vendredi 2 octobre 2015

Projet Élodie 10 – phrases 134-147

A mi espalda, podía distinguir el sonido de la ropa y de los pies desnudos sobre el suelo. Se fue dando un portazo. Y yo seguía allí rígida, bajo el quicio de la puerta. La gata se acercó a mí. Intenté darle un puñetazo, pero consiguió esquivarlo. Aguanté un gruñido, aún me dura el moratón. Fuera tú también. ¡Fuera! Y me metí en la cama temblando de frío. Me destapé en seguida. No pensaba en nada. Me guiaba el temblor de unas tripas rojas. Me vestí y me puse el abrigo y las deportivas, bisbiseé un poco y logré engañar a esa gata tonta que nunca sospechaba. Quieta, quieta, gatita. 

Traduction temporaire :
Dans mon dos, je percevais le frottement des habits et des pieds nus sur le sol. Elle partit en claquant la porte. Et moi, j'étais là, toujours figée, dans l'encadrement de la porte. La chatte s'approcha de moi. J'essayai de lui donner un coup de poing, mais elle réussit à esquiver. Je ravalai un grognement ; le bleu est encore sensible. Dehors, toi aussi. Dehors ! Et je me mis dans mon lit, tremblante de froid. Je me découvris tout de suite. Je ne pensais à rien. Le frémissement de mes entrailles me guidait. Je m'habillai et enfilai mon manteau et mes baskets, murmurai et réussis à tromper cette chatte idiote qui ne se doutait jamais de rien. Doucement, doucement, petite chatte.

8 commentaires:

Elodie a dit…

Dans mon dos, je pouvais distinguer le bruit des habits et des pieds nus sur le sol. Elle partit en claquant la porte. Et moi, j'étais toujours là, figée, dans l'encadrement de la porte. La chatte s'approcha de moi. J'essayai de lui donner un coup de poing mais elle réussit à l'esquiver. Je retins un grognement ; le bleu persiste encore. Dehors, toi aussi. Dehors ! Et je me mis dans mon lit, tremblant de froid. Je me découvris tout de suite. Je ne pensais à rien. Le tremblement de mes tripes me guidait. Je m'habillai et enfilai mon manteau et mes baskets, murmurai un peu et réussis à tromper cette chatte idiote qui ne soupçonnait jamais rien. Doucement, doucement, petite chatte.

Tradabordo a dit…

Dans mon dos, je pouvais [nécessaire ?] distinguer [« percevoir » ? Essaie et vois ce qui est mieux] le bruit des habits et des pieds nus sur le sol. Elle partit en claquant la porte. Et moi, j'étais toujours là, figée, [« toujours » – pour justifier qu'on le dit pour le 3 ou 4e fois] dans l'encadrement de la porte. La chatte s'approcha de moi. J'essayai de lui donner un coup de poing [virgule devant « mais »] mais elle réussit à l'[nécessaire ?]esquiver. Je retins [« ravalai » ? Comme tu préfères] un grognement ; le bleu persiste [adapté ici ?] encore. Dehors, toi aussi. Dehors ! Et je me mis dans mon lit, tremblant [ou avec l'adjectif ? J'hésite…] de froid. Je me découvris tout de suite. Je ne pensais à rien. Le tremblement de mes tripes [naturel] me guidait. Je m'habillai et enfilai mon manteau et mes baskets, murmurai un peu [naturel ?] et réussis à tromper cette chatte idiote qui ne soupçonnait [« ne se doutait » ?] jamais rien. Doucement, doucement, petite chatte.

Elodie a dit…

Dans mon dos, je percevais le bruit des habits et des pieds nus sur le sol. Elle partit en claquant la porte. Et moi, j'étais là, toujours figée, dans l'encadrement de la porte. La chatte s'approcha de moi. J'essayai de lui donner un coup de poing, mais elle réussit à esquiver. Je ravalai un grognement ; le bleu est encore sensible. Dehors, toi aussi. Dehors ! Et je me mis dans mon lit, tremblante de froid. Je me découvris tout de suite. Je ne pensais à rien. Le tremblement de mes entrailles me guidait. Je m'habillai et enfilai mon manteau et mes baskets, murmurai et réussis à tromper cette chatte idiote qui ne se doutait jamais de rien. Doucement, doucement, petite chatte.

Tradabordo a dit…

Dans mon dos, je percevais le bruit des habits et des pieds nus sur le sol. Elle partit en claquant la porte. Et moi, j'étais là, toujours figée, dans l'encadrement de la porte. La chatte s'approcha de moi. J'essayai de lui donner un coup de poing, mais elle réussit à esquiver. Je ravalai un grognement ; le bleu est encore sensible. Dehors, toi aussi. Dehors ! Et je me mis dans mon lit, tremblante de froid. Je me découvris tout de suite. Je ne pensais à rien. Le tremblement [essaie de ne pas répéter] de mes entrailles me guidait. Je m'habillai et enfilai mon manteau et mes baskets, murmurai et réussis à tromper cette chatte idiote qui ne se doutait jamais de rien. Doucement, doucement, petite chatte.

Elodie a dit…

Dans mon dos, je percevais le bruit des habits et des pieds nus sur le sol. Elle partit en claquant la porte. Et moi, j'étais là, toujours figée, dans l'encadrement de la porte. La chatte s'approcha de moi. J'essayai de lui donner un coup de poing, mais elle réussit à esquiver. Je ravalai un grognement ; le bleu est encore sensible. Dehors, toi aussi. Dehors ! Et je me mis dans mon lit, tremblante de froid. Je me découvris tout de suite. Je ne pensais à rien. Le frