lundi 15 mai 2017

Projet Basta ! Sonita – texte 1

Cruce de miradas

ANGIE CAMARGO

No hubo gesto; me sentí miserable quizá como ella. Que te huelan, que se acerquen, que se suban y se bajen, pesados, malolientes, de toda clase. Ja, la vida fácil... Verlos con su deseo a flor de piel, buscando un poco de amor. Para unos y otras, perra; para otros y otras, princesa, hembra, hermosura, ricura, sucia, de aguante, callejera. Ella sentada en ese andén, yo de pasajera; apretada, muchas veces tocada y hasta humillada, encuentro un instante de conexión; en ese cruce de miradas entre las dos veo ese reflejo de humanidad que todos tenemos pero no vemos, no sentimos, lo dejamos olvidado en el bolsillo de la cotidianidad, del afán, del corre, corre... Parecerá extraño pero todo se detuvo y ella supo y yo supe, supimos de las dos.

Traduction temporaire :

Angie Camargo

Échange de regards

Il n’y eut pas de grimace. Je me sentis misérable, peut-être comme elle. Qu'on te renifle, qu’on s’approche de toi, qu'on monte et descende, lourds, malodorants, de toutes sortes. Ah ! La belle vie… Les voir avec leur désir à fleur de peau, quémandant un peu d'amour. Pour les unes et les uns, une salope ; pour certaines et certains, une princesse, une femelle, une beauté, un canon, une chaudasse, une dure, une vadrouilleuse. Elle, assise sur ce quai, moi, une passagère ; serrée, bien souvent pelotée et même humiliée, je perçois un instant de connexion ; dans cet échange de regards entre nous deux, je vois ce reflet d'humanité que nous avons tous, mais que nous ne voyons pas, ne sentons pas – nous l'abandonnons, oublié au fond de la poche du quotidien, de l'effort, du train-train… Cela paraîtra étrange, mais tout ça s'arrêta. Elle le sut et moi, je le sus, nous le sûmes toutes les deux.


49 commentaires:

Sonita a dit…

Angie Camargo (Colombie)

Échange de regards

No hubo gesto; me sentí miserable quizá como ella. Que te huelan, que se acerquen, que se suban y se bajen, pesados, malolientes, de toda clase.

Il n’y eut pas de grimace. Je me sentis aussi misérable qu’elle, peut-être. Que l’on te sente, que l’on s’approche de toi, que l’on monte et descende, lourds, malodorants, de tous genres.

Tradabordo a dit…

Angie Camargo

Échange de regards

No hubo gesto; me sentí miserable quizá como ella. Que te huelan, que se acerquen, que se suban y se bajen, pesados, malolientes, de toda clase.

Il n’y eut pas de grimace [j'hésite sur l'interprétation de « gesto »]. Je me sentis aussi misérable qu’elle, peut-être [syntaxe / je crois que tu changes le sens]. Que l’on te sente [« renifle » pour que ce soit plus explicite ?], que l’on s’approche de toi, que l’on monte et descende, lourds, malodorants, de tous genres [ambigu par rapport à la V.O.].

Sonita a dit…

Angie Camargo

Échange de regards

No hubo gesto; me sentí miserable quizá como ella. Que te huelan, que se acerquen, que se suban y se bajen, pesados, malolientes, de toda clase.

Il n’y eut pas de geste. Je me sentis misérable, peut-être comme elle. Que l’on te renifle, que l’on s’approche de toi, que l’on monte et descende, lourds, malodorants, de toutes classes.

Tradabordo a dit…



Angie Camargo

Échange de regards

No hubo gesto; me sentí miserable quizá como ella. Que te huelan, que se acerquen, que se suban y se bajen, pesados, malolientes, de toda clase.

Il n’y eut pas de geste [demande quand même à Elena]. Je me sentis misérable, peut-être comme elle. Que l’on [« Qu'on » et idem pour les autres] te renifle, que l’on s’approche de toi, que l’on monte et descende, lourds, malodorants, de toutes classes [« sortes » ? Idem : demande à Elena].

