samedi 13 juillet 2013

Projet Joachim 3 – phrase 70

Después de diez minutos, aún sin haberme relajado del todo, pude pensar en otra cosa; el entorno ayudaba porque era de una austeridad que era imposible no caer en reflexiones íntimas, cualquier cosa que me sacara de esas paredes verdosas, el biombo blanco,  los sillones claritos, la alfombra gris clara peluda, y el silencio que se generó después que le retiré la palabra al subnormal.

Traduction temporaire :
Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui me tirerait de ces murs verdâtres, de ce paravent blanc, de ces fauteuils très clairs, du tapis à poil gris clair et de ce silence qui s'est installé après que je lui ai coupé la parole, à ce crétin.

74 commentaires:

Joachim a dit…

Después de diez minutos, aún sin haberme relajado del todo, pude pensar en otra cosa; el entorno ayudaba porque era de una austeridad que era imposible no caer en reflexiones íntimas, cualquier cosa que me sacara de esas paredes verdosas, el biombo blanco, los sillones claritos, la alfombra gris clara peluda, y el silencio que se generó después que le retiré la palabra al subnormal.

Dix minutes plus tard, sans m'être encore détendu de tout, j'ai pu penser à autre chose ; l'environnement aidait parce que j'étais d'une austérité tel qu'il était impossible de ne pas tomber dans des réflexions intimes, n'importe quelle chose qui me sortira de ces murs verdâtres, le paravent blanc, les fauteuils très clairs, le tapis à poil gris clair, et le silence qui s'est généré après que je lui ai retiré le mot à l'anormal.

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans m'être encore détendu de tout [« détendu de tout » ??????], j'ai pu penser à autre chose ;

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans n'avoir encore tout relâcher, j'ai pu penser à autre chose ;

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans n'avoir encore tout relâcher [pas de sens], j'ai pu penser à autre chose ;

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans m'être encore détacher de tout, j'ai pu penser à autre chose ;

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans m'être encore détacher [« relajarse »] de tout [CS], j'ai pu penser à autre chose ;

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même encore m'être détaché de tout cela, j'ai pu penser à autre chose ;

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même encore m'être détaché [RELAJADO] de tout cela [CS], j'ai pu penser à autre chose ;

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même encore m'être relâché du tout, j'ai pu penser à autre chose

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même encore m'être relâché [bon, je vous aide : « détendu »] du tout [CS], j'ai pu penser à autre chose

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même encore m'être détendu de tout cela, j'ai pu penser à autre chose.

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même encore m'être détendu de tout cela [« de tout cela » = CS], j'ai pu penser à autre chose.

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même encore m'être détendu complètement, j'ai pu penser à autre chose.

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même encore m'être détendu complètement [inverser la syntaxe dans l'entre-virgule], j'ai pu penser à autre chose.

Joachim a dit…

Sans même encore m'être détendu complètement, dix minutes plus tard, j'ai pu penser à autre chose.

Tradabordo a dit…

Sans même encore m'être détendu complètement [« m'être encore complètement » / OK ?], dix minutes plus tard, j'ai pu penser à autre chose.

Joachim a dit…

Sans même m'être encore complètement détendu, dix minutes plus tard, j'ai pu penser à autre chose.

Tradabordo a dit…

Sans même m'être encore complètement détendu, dix minutes plus tard [comme indiqué dans mon commentaire précédent, c'était juste dans l'entre-virgule qu'il fallait changer pour la syntaxe ; pour le reste, remettez l'ordre de la V.O.], j'ai pu penser à autre chose.

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose.

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose.
OK

l'environnement aidait parce que j' [CS] étais d'une austérité tel [grammaire] qu'il était impossible de ne pas tomber dans des réflexions intimes,

Joachim a dit…

l'environnement aidait parce qu'il était d'une austérité telle qu'il était impossible de ne pas tomber dans des réflexions intimes,

Tradabordo a dit…

Vous remettrez l'ensemble… Sinon, on oubliera des morceaux au moment du copier-coller.

l'environnement aidait parce qu'il était [supprimez pour simplifier + adaptez un peu ensuite…] d'une austérité telle qu'il était impossible de ne pas tomber dans des réflexions intimes,

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'environnement aidait avec une austérité telle qu'il était impossible de ne pas tomber dans des réflexions intimes,

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'environnement aidait avec une austérité telle [c'est correct, mais un peu bizarre / faites de « l'austérité » le sujet] qu'il était impossible de ne pas tomber dans des réflexions intimes,

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; une austérité aidée par l'environnement tel qu'il était impossible de ne pas tomber dans des réflexions intimes,

1) je ne suis pas du tout satisfait de la proposition,j'ai du mal à faire de l'austérité le sujet...

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; une austérité aidée [CS… puisqu'il s'agit de l'austérité du lieu] par l'environnement tel qu'il était impossible de ne pas tomber dans des réflexions intimes,

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'environnement aidait d'une austérité telle qu'il était impossible de ne pas tomber dans des réflexions intimes,

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'environnement aidait d'une austérité [NS] telle qu'il était impossible de ne pas tomber dans des réflexions intimes,

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'environnement aidait d'une telle austérité qu'il était impossible de ne pas tomber dans des réflexions intimes,

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'environnement aidait d'une [non puisque c'est parce qu'il est austère que cela aide…] telle austérité qu'il était impossible de ne pas tomber dans des réflexions intimes,

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'environnement austère aidait d'une telle façon qu'il était impossible de ne pas tomber dans des réflexions intimes,

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'environnement austère [recomposez la phrase avec « austérité »] aidait d'une telle façon qu'il était impossible de ne pas tomber dans des réflexions intimes,

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement aidait d'une telle façon qu'il était impossible de ne pas tomber dans des réflexions intimes,

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement aidait d'une telle façon [«, au point »] qu'il était impossible de ne pas tomber dans des [« sombrer dans les »] réflexions intimes,

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement aidait au point qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes,

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement aidait au point [ne porte pas sur « aidait », mais l'importance de l'austérité ; c'était très austère…………] qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes,

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; au point que l'austérité de l'environnement aidait d'une telle façon qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes,

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; au point [porte sur l'importance de l'austérité / c'est très austère…] que l'austérité de l'environnement aidait d'une telle façon qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes,

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; au point que l'environnement très austère aidait d'une telle façon qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes,

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; au point que [je répète : non, pas « au point »… car l'importance de la chose porte sur « austérité » / Je vous aide… parce que nous n'en sortons pas : « l'austérité était telle »] l'environnement très austère aidait d'une telle façon qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes,

Joachim a dit…

Oui j'y avais pensé, mais je vois pas du coup ce que je fais de "l'environnement"...

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité était telle que l'environnement aidait d'une façon qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes,

1) comme cela ?

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité était telle que l'environnement aidait d'une façon qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes,

C'est de l'austérité des lieux dont il est question.

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité était telle que l'environnement aidait d'une façon qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes,

1) comme cela ? Si c'est pas ça, je n'ai rien compris alors...

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité était telle que l'environnement [il s'agit de l'austérité de l'environnement] aidait d'une façon qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes,

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes,

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes,

OK.

Collez la suite…

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quelle chose qui me sortira de ces murs verdâtres, le paravent blanc, les fauteuils très clairs, le tapis à poil gris clair, et le silence qui s'est généré après que je lui ai retiré le mot à l'anormal.

Joachim a dit…

Vous m'avez oubliée ?

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quelle chose [simplifier] qui me sortira [temps !] de ces murs verdâtres,


le paravent blanc, les fauteuils très clairs, le tapis à poil gris clair, et le silence qui s'est généré après que je lui ai retiré le mot à l'anormal.

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui me sortirai de ces murs verdâtres,

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui me sortirai de ces murs verdâtres,

OK… Mettez la suite.

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui me sortirai de ces murs verdâtres, le paravent blanc, les fauteuils très clairs, le tapis à poil gris clair, et le silence qui s'est généré après que je lui ai retiré le mot à l'anormal.

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui me sortirai [orthographe grammaticale] de ces murs verdâtres, le [« le » ; ça ne va pas avec ce qui précède] paravent blanc, les fauteuils très clairs, le tapis à poil gris clair, et le silence qui s'est généré après que je lui ai retiré le mot à l'anormal.

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui me sortira de ces murs verdâtres, un paravent blanc, des fauteuils très clairs, un tapis à poil gris clair, et un silence qui s'est généré après que je lui ai retiré le mot à l'anormal.

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui me sortira [temps / vu que le texte est au passé, il ne peut pas y avoir du futur] de ces murs verdâtres, un paravent blanc, des fauteuils très clairs, un tapis à poil gris clair, et un silence qui s'est généré [?????????] après que je lui ai retiré le mot à l'anormal [non-sens !!!!].

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui me sortait de ces murs verdâtres, un paravent blanc, des fauteuils très clairs, un tapis à poil gris clair, et un silence qui s'est introduit après que je lui ai coupé la parole anormalement.

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui me sortait [ça ne va toujours pas… Relisez depuis le début] de ces murs verdâtres, un paravent blanc, des fauteuils très clairs, un tapis à poil gris clair, et un silence qui s'est introduit après que je lui ai coupé la parole anormalement.

