samedi 20 août 2016

Projet Émilie 9 – phrases 40-47

Vacío completo en el salón limitado en cuadrángulo por varias filas de sillas. Luz y reflejos acuáticos en el parquet encerado. Me senté en un rincón esperando que las parejas de la terraza se hartaran de fresco y vinieran a romper el hielo relumbrante. Dos horas más tarde, siendo propicia la algazara, me acerqué a mi mascarita, nervioso en la indecisión de los primeros momentos. Pero todo se desvaneció en tranquilidad de ola rota cuando las primeras frases banales de encuentro nos encaminaron a la conversación. Inés no estaba elocuente contestaba con voz desconocida, bajo la máscara, los monosílabos obligatorios. Me explicaba perfectamente su estado, y lacerado por el silencio de su turbación, fui elocuente, apasionado, exigente, como con derechos ya adquiridos. Por fin, balbuceó frases de abandono, de consentimiento tímido.

Traduction temporaire :
Vide complet dans le salon auquel plusieurs rangées de chaises donnaient une forme quadrangulaire. Lumières et reflets aquatiques sur le parquet ciré.
Je m’assis dans un coin, espérant que les couples de la terrasse finiraient par se lasser de la fraîcheur et viendraient rompre la glace étincelante.
Deux heures plus tard, profitant du vacarme propice, je m’approchai de ma belle déguisée, avec la nervosité de l’indécision des premiers instants. Mais la tension se dissipa en un calme de vague brisée lorsque la banalité des premières phrases de rencontre nous mis sur les rails de la conversation.
Inès n’était pas éloquente ; sous son masque, elle prononçait d’une voix inconnue les monosyllabes obligatoires. Je m’expliquais parfaitement son état, et accablé par le silence de son trouble, je fus éloquent, passionné, exigeant, comme en terrain conquis.
Enfin, elle balbutia quelques phrases d’abandon, de timide consentement.

7 commentaires:

Emilie a dit…

Vide complet dans le salon limité en quadrangle par plusieurs rangées de chaises. Lumières et reflets aquatiques sur le parquet ciré.
Je m’assis dans un coin, espérant que les couples de la terrasse se lasseraient de la fraîcheur et viendraient rompre la glace étincelante.
Deux heures plus tard, profitant du vacarme propice, je m’approchai de ma déguisée, avec la nervosité de l’indécision des premiers instants. Mais la tension s’évanouit en calme de vague brisée lorsque la banalité des premières phrases de rencontre nous achemina vers la conversation.
Inès n’était pas éloquente ; sous son masque, elle prononçait d’une voix inconnue les monosyllabes obligatoires. Je m’expliquais parfaitement son état et, accablé par le silence de son trouble, je fus éloquent, passionné, exigeant, comme en terrain conquis.
Enfin, elle balbutia quelques phrases d’abandon, de timide consentement.

Tradabordo a dit…

Vide complet dans le salon limité en [clair ? Je me demande si c'est assez explicite…] quadrangle par plusieurs rangées de chaises. Lumières et reflets aquatiques sur le parquet ciré.
Je m’assis dans un coin, espérant que les couples de la terrasse se lasseraient [cheville : « finiraient par » ? Comme tu veux…] de la fraîcheur et viendraient rompre la glace étincelante.
Deux heures plus tard, profitant du vacarme propice, je m’approchai de ma déguisée [bof], avec la nervosité de l’indécision des premiers instants. Mais la tension s’évanouit [« dissiper » ?] en [« un » ?] calme de vague brisée lorsque la banalité des premières phrases de rencontre nous achemina vers [ou « mettre sur les rails de » ? Comme tu veux…] la conversation.
Inès n’était pas éloquente ; sous son masque, elle prononçait d’une voix inconnue les monosyllabes obligatoires. Je m’expliquais parfaitement son état [la virgule ici, plutôt ?] et, accablé par le silence de son trouble, je fus éloquent, passionné, exigeant, comme en terrain conquis.
Enfin, elle balbutia quelques phrases d’abandon, de timide consentement.