Elena a dit…

Cela signifie qu'elles ont juste échangé leurs regards, mais pas le moindre geste.

Tradabordo a dit…

OK, merci.

Sonita ?

Sonita a dit…

Merci, Elena.

Angie Camargo

Échange de regards

No hubo gesto; me sentí miserable quizá como ella. Que te huelan, que se acerquen, que se suban y se bajen, pesados, malolientes, de toda clase.

Il n’y eut pas de moue. Je me sentis misérable, peut-être comme elle. Qu'on te renifle, qu’on s’approche de toi, qu'on monte et descende, lourds, malodorants, de toutes sortes.

Tradabordo a dit…

Angie Camargo

Échange de regards

No hubo gesto; me sentí miserable quizá como ella. Que te huelan, que se acerquen, que se suban y se bajen, pesados, malolientes, de toda clase.

Il n’y eut pas de moue [?]. Je me sentis misérable, peut-être comme elle. Qu'on te renifle, qu’on s’approche de toi, qu'on monte et descende, lourds, malodorants, de toutes sortes.

Sonita a dit…

Angie Camargo

Échange de regards

No hubo gesto; me sentí miserable quizá como ella. Que te huelan, que se acerquen, que se suban y se bajen, pesados, malolientes, de toda clase.

Il n’y eut pas de gimace. Je me sentis misérable, peut-être comme elle. Qu'on te renifle, qu’on s’approche de toi, qu'on monte et descende, lourds, malodorants, de toutes sortes.

Tradabordo a dit…

Angie Camargo

Échange de regards

No hubo gesto; me sentí miserable quizá como ella. Que te huelan, que se acerquen, que se suban y se bajen, pesados, malolientes, de toda clase.

Il n’y eut pas de gimace [coquille]. Je me sentis misérable, peut-être comme elle. Qu'on te renifle, qu’on s’approche de toi, qu'on monte et descende, lourds, malodorants, de toutes sortes.

Sonita a dit…

Angie Camargo

Échange de regards

No hubo gesto; me sentí miserable quizá como ella. Que te huelan, que se acerquen, que se suban y se bajen, pesados, malolientes, de toda clase.

Il n’y eut pas de grimace. Je me sentis misérable, peut-être comme elle. Qu'on te renifle, qu’on s’approche de toi, qu'on monte et descende, lourds, malodorants, de toutes sortes.

**
Ja, la vida fácil... Verlos con su deseo a flor de piel, buscando un poco de amor. Para unos y otras, perra; para otros y otras, princesa, hembra, hermosura, ricura, sucia, de aguante, callejera.

Ah, la belle vie... Les voir avec leur désir à fleur de peau, quemandant un peu d'amour. Pour les uns et les autres, une chienne ; pour d'autres encore, une princesse, une femmelle, une beauté, bien roulée, une chaudasse, qui tient bon, une flâneuse.

Tradabordo a dit…



Angie Camargo

Échange de regards

No hubo gesto; me sentí miserable quizá como ella. Que te huelan, que se acerquen, que se suban y se bajen, pesados, malolientes, de toda clase.

Il n’y eut pas de grimace. Je me sentis misérable, peut-être comme elle. Qu'on te renifle, qu’on s’approche de toi, qu'on monte et descende, lourds, malodorants, de toutes sortes.

OK.

Tradabordo a dit…

Ja, la vida fácil... Verlos con su deseo a flor de piel, buscando un poco de amor. Para unos y otras, perra; para otros y otras, princesa, hembra, hermosura, ricura, sucia, de aguante, callejera.

Ah, la belle vie... [raccourci clavier des points de suspension !] Les voir avec leur désir à fleur de peau, quemandant [accent] un peu d'amour. Pour les uns et les autres [là, on ne voir pas le genre], une chienne ; pour d'autres encore [idem], une princesse, une femmelle [ortho ?], une beauté, bien roulée [ce serait mieux avec un substantif], une chaudasse, qui tient bon, une flâneuse.

