay algo de tosco y de encantador en estar torpe y eufórico mientras la nieve deja de impregnarse en las superficies y la blancura se difumina.

Traduction temporaire :
Le pire dans tout ça, c'est que Sherwood a raison. J'aime fumer en regardant de quelle façon cette capitale vit le dégel, or, cela n'arrive pas souvent. Il y a quelque chose de grossier et de charmant dans le fait d'être lent et euphorique pendant que la neige cesse d'imprégner les surfaces et que la blancheur s'estompe.

13 commentaires:

Unknown a dit…

Le pire dans tout ça, c'est que Sherwood a raison. J'aime fumer en regardant de quelle façon dégèle cette ville, et cela n'arrive pas souvent. Il y a quelque chose de rustre et de charmant dans le fait d'être lent et euphorique pendant que la neige cesse d'imprégner les surfaces et que la blancheur s'estompe.

Tradabordo a dit…

Le pire dans tout ça, c'est que Sherwood a raison. J'aime fumer en regardant de quelle façon dégèle cette ville [manque de naturel], et [« or » ?] cela n'arrive pas souvent. Il y a quelque chose de rustre et de charmant dans le fait d'être lent et euphorique pendant que la neige cesse d'imprégner les surfaces et que la blancheur s'estompe.

Unknown a dit…

Le pire dans tout ça, c'est que Sherwood a raison. J'aime fumer en regardant de quelle façon la neige fond sur cette ville, or, cela n'arrive pas souvent. Il y a quelque chose de rustre et de charmant dans le fait d'être lent et euphorique pendant que la neige cesse d'imprégner les surfaces et que la blancheur s'estompe.

Tradabordo a dit…

Le pire dans tout ça, c'est que Sherwood a raison. J'aime fumer en regardant de quelle façon la neige fond [je me demande si tu n'appauvris pas le style en t'éloignant de la ville // le verbe est intéressant en V.O., quand même] sur cette ville, or, cela n'arrive pas souvent. Il y a quelque chose de rustre [j'hésite] et de charmant dans le fait d'être lent et euphorique pendant que la neige cesse d'imprégner les surfaces et que la blancheur s'estompe.

Unknown a dit…

Le pire dans tout ça, c'est que Sherwood a raison. J'aime fumer en regardant de quelle façon cette ville dégèle, or, cela n'arrive pas souvent. Il y a quelque chose de grossier et de charmant dans le fait d'être lent et euphorique pendant que la neige cesse d'imprégner les surfaces et que la blancheur s'estompe.

Tradabordo a dit…

Le pire dans tout ça, c'est que Sherwood a raison. J'aime fumer en regardant de quelle façon cette ville dégèle [ou un truc comme « vit le dégel » ?], or, cela n'arrive pas souvent. Il y a quelque chose de grossier et de charmant dans le fait d'être lent et euphorique pendant que [ou « alors que » ? Comme tu veux] la neige cesse d'imprégner les surfaces et que la blancheur s'estompe.

Unknown a dit…

Le pire dans tout ça, c'est que Sherwood a raison. J'aime fumer en regardant de quelle façon cette ville vit le dégel, or, cela n'arrive pas souvent. Il y a quelque chose de grossier et de charmant dans le fait d'être lent et euphorique pendant que la neige cesse d'imprégner les surfaces et que la blancheur s'estompe.

Tradabordo a dit…

Le pire dans tout ça, c'est que Sherwood a raison. J'aime fumer en regardant de quelle façon cette ville vit [zut : pas génial « ville » / « vit » ; une solution ?] le dégel, or, cela n'arrive pas souvent. Il y a quelque chose de grossier et de charmant dans le fait d'être lent et euphorique pendant que la neige cesse d'imprégner les surfaces et que la blancheur s'estompe.

Unknown a dit…

Le pire dans tout ça, c'est que Sherwood a raison. J'aime fumer en regardant de quelle façon cette capitale vit le dégel, or, cela n'arrive pas souvent. Il y a quelque chose de grossier et de charmant dans le fait d'être lent et euphorique pendant que la neige cesse d'imprégner les surfaces et que la blancheur s'estompe.

Tradabordo a dit…

Le pire dans tout ça, c'est que Sherwood a raison. J'aime fumer en regardant de quelle façon cette capitale vit le dégel, or, cela n'arrive pas souvent. Il y a quelque chose de grossier et de charmant dans le fait d'être lent et euphorique pendant que la neige cesse d'imprégner les surfaces et que la blancheur s'estompe.

OK.

Tradabordo a dit…

Attends : « capitale ou cité » ?

Unknown a dit…

Le pire dans tout ça, c'est que Sherwood a raison. J'aime fumer en regardant de quelle façon cette capitale vit le dégel, or, cela n'arrive pas souvent. Il y a quelque chose de grossier et de charmant dans le fait d'être lent et euphorique pendant que la neige cesse d'imprégner les surfaces et que la blancheur s'estompe.

[ J'ai pas mal hésité en vous le proposant la première fois et j'ai finalement opté pour "capitale" ]

Tradabordo a dit…

Le pire dans tout ça, c'est que Sherwood a raison. J'aime fumer en regardant de quelle façon cette capitale vit le dégel, or, cela n'arrive pas souvent. Il y a quelque chose de grossier et de charmant dans le fait d'être lent et euphorique pendant que la neige cesse d'imprégner les surfaces et que la blancheur s'estompe.

OK.