vendredi 19 août 2016

Projet Elena 13 – phrases 64-71

Un golpe en la mejilla. Hora de visitas, felicidad. No puedo ni quiero abrir los párpados, cuesta cuando me animo, la oscuridad nos entrena a vivir con los ojos cerrados, somos topos, todos topos nerviosos, esa hora de luz que nos toca más vale tenerlos cerrados. No quiero enceguecerme más, mas no hay otra salida si veintitrés de veinticuatro. Algún día seré como las garrapatas de Malhado, me dejaré guiar por el calor de los bodis cercanos, la sangre caliente será mi refugio, treinta y siete es el número mágico. El interrogador ha venido a visitarme. Tanta deferencia con una pobre presa. Me pide que le cuente mi historia una vez más.

Traduction temporaire :
Une tape sur la joue. Horaire des visites, joie. Je ne peux ni ne veux ouvrir les paupières, j'ai du mal lorsque j'essaie, l'obscurité nous habitue à vivre avec les yeux fermés, nous sommes des taupes excitées, durant la seule heure de lumière autorisée, il vaut mieux les laisser fermés. Je ne veux pas devenir encore plus aveugle, or, si c'est le cas pour vingt-trois sur vingt-quatre, pas d'autre issue. Un jour, je serai comme les tiques de Malhado, je me laisserai guider par la chaleur des bodis à proximité, le sang chaud sera mon refuge, trente-sept est le chiffre magique. L'interrogateur est venu me rendre visite. Autant de bienveillance à l'égard d'une simple prisonnière. Il me demande de lui raconter de nouveau mon histoire.

7 commentaires:

Elena a dit…

Un golpe en la mejilla. Hora de visitas, felicidad.
Une tape sur la joue. Horaire des visites, la joie.

No puedo ni quiero abrir los párpados, cuesta cuando me animo, la oscuridad nos entrena a vivir con los ojos cerrados, somos topos, todos topos nerviosos, esa hora de luz que nos toca más vale tenerlos cerrados.
Je ne peux ni ne veux ouvrir mes paupières, j'ai du mal lorsque j'essaye, l'obscurité nous habitue à vivre avec les yeux fermés, nous sommes des taupes énervées, durant la seule heure de lumière accordée, il vaut mieux les laisser fermés.

No quiero enceguecerme más, mas no hay otra salida si veintitrés de veinticuatro.
Je ne veux pas devenir encore plus aveugle, or pas d'autre issue si vingt-trois sur vingt-quatre le deviennent.

Algún día seré como las garrapatas de Malhado, me dejaré guiar por el calor de los bodis cercanos, la sangre caliente será mi refugio, treinta y siete es el número mágico. El interrogador ha venido a visitarme.
Un jour, je serai comme les tiques de Malhado, je me laisserai guider par la chaleur des bodis à l'approche, le sang chaud sera mon refuge, trente-sept est le chiffre magique. L'interrogateur est venu me rendre visite.


Tanta deferencia con una pobre presa. Me pide que le cuente mi historia una vez más.
Autant de bienveillance à l'égard d'une simple prisonnière. Il me demande de lui raconter mon histoire de nouveau.

Tradabordo a dit…

Un golpe en la mejilla. Hora de visitas, felicidad.
Une tape sur la joue. Horaire des visites, la [nécessaire ?] joie.

No puedo ni quiero abrir los párpados, cuesta cuando me animo, la oscuridad nos entrena a vivir con los ojos cerrados, somos topos, todos topos nerviosos, esa hora de luz que nos toca más vale tenerlos cerrados.
Je ne peux ni ne veux ouvrir mes [pas de possessif] paupières, j'ai du mal lorsque j'essaye [« essaie »], l'obscurité nous habitue à vivre avec les yeux fermés, nous sommes des taupes énervées [« nerveuses » ?], durant la seule heure de lumière accordée [bof], il vaut mieux les laisser fermés.

No quiero enceguecerme más, mas no hay otra salida si veintitrés de veinticuatro.
Je ne veux pas devenir encore plus aveugle, or [virgule] pas d'autre issue si vingt-trois sur vingt-quatre le deviennent [passe par « si c'est le cas pour »].

Algún día seré como las garrapatas de Malhado, me dejaré guiar por el calor de los bodis cercanos, la sangre caliente será mi refugio, treinta y siete es el número mágico. El interrogador ha venido a visitarme.
Un jour, je serai comme les tiques de Malhado, je me laisserai guider par la chaleur des bodis à l'approche [non], le sang chaud sera mon refuge, trente-sept est le chiffre magique. L'interrogateur est venu me rendre visite.

Tanta deferencia con una pobre presa. Me pide que le cuente mi historia una vez más.
Autant de bienveillance à l'égard d'une simple prisonnière. Il me demande de lui raconter mon histoire de nouveau [avance-le].

Elena a dit…

Un golpe en la mejilla. Hora de visitas, felicidad.
Une tape sur la joue. Horaire des visites, joie.