Sonita a dit…

Ja, la vida fácil... Verlos con su deseo a flor de piel, buscando un poco de amor. Para unos y otras, perra; para otros y otras, princesa, hembra, hermosura, ricura, sucia, de aguante, callejera.

Ah, la belle vie… Les voir avec leur désir à fleur de peau, quémandant un peu d'amour. Pour les uns et les unes, une salope ; pour certains et certaines, une princesse, une femelle, une beauté, un canon, une chaudasse, qui tient bon, une flâneuse.

Tradabordo a dit…

Ja, la vida fácil... Verlos con su deseo a flor de piel, buscando un poco de amor. Para unos y otras, perra; para otros y otras, princesa, hembra, hermosura, ricura, sucia, de aguante, callejera.

Ah [sûre, au fait ? Je ne dis pas que c'est faux], la belle vie… Les voir avec leur désir à fleur de peau, quémandant un peu d'amour. Pour les uns et les unes [dans l'autre sens ?], une salope ; pour certains et certaines [idem ?], une princesse, une femelle, une beauté, un canon, une chaudasse, qui tient bon [?], une flâneuse.

Sonita a dit…

Ja, la vida fácil... Verlos con su deseo a flor de piel, buscando un poco de amor. Para unos y otras, perra; para otros y otras, princesa, hembra, hermosura, ricura, sucia, de aguante, callejera.

Ah ! La belle vie… Les voir avec leur désir à fleur de peau, quémandant un peu d'amour. Pour les unes et les uns, une salope ; pour certaines et certains, une princesse, une femelle, une beauté, un canon, une chaudasse, une résistante, une flâneuse.

Tradabordo a dit…

Ah ! La belle vie… Les voir avec leur désir à fleur de peau, quémandant un peu d'amour. Pour les unes et les uns, une salope ; pour certaines et certains, une princesse, une femelle, une beauté, un canon, une chaudasse, une résistante [une dure ? Demande à Elena], une flâneuse [adapté au texte ? Ça me fait douter. Demande aussi à Elena].

Elena a dit…

Oui, "une dure".
Pour "callejera" : "tapineuse" ?

Elena a dit…

Ou bien "vadrouilleuse".

Sonita a dit…

Merci, Elena !

Ah ! La belle vie… Les voir avec leur désir à fleur de peau, quémandant un peu d'amour. Pour les unes et les uns, une salope ; pour certaines et certains, une princesse, une femelle, une beauté, un canon, une chaudasse, une une dure, une vadrouilleuse.

Tradabordo a dit…

Tapineuse ou vadrouilleuse, ça n'est pas la même chose du tout. Il faut continuer à creuser…

Elena a dit…

Je viens de me renseigner auprès d'une collègue colombienne et c'est bien dans le sens de "vadrouilleuse".

Tradabordo a dit…

OK, merci. Sonita ?

Sonita a dit…

Merci, Elena !

***
Ah ! La belle vie… Les voir avec leur désir à fleur de peau, quémandant un peu d'amour. Pour les unes et les uns, une salope ; pour certaines et certains, une princesse, une femelle, une beauté, un canon, une chaudasse, une dure, une vadrouilleuse.

Tradabordo a dit…

Ah ! La belle vie… Les voir avec leur désir à fleur de peau, quémandant un peu d'amour. Pour les unes et les uns, une salope ; pour certaines et certains, une princesse, une femelle, une beauté, un canon, une chaudasse, une dure, une vadrouilleuse.

OK.

Sonita a dit…

Ella sentada en ese andén, yo de pasajera; apretada, muchas veces tocada y hasta humillada, encuentro un instante de conexión; en ese cruce de miradas entre las dos veo ese reflejo de humanidad que todos tenemos pero no vemos, no sentimos, lo dejamos olvidado en el bolsillo de la cotidianidad, del afán, del corre, corre...

