mardi 27 octobre 2015

Projet Annelise 3 – titre + citation + phrases 1-3

Pablo Palacio (Équateur)

Un hombre muerto a puntapiés
(1927)


¿"Cómo echar al canasto los
palpitantes acontecimientos callejeros?"
"Esclarecer la verdad es acción moralizadora."
EL COMERCIO de Quito


"Anoche, a las doce y media próximamente, el Celador de Policía No.451, que hacía el servicio de esa zona, encontró, entre las calles Escobedo y García, a un individuo de apellido Ramírez casi en completo estado de postración. El desgraciado sangraba abundantemente por la nariz, e interrogado que fue por el señor Celador dijo haber sido víctima de una agresión de parte de unos individuos a quienes no conocía, sólo por haberles pedido un cigarrillo. El Celador invitó al agredido a que le acompañara a la Comisaría de turno con el objeto de que prestara las declaraciones necesarias para el esclarecimiento del hecho, a lo que Ramírez se negó rotundamente.

Traduction temporaire :

Pablo Palacio (Équateur) 

Un homme tué à coups de pied
(1927)

« Comment jeter à la corbeille les événements palpitants de la rue ? »
« Découvrir la vérité relève de l’action moralisatrice. »
LE COMMERCE de Quito


« Hier soir, vers minuit et demi, entre les rues Escobedo et García, l’agent de police n° 451 trouva, alors qu’il effectuait sa ronde dans ce secteur, un individu dénommé Ramírez. L'homme était dans un état proche de la prostration. Le malheureux saignait abondamment du nez, et lorsque l’agent l’interrogea, il affirma avoir été victime d’une agression commise par des types qu’il ne connaissait pas, juste parce qu’il leur avait demandé une cigarette. L’agent invita le blessé à le suivre jusqu’au commissariat de quartier pour qu'il fasse les déclarations nécessaires à l’élucidation de l’affaire ; ce que Ramírez refusa catégoriquement.

11 commentaires:

Anonyme a dit…

Annelise L

Il y a dû avoir un bug avec mon 1er post, je te renvoie le contenu :

Pablo Palacio (Équateur)

Un homme mort à coups de pied
(1927)


« Comment jeter à la corbeille les événements palpitants de la rue ? »
« Découvrir la vérité relève de l’action moralisatrice. »
LE COMMERCE de Quito


« Hier soir, vers minuit et demi, l’agent de police n° 451, alors qu’il effectuait sa ronde dans ce secteur, trouva, entre les rues Escobedo et García, un individu dénommé Ramírez dans un état voisin de la prostration. Le pauvre homme saignait abondamment du nez, et lorsque l’agent l’interrogea, il prétendit avoir été victime d’une agression comise par des hommes qu’il ne connaissait pas, juste parce qu’il leur avait demandé une cigarette. L’agent invita le blessé à le suivre jusqu’au commissariat de garde afin de lui faire prononcer des déclarations nécessaires à l’élucidation de l’affaire, ce que Ramírez refusa catégoriquement.

Tradabordo a dit…

Pablo Palacio (Équateur)

Un homme mort [« tué » ?] à coups de pied
(1927)

« Comment jeter à la corbeille les événements palpitants de la rue ? »
« Découvrir la vérité relève de l’action moralisatrice. »
LE COMMERCE de Quito

"Anoche, a las doce y media próximamente, el Celador de Policía No.451, que hacía el servicio de esa zona, encontró, entre las calles Escobedo y García, a un individuo de apellido Ramírez casi en completo estado de postración. El desgraciado sangraba abundantemente por la nariz, e interrogado que fue por el señor Celador dijo haber sido víctima de una agresión de parte de unos individuos a quienes no conocía, sólo por haberles pedido un cigarrillo. El Celador invitó al agredido a que le acompañara a la Comisaría de turno con el objeto de que prestara las declaraciones necesarias para el esclarecimiento del hecho, a lo que Ramírez se negó rotundamente.

« Hier soir, vers minuit et demi [grammaire ?], l’agent de police n° 451, alors qu’il effectuait sa ronde dans ce secteur, trouva [mets ça avant…], entre les rues Escobedo et García, un individu dénommé Ramírez dans un état voisin [« proche » ?] de la prostration [pour cette phrase, essaie quand même de revoir la syntaxe, quitte à couper]. Le pauvre homme saignait abondamment du nez, et lorsque l’agent l’interrogea, il prétendit [péjoratif . est-ce le cas en V.O. ?] avoir été victime d’une agression comise [ortho] par des hommes qu’il ne connaissait pas, juste parce qu’il leur avait demandé une cigarette. L’agent invita le blessé à le suivre jusqu’au commissariat de garde [on le dit ?] afin de lui faire prononcer [?] des déclarations nécessaires à l’élucidation de l’affaire, [ponctuation ?] ce que Ramírez refusa catégoriquement.

Anonyme a dit…

Annelise L

Pablo Palacio (Équateur)

Un homme tué à coups de pied
(1927)

« Comment jeter à la corbeille les événements palpitants de la rue ? »
« Découvrir la vérité relève de l’action moralisatrice. »
LE COMMERCE de Quito

« Hier soir, vers minuit et demi, l’agent de police n° 451 trouva, entre les rues Escobedo et García, alors qu’il effectuait sa ronde dans ce secteur, un individu dénommé Ramírez. Ce dernier était dans un état proche de la prostration. Le pauvre homme saignait abondamment du nez, et lorsque l’agent l’interrogea, il affirma avoir été victime d’une agression commise par des hommes qu’il ne connaissait pas, juste parce qu’il leur avait demandé une cigarette. L’agent invita le blessé à le suivre jusqu’au commissariat de quartier pour qu'il fasse les déclarations nécessaires à l’élucidation de l’affaire ; ce que Ramírez refusa catégoriquement.

Tradabordo a dit…

Pablo Palacio (Équateur)

Un homme tué à coups de pied
(1927)

« Comment jeter à la corbeille les événements palpitants de la rue ? »
« Découvrir la vérité relève de l’action moralisatrice. »
LE COMMERCE de Quito

« Hier soir, vers minuit et demi, l’agent de police n° 451 trouva, entre les rues Escobedo et García, alors qu’il effectuait sa ronde dans ce secteur [essaie de voir ce que ça donnerait en commençant par ça], un individu dénommé Ramírez. Ce dernier était dans un état proche de la prostration. Le pauvre homme saignait abondamment du nez, et lorsque l’agent l’interrogea, il affirma avoir été victime d’une agression commise par des hommes qu’il ne connaissait pas, juste parce qu’il leur avait demandé une cigarette. L’agent invita le blessé à le suivre jusqu’au commissariat de quartier pour qu'il fasse les déclarations nécessaires à l’élucidation de l’affaire ; ce que Ramírez refusa catégoriquement.

Anonyme a dit…

Annelise L

Est-ce que tu as reçu mon dernier post ?

Tradabordo a dit…

Non… rien. De toute façon, si ça n'est pas publié, c'est que ça n'est pas passé. Récidive ;-)

Anonyme a dit…

Annelise L

Pablo Palacio (Équateur)

Un homme tué à coups de pied
(1927)

« Comment jeter à la corbeille les événements palpitants de la rue ? »
« Découvrir la vérité relève de l’action moralisatrice. »
LE COMMERCE de Quito

« Hier soir vers minuit et demi, entre les rues Escobedo et García, tandis qu’il effectuait sa ronde dans ce secteur, l’agent de police n° 451 trouva un individu dénommé Ramírez. Ce dernier était dans un état proche de la prostration. Le pauvre homme saignait abondamment du nez, et lorsque l’agent l’interrogea, il affirma avoir été victime d’une agression commise par des hommes qu’il ne connaissait pas, juste parce qu’il leur avait demandé une cigarette. L’agent invita le blessé à le suivre jusqu’au commissariat de quartier pour qu'il fasse les déclarations nécessaires à l’élucidation de l’affaire ; ce que Ramírez refusa catégoriquement.