No puedo ni quiero abrir los párpados, cuesta cuando me animo, la oscuridad nos entrena a vivir con los ojos cerrados, somos topos, todos topos nerviosos, esa hora de luz que nos toca más vale tenerlos cerrados.
Je ne peux ni ne veux ouvrir les paupières, j'ai du mal lorsque j'essaie, l'obscurité nous habitue à vivre avec les yeux fermés, nous sommes des taupes nerveuses [" excitées » ?], durant la seule heure de lumière autorisée, il vaut mieux les laisser fermés.

No quiero enceguecerme más, mas no hay otra salida si veintitrés de veinticuatro.
Je ne veux pas devenir encore plus aveugle, or, si c'est le cas pour vingt-trois sur vingt-quatre, pas d'autre issue.

Algún día seré como las garrapatas de Malhado, me dejaré guiar por el calor de los bodis cercanos, la sangre caliente será mi refugio, treinta y siete es el número mágico. El interrogador ha venido a visitarme.
Un jour, je serai comme les tiques de Malhado, je me laisserai guider par la chaleur des bodis autour, le sang chaud sera mon refuge, trente-sept est le chiffre magique. L'interrogateur est venu me rendre visite.

Tanta deferencia con una pobre presa. Me pide que le cuente mi historia una vez más.
Autant de bienveillance à l'égard d'une simple prisonnière. Il me demande de lui raconter de nouveau mon histoire.

Tradabordo a dit…

Un golpe en la mejilla. Hora de visitas, felicidad.
Une tape [au fait, pas plus fort en V.O. ? « coup » ?] sur la joue. Horaire des visites, joie.

No puedo ni quiero abrir los párpados, cuesta cuando me animo, la oscuridad nos entrena a vivir con los ojos cerrados, somos topos, todos topos nerviosos, esa hora de luz que nos toca más vale tenerlos cerrados.
Je ne peux ni ne veux ouvrir les paupières, j'ai du mal lorsque j'essaie, l'obscurité nous habitue à vivre avec les yeux fermés, nous sommes des taupes nerveuses [" excitées » ? OK], durant la seule heure de lumière autorisée, il vaut mieux les laisser fermés.

Je ne veux pas devenir encore plus aveugle, or, si c'est le cas pour vingt-trois sur vingt-quatre, pas d'autre issue.

Algún día seré como las garrapatas de Malhado, me dejaré guiar por el calor de los bodis cercanos, la sangre caliente será mi refugio, treinta y siete es el número mágico. El interrogador ha venido a visitarme.
Un jour, je serai comme les tiques de Malhado, je me laisserai guider par la chaleur des bodis autour [« à côté » / « proches » ?], le sang chaud sera mon refuge, trente-sept est le chiffre magique. L'interrogateur est venu me rendre visite.

Autant de bienveillance à l'égard d'une simple prisonnière. Il me demande de lui raconter de nouveau mon histoire.

Elena a dit…

Un golpe en la mejilla. Hora de visitas, felicidad.
Une tape sur la joue. Horaire des visites, joie.

No puedo ni quiero abrir los párpados, cuesta cuando me animo, la oscuridad nos entrena a vivir con los ojos cerrados, somos topos, todos topos nerviosos, esa hora de luz que nos toca más vale tenerlos cerrados.
Je ne peux ni ne veux ouvrir les paupières, j'ai du mal lorsque j'essaie, l'obscurité nous habitue à vivre avec les yeux fermés, nous sommes des taupes excitées, durant la seule heure de lumière autorisée, il vaut mieux les laisser fermés.

Je ne veux pas devenir encore plus aveugle, or, si c'est le cas pour vingt-trois sur vingt-quatre, pas d'autre issue.

Algún día seré como las garrapatas de Malhado, me dejaré guiar por el calor de los bodis cercanos, la sangre caliente será mi refugio, treinta y siete es el número mágico. El interrogador ha venido a visitarme.
Un jour, je serai comme les tiques de Malhado, je me laisserai guider par la chaleur des bodis à proximité, le sang chaud sera mon refuge, trente-sept est le chiffre magique. L'interrogateur est venu me rendre visite.

Autant de bienveillance à l'égard d'une simple prisonnière. Il me demande de lui raconter de nouveau mon histoire.

Tradabordo a dit…

Une tape sur la joue. Horaire des visites, joie. Je ne peux ni ne veux ouvrir les paupières, j'ai du mal lorsque j'essaie, l'obscurité nous habitue à vivre avec les yeux fermés, nous sommes des taupes excitées, durant la seule heure de lumière autorisée, il vaut mieux les laisser fermés. Je ne veux pas devenir encore plus aveugle, or, si c'est le cas pour vingt-trois sur vingt-quatre, pas d'autre issue. Un jour, je serai comme les tiques de Malhado, je me laisserai guider par la chaleur des bodis à proximité, le sang chaud sera mon refuge, trente-sept est le chiffre magique. L'interrogateur est venu me rendre visite. Autant de bienveillance à l'égard d'une simple prisonnière. Il me demande de lui raconter de nouveau mon histoire.

OK.

Elena a dit…

Le suite, stp. ;-)