Elle, assise dans ce quai, moi une passagère ; ensardinée, pelotée bien des fois et même humillée, j'y perçois un instant de connexion ; dans cet échange de regards entre nous deux, je vois ce reflet d'humanité que nous avons tous mais que nous ne voyons pas, ne sentons pas, nous le laissons aux oubliettes dans la pochette du quotidien, de l'effort, du train-train…

Tradabordo a dit…

Ella sentada en ese andén, yo de pasajera; apretada, muchas veces tocada y hasta humillada, encuentro un instante de conexión; en ese cruce de miradas entre las dos veo ese reflejo de humanidad que todos tenemos pero no vemos, no sentimos, lo dejamos olvidado en el bolsillo de la cotidianidad, del afán, del corre, corre...

Elle, assise dans [mal dit] ce quai, moi [virguke] une passagère ; ensardinée [?????], pelotée bien des [mal dit] fois et même humillée [ortho], j'y [?] perçois un instant de connexion ;

Faisons déjà cela.

dans cet échange de regards entre nous deux, je vois ce reflet d'humanité que nous avons tous mais que nous ne voyons pas, ne sentons pas, nous le laissons aux oubliettes dans la pochette du quotidien, de l'effort, du train-train…

Sonita a dit…

Ella sentada en ese andén, yo de pasajera; apretada, muchas veces tocada y hasta humillada, encuentro un instante de conexión; en ese cruce de miradas entre las dos veo ese reflejo de humanidad que todos tenemos pero no vemos, no sentimos, lo dejamos olvidado en el bolsillo de la cotidianidad, del afán, del corre, corre...

Elle, assise sur ce quai, moi, une passagère ; serrée, trop de fois pelotée et même humiliée, je perçois un instant de connexion ;

Tradabordo a dit…

Ella sentada en ese andén, yo de pasajera; apretada, muchas veces tocada y hasta humillada, encuentro un instante de conexión; en ese cruce de miradas entre las dos veo ese reflejo de humanidad que todos tenemos pero no vemos, no sentimos, lo dejamos olvidado en el bolsillo de la cotidianidad, del afán, del corre, corre...

Elle, assise sur ce quai, moi, une passagère ; serrée, trop de [pas ce que dit la V.O.] fois pelotée et même humiliée, je perçois un instant de connexion ;

Sonita a dit…

Ella sentada en ese andén, yo de pasajera; apretada, muchas veces tocada y hasta humillada, encuentro un instante de conexión; en ese cruce de miradas entre las dos veo ese reflejo de humanidad que todos tenemos pero no vemos, no sentimos, lo dejamos olvidado en el bolsillo de la cotidianidad, del afán, del corre, corre...

Elle, assise sur ce quai, moi, une passagère ; serrée, beaucoup de fois pelotée et même humiliée, je perçois un instant de connexion ;

Tradabordo a dit…

Ella sentada en ese andén, yo de pasajera; apretada, muchas veces tocada y hasta humillada, encuentro un instante de conexión; en ese cruce de miradas entre las dos veo ese reflejo de humanidad que todos tenemos pero no vemos, no sentimos, lo dejamos olvidado en el bolsillo de la cotidianidad, del afán, del corre, corre...

Elle, assise sur ce quai, moi, une passagère ; serrée, beaucoup de fois [très mal dit] pelotée et même humiliée, je perçois un instant de connexion ;

Sonita a dit…

Ella sentada en ese andén, yo de pasajera; apretada, muchas veces tocada y hasta humillada, encuentro un instante de conexión; en ese cruce de miradas entre las dos veo ese reflejo de humanidad que todos tenemos pero no vemos, no sentimos, lo dejamos olvidado en el bolsillo de la cotidianidad, del afán, del corre, corre...

Elle, assise sur ce quai, moi, une passagère ; serrée, bien de fois pelotée et même humiliée, je perçois un instant de connexion ;

Tradabordo a dit…

Ella sentada en ese andén, yo de pasajera; apretada, muchas veces tocada y hasta humillada, encuentro un instante de conexión; en ese cruce de miradas entre las dos veo ese reflejo de humanidad que todos tenemos pero no vemos, no sentimos, lo dejamos olvidado en el bolsillo de la cotidianidad, del afán, del corre, corre...