Anonyme a dit…

Annelise L


Pablo Palacio (Équateur)

Un homme tué à coups de pied
(1927)

« Comment jeter à la corbeille les événements palpitants de la rue ? »
« Découvrir la vérité relève de l’action moralisatrice. »
LE COMMERCE de Quito

« Hier soir vers minuit et demi, entre les rues Escobedo et García, l’agent de police n° 451 trouva, alors qu’il effectuait sa ronde dans ce secteur, un individu dénommé Ramírez. Ce dernier était dans un état proche de la prostration. Le pauvre homme saignait abondamment du nez, et lorsque l’agent l’interrogea, il affirma avoir été victime d’une agression commise par des hommes qu’il ne connaissait pas, juste parce qu’il leur avait demandé une cigarette. L’agent invita le blessé à le suivre jusqu’au commissariat de quartier pour qu'il fasse les déclarations nécessaires à l’élucidation de l’affaire ; ce que Ramírez refusa catégoriquement.

Tradabordo a dit…

Pablo Palacio (Équateur)

Un homme tué à coups de pied
(1927)

« Comment jeter à la corbeille les événements palpitants de la rue ? »
« Découvrir la vérité relève de l’action moralisatrice. »
LE COMMERCE de Quito

"Anoche, a las doce y media próximamente, el Celador de Policía No.451, que hacía el servicio de esa zona, encontró, entre las calles Escobedo y García, a un individuo de apellido Ramírez casi en completo estado de postración. El desgraciado sangraba abundantemente por la nariz, e interrogado que fue por el señor Celador dijo haber sido víctima de una agresión de parte de unos individuos a quienes no conocía, sólo por haberles pedido un cigarrillo. El Celador invitó al agredido a que le acompañara a la Comisaría de turno con el objeto de que prestara las declaraciones necesarias para el esclarecimiento del hecho, a lo que Ramírez se negó rotundamente.

« Hier soir [virgule] vers minuit et demi [grammaire], entre les rues Escobedo et García, l’agent de police n° 451 trouva, alors qu’il effectuait sa ronde dans ce secteur, un individu dénommé Ramírez. Ce dernier [« L'homme » ?] était dans un état proche de la prostration. Le pauvre homme [le cas échéant, supprime] saignait abondamment du nez, et lorsque l’agent l’interrogea, il affirma avoir été victime d’une agression commise par des hommes [essaie de ne pas répéter] qu’il ne connaissait pas, juste parce qu’il leur avait demandé une cigarette. L’agent invita le blessé à le suivre jusqu’au commissariat de quartier pour qu'il fasse les déclarations nécessaires à l’élucidation de l’affaire ; ce que Ramírez refusa catégoriquement.

Anonyme a dit…

Annelise L

Pablo Palacio (Équateur)

Un homme tué à coups de pied
(1927)

« Comment jeter à la corbeille les événements palpitants de la rue ? »
« Découvrir la vérité relève de l’action moralisatrice. »
LE COMMERCE de Quito

« Hier soir, vers minuit et demi, entre les rues Escobedo et García, l’agent de police n° 451 trouva, alors qu’il effectuait sa ronde dans ce secteur, un individu dénommé Ramírez. L'homme était dans un état proche de la prostration. Le malheureux saignait abondamment du nez, et lorsque l’agent l’interrogea, il affirma avoir été victime d’une agression commise par des types qu’il ne connaissait pas, juste parce qu’il leur avait demandé une cigarette. L’agent invita le blessé à le suivre jusqu’au commissariat de quartier pour qu'il fasse les déclarations nécessaires à l’élucidation de l’affaire ; ce que Ramírez refusa catégoriquement.

Tradabordo a dit…

Pablo Palacio (Équateur)

Un homme tué à coups de pied
(1927)

« Comment jeter à la corbeille les événements palpitants de la rue ? »
« Découvrir la vérité relève de l’action moralisatrice. »
LE COMMERCE de Quito

« Hier soir, vers minuit et demi, entre les rues Escobedo et García, l’agent de police n° 451 trouva, alors qu’il effectuait sa ronde dans ce secteur, un individu dénommé Ramírez. L'homme était dans un état proche de la prostration. Le malheureux saignait abondamment du nez, et lorsque l’agent l’interrogea, il affirma avoir été victime d’une agression commise par des types qu’il ne connaissait pas, juste parce qu’il leur avait demandé une cigarette. L’agent invita le blessé à le suivre jusqu’au commissariat de quartier pour qu'il fasse les déclarations nécessaires à l’élucidation de l’affaire ; ce que Ramírez refusa catégoriquement.

OK.