mercredi 31 juillet 2013

Projet Manon / Élise – phrase 24

La escasa luz que penetraba por las ventanas poblaba el lugar de sombras, tal vez era que estábamos alerta, pero varias veces nos pareció que alguna de ellas se movía.

Traduction temporaire :
La pâle lumière qui pénétrait par les fenêtres peuplait les lieux d'ombres. Peut-être était-ce parce que nous nous tenions sur nos gardes, toujours est-il qu'à plusieurs reprises, il nous sembla que l'une d'elles bougeait.

5 commentaires:

Unknown a dit…

À cause de la faible lumière filtrant par les fenêtres, l'endroit était peuplé d'ombres. Peut-être était-ce parce que nous étions sur nos gardes, mais, à plusieurs reprises, il nous sembla que l'une d'elle bougeait.

Unknown a dit…

La pâle lumière qui pénétrait par les fenêtres peuplait le lieu d'ombres ; peut-être était-ce parce que nous nous tenions sur nos gardes, mais il nous a semblé à plusieurs reprises que l'une d'elles bougeait.

Tradabordo a dit…

Je préfère la version la plus proche de la V.O. – vous vous en doutez ;-)

La pâle lumière qui pénétrait par les fenêtres peuplait le lieu [au pluriel ?] d'ombres ; [Ok pour le point proposé par Élise] peut-être était-ce parce que nous nous tenions sur nos gardes, mais [« toujours est-il » ?] il nous a semblé à plusieurs reprises que l'une d'elles bougeait [je crois que ce serait mieux en modifiant la syntaxe].

Unknown a dit…

La pâle lumière qui pénétrait par les fenêtres peuplait les lieux d'ombres. Peut-être était-ce parce que nous nous tenions sur nos gardes, toujours est-il qu'à plusieurs reprises, il nous sembla que l'une d'elles bougeait.

Tradabordo a dit…

La pâle lumière qui pénétrait par les fenêtres peuplait les lieux d'ombres. Peut-être était-ce parce que nous nous tenions sur nos gardes, toujours est-il qu'à plusieurs reprises, il nous sembla que l'une d'elles bougeait.

OK.

Manon ?