Elle, assise sur ce quai, moi, une passagère ; serrée, bien de fois [« souvent »] pelotée et même humiliée, je perçois un instant de connexion ;

Sonita a dit…

Merci !

Ella sentada en ese andén, yo de pasajera; apretada, muchas veces tocada y hasta humillada, encuentro un instante de conexión;

Elle, assise sur ce quai, moi, une passagère ; serrée, bien souvent pelotée et même humiliée, je perçois un instant de connexion ;

en ese cruce de miradas entre las dos veo ese reflejo de humanidad que todos tenemos pero no vemos, no sentimos, lo dejamos olvidado en el bolsillo de la cotidianidad, del afán, del corre, corre...

dans cet échange de regards entre nous deux, je vois ce reflet d'humanité que nous avons tous mais que nous ne voyons pas, ne sentons pas, nous le laissons aux oubliettes dans la pochette du quotidien, de l'effort, du train-train…

Tradabordo a dit…


Ella sentada en ese andén, yo de pasajera; apretada, muchas veces tocada y hasta humillada, encuentro un instante de conexión;

Elle, assise sur ce quai, moi, une passagère ; serrée, bien souvent pelotée et même humiliée, je perçois un instant de connexion ;

en ese cruce de miradas entre las dos veo ese reflejo de humanidad que todos tenemos pero no vemos, no sentimos, lo dejamos olvidado en el bolsillo de la cotidianidad, del afán, del corre, corre...

dans cet échange de regards entre nous deux, je vois ce reflet d'humanité que nous avons tous [virgule devant « mais » / déjà dit] mais que nous ne voyons pas, ne sentons pas, [tiret] nous le laissons aux oubliettes [pas une expression en V.O.] dans la pochette [mal dit] du quotidien, de l'effort, du train-train…

Sonita a dit…


en ese cruce de miradas entre las dos veo ese reflejo de humanidad que todos tenemos pero no vemos, no sentimos, lo dejamos olvidado en el bolsillo de la cotidianidad, del afán, del corre, corre...

dans cet échange de regards entre nous deux, je vois ce reflet d'humanité que nous avons tous, mais que nous ne voyons pas, ne sentons pas – nous le laissons oublié dans la poche du quotidien, de l'effort, du train-train…

Tradabordo a dit…

Remets le début, que je n'ai pas collé.

Sonita a dit…

Ella sentada en ese andén, yo de pasajera; apretada, muchas veces tocada y hasta humillada, encuentro un instante de conexión;

Elle, assise sur ce quai, moi, une passagère ; serrée, bien souvent pelotée et même humiliée, je perçois un instant de connexion ;

en ese cruce de miradas entre las dos veo ese reflejo de humanidad que todos tenemos pero no vemos, no sentimos, lo dejamos olvidado en el bolsillo de la cotidianidad, del afán, del corre, corre...

dans cet échange de regards entre nous deux, je vois ce reflet d'humanité que nous avons tous, mais que nous ne voyons pas, ne sentons pas – nous le laissons oublié dans la poche du quotidien, de l'effort, du train-train…

Tradabordo a dit…

Elle, assise sur ce quai, moi, une passagère ; serrée, bien souvent pelotée et même humiliée, je perçois un instant de connexion ;

en ese cruce de miradas entre las dos veo ese reflejo de humanidad que todos tenemos pero no vemos, no sentimos, lo dejamos olvidado en el bolsillo de la cotidianidad, del afán, del corre, corre...

dans cet échange de regards entre nous deux, je vois ce reflet d'humanité que nous avons tous, mais que nous ne voyons pas, ne sentons pas – nous le laissons oublié [?????] dans la poche du quotidien, de l'effort, du train-train…