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui m'aurait sorti de ces murs verdâtres, un paravent blanc, des fauteuils très clairs, un tapis à poil gris clair, et un silence qui s'est introduit après que je lui ai coupé la parole anormalement.

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui m'aurait sorti [« tirerait »] de ces murs verdâtres, un [?] paravent blanc, des fauteuils très clairs, un tapis à poil gris clair, et un [?] silence qui s'est introduit [mal dit] après que je lui ai coupé la parole anormalement [CS].

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui me tirerait de ces murs verdâtres, le paravent blanc, des fauteuils très clairs, un tapis à poil gris clair, et le silence qui s'est engendré après que je lui ai retiré le mot à ce crétin.

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui me tirerait de ces murs verdâtres, le [NON… Il s'agit d'être tiré de tout ça… donc à adapter] paravent blanc, des fauteuils très clairs, un tapis à poil gris clair, et le silence qui s'est engendré [le silence ne s'engendre pas] après que je lui ai retiré le mot [sens ???????] à ce crétin.

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui me tirerait de ces murs verdâtres, ce paravent blanc, des fauteuils très clairs, un tapis à poil gris clair, et le silence qui s'est glissé après que je lui ai retiré la parole à ce crétin.

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui me tirerait de ces murs verdâtres, [répétez le « de » + aux suivants et adaptez quand c'est nécessaire] ce paravent blanc, des fauteuils très clairs, un tapis à poil gris clair, et le [idem] silence qui s'est glissé [mal dit] après que je lui ai retiré la parole [mal dit] à ce crétin.

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui me tirerait de ces murs verdâtres, de ce paravent blanc, de ces fauteuils très clairs, du tapis à poil gris clair, et de ce silence qui s'est pénétré après que je lui ai retiré les mots de la bouche à ce crétin.

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui me tirerait de ces murs verdâtres, de ce paravent blanc, de ces fauteuils très clairs, du tapis à poil gris clair et de ce silence qui s'est pénétré [le silence se pénètre ????????] après que je lui ai retiré les mots de la bouche à ce crétin [construisez la phrase autrement : sinon, on pense qu'il a retiré… au silence].

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui me tirerait de ces murs verdâtres, de ce paravent blanc, de ces fauteuils très clairs, du tapis à poil gris clair et de ce silence qui s'est installé après que je lui ai retiré les mots de la bouche à ce crétin.

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui me tirerait de ces murs verdâtres, de ce paravent blanc, de ces fauteuils très clairs [au fait, vous êtes sûr ; je ne veux pas dire que c'est faux, je veux juste savoir si vous avez cherché / vérifié…], du tapis à poil gris clair et de ce silence qui s'est installé après que je lui ai retiré les mots de la bouche [peu naturel ; soyez plus simple… en revenant juste à l'idée] à ce crétin.

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui me tirerait de ces murs verdâtres, de ce paravent blanc, de ces fauteuils très clairs, du tapis à poil gris clair et de ce silence qui s'est installé après que lui avoir coupé la parole à ce crétin.

1) Oui j'ai vérifié pour "sillones claritos".

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui me tirerait de ces murs verdâtres, de ce paravent blanc, de ces fauteuils très clairs, du tapis à poil gris clair et de ce silence qui s'est installé [passé composé ou plus-que-parfait ?] après que lui avoir [???????] coupé la parole à ce crétin.

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui me tirerait de ces murs verdâtres, de ce paravent blanc, de ces fauteuils très clairs, du tapis à poil gris clair et de ce silence qui s'est installé après lui avoir coupé la parole à ce crétin.

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui me tirerait de ces murs verdâtres, de ce paravent blanc, de ces fauteuils très clairs, du tapis à poil gris clair et de ce silence qui s'est installé après lui avoir coupé [là, on ne dit plus que c'est le narrateur qui lui a coupé la parole] la parole à ce crétin.

Joachim a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui me tirerait de ces murs verdâtres, de ce paravent blanc, de ces fauteuils très clairs, du tapis à poil gris clair et de ce silence qui s'est installé après que je lui ai coupé la parole à ce crétin.

Tradabordo a dit…

Dix minutes plus tard, sans même m'être encore complètement détendu, j'ai pu penser à autre chose ; l'austérité de l'environnement était telle qu'il était impossible de ne pas sombrer dans les réflexions intimes, n'importe quoi qui me tirerait de ces murs verdâtres, de ce paravent blanc, de ces fauteuils très clairs, du tapis à poil gris clair et de ce silence qui s'est installé après que je lui ai coupé la parole, à ce crétin.

OK.