Emilie a dit…

Vide complet dans le salon rendu quadrangulaire [trop moche ?] par plusieurs rangées de chaises. Lumières et reflets aquatiques sur le parquet ciré.
Je m’assis dans un coin, espérant que les couples de la terrasse finiraient par se lasser de la fraîcheur et viendraient rompre la glace étincelante.
Deux heures plus tard, profitant du vacarme propice, je m’approchai de ma belle déguisée, avec la nervosité de l’indécision des premiers instants. Mais la tension se dissipa en un calme de vague brisée lorsque la banalité des premières phrases de rencontre nous mis sur les rails de la conversation.
Inès n’était pas éloquente ; sous son masque, elle prononçait d’une voix inconnue les monosyllabes obligatoires. Je m’expliquais parfaitement son état, et accablé par le silence de son trouble, je fus éloquent, passionné, exigeant, comme en terrain conquis.
Enfin, elle balbutia quelques phrases d’abandon, de timide consentement.

Tradabordo a dit…

Vide complet dans le salon rendu quadrangulaire [trop moche ? C'est surtout que je ne crois pas que tu rendes l'intégralité de la V.O.] par plusieurs rangées de chaises. Lumières et reflets aquatiques sur le parquet ciré.
Je m’assis dans un coin, espérant que les couples de la terrasse finiraient par se lasser de la fraîcheur et viendraient rompre la glace étincelante.
Deux heures plus tard, profitant du vacarme propice, je m’approchai de ma belle déguisée, avec la nervosité de l’indécision des premiers instants. Mais la tension se dissipa en un calme de vague brisée lorsque la banalité des premières phrases de rencontre nous mis sur les rails de la conversation.
Inès n’était pas éloquente ; sous son masque, elle prononçait d’une voix inconnue les monosyllabes obligatoires. Je m’expliquais parfaitement son état, et accablé par le silence de son trouble, je fus éloquent, passionné, exigeant, comme en terrain conquis.
Enfin, elle balbutia quelques phrases d’abandon, de timide consentement.

Emilie a dit…

Vide complet dans le salon auquel plusieurs rangées de chaises donnaient une forme quadrangulaire. Lumières et reflets aquatiques sur le parquet ciré.
Je m’assis dans un coin, espérant que les couples de la terrasse finiraient par se lasser de la fraîcheur et viendraient rompre la glace étincelante.
Deux heures plus tard, profitant du vacarme propice, je m’approchai de ma belle déguisée, avec la nervosité de l’indécision des premiers instants. Mais la tension se dissipa en un calme de vague brisée lorsque la banalité des premières phrases de rencontre nous mis sur les rails de la conversation.
Inès n’était pas éloquente ; sous son masque, elle prononçait d’une voix inconnue les monosyllabes obligatoires. Je m’expliquais parfaitement son état, et accablé par le silence de son trouble, je fus éloquent, passionné, exigeant, comme en terrain conquis.
Enfin, elle balbutia quelques phrases d’abandon, de timide consentement.

Emilie a dit…

Vide complet dans le salon auquel plusieurs rangées de chaises donnaient une forme quadrangulaire. Lumières et reflets aquatiques sur le parquet ciré.
Je m’assis dans un coin, espérant que les couples de la terrasse finiraient par se lasser de la fraîcheur et viendraient rompre la glace étincelante.
Deux heures plus tard, profitant du vacarme propice, je m’approchai de ma belle déguisée, avec la nervosité de l’indécision des premiers instants. Mais la tension se dissipa en un calme de vague brisée lorsque la banalité des premières phrases de rencontre nous mis sur les rails de la conversation.
Inès n’était pas éloquente ; sous son masque, elle prononçait d’une voix inconnue les monosyllabes obligatoires. Je m’expliquais parfaitement son état, et accablé par le silence de son trouble, je fus éloquent, passionné, exigeant, comme en terrain conquis.
Enfin, elle balbutia quelques phrases d’abandon, de timide consentement.

Tradabordo a dit…

Vide complet dans le salon auquel plusieurs rangées de chaises donnaient une forme quadrangulaire. Lumières et reflets aquatiques sur le parquet ciré.
Je m’assis dans un coin, espérant que les couples de la terrasse finiraient par se lasser de la fraîcheur et viendraient rompre la glace étincelante.
Deux heures plus tard, profitant du vacarme propice, je m’approchai de ma belle déguisée, avec la nervosité de l’indécision des premiers instants. Mais la tension se dissipa en un calme de vague brisée lorsque la banalité des premières phrases de rencontre nous mis sur les rails de la conversation.
Inès n’était pas éloquente ; sous son masque, elle prononçait d’une voix inconnue les monosyllabes obligatoires. Je m’expliquais parfaitement son état, et accablé par le silence de son trouble, je fus éloquent, passionné, exigeant, comme en terrain conquis.
Enfin, elle balbutia quelques phrases d’abandon, de timide consentement.

OK.