Sonita a dit…

Elle, assise sur ce quai, moi, une passagère ; serrée, bien souvent pelotée et même humiliée, je perçois un instant de connexion ;

en ese cruce de miradas entre las dos veo ese reflejo de humanidad que todos tenemos pero no vemos, no sentimos, lo dejamos olvidado en el bolsillo de la cotidianidad, del afán, del corre, corre...

dans cet échange de regards entre nous deux, je vois ce reflet d'humanité que nous avons tous, mais que nous ne voyons pas, ne sentons pas – nous l'oublions dans la poche du quotidien, de l'effort, du train-train…

Tradabordo a dit…

Elle, assise sur ce quai, moi, une passagère ; serrée, bien souvent pelotée et même humiliée, je perçois un instant de connexion ;

en ese cruce de miradas entre las dos veo ese reflejo de humanidad que todos tenemos pero no vemos, no sentimos, lo dejamos olvidado en el bolsillo de la cotidianidad, del afán, del corre, corre...

dans cet échange de regards entre nous deux, je vois ce reflet d'humanité que nous avons tous, mais que nous ne voyons pas, ne sentons pas – nous l'oublions [pour être plus près de la V.O. : « nous l'abandonnons, oublié au fond de la… » ?] dans la poche du quotidien, de l'effort, du train-train…

Sonita a dit…

Elle, assise sur ce quai, moi, une passagère ; serrée, bien souvent pelotée et même humiliée, je perçois un instant de connexion ;

en ese cruce de miradas entre las dos veo ese reflejo de humanidad que todos tenemos pero no vemos, no sentimos, lo dejamos olvidado en el bolsillo de la cotidianidad, del afán, del corre, corre...

dans cet échange de regards entre nous deux, je vois ce reflet d'humanité que nous avons tous, mais que nous ne voyons pas, ne sentons pas – nous l'abandonnons, oublié au fond de la poche du quotidien, de l'effort, du train-train…

Tradabordo a dit…

Elle, assise sur ce quai, moi, une passagère ; serrée, bien souvent pelotée et même humiliée, je perçois un instant de connexion ; dans cet échange de regards entre nous deux, je vois ce reflet d'humanité que nous avons tous, mais que nous ne voyons pas, ne sentons pas – nous l'abandonnons, oublié au fond de la poche du quotidien, de l'effort, du train-train…

Je colle ça et tu peux boucler.

Sonita a dit…

Parecerá extraño pero todo [+ "eso" dans la V.O.] se detuvo y ella supo y yo supe, supimos de las dos.

Cela semblera étrange, mais tout ça s’est arrêté et elle le sut et moi je le sus, nous le sûmes toutes les deux.

Tradabordo a dit…

Parecerá extraño pero todo [+ "eso" dans la V.O.] se detuvo y ella supo y yo supe, supimos de las dos.

Cela semblera étrange, mais tout ça s’est arrêté et elle le sut [tu mélanges PC et PS] et moi [virgule] je le sus, nous le sûmes toutes les deux.

Sonita a dit…

Parecerá extraño pero todo eso se detuvo y ella supo y yo supe, supimos de las dos.

Cela semblera étrange, mais tout ça s'arrêta et elle le sut et moi, je le sus, nous le sûmes toutes les deux.

Tradabordo a dit…

Parecerá extraño pero todo eso se detuvo y ella supo y yo supe, supimos de las dos.

Cela semblera [mieux avec « paraître », je crois] étrange, mais tout ça s'arrêta et [point à la place] elle le sut et moi, je le sus, nous le sûmes toutes les deux.

Sonita a dit…

Parecerá extraño pero todo eso se detuvo y ella supo y yo supe, supimos de las dos.

Cela paraîtra étrange, mais tout ça s'arrêta. Elle le sut et moi, je le sus, nous le sûmes toutes les deux.

Tradabordo a dit…

Parecerá extraño pero todo eso se detuvo y ella supo y yo supe, supimos de las dos.

Cela paraîtra étrange, mais tout ça s'arrêta. Elle le sut et moi, je le sus, nous le sûmes toutes les deux.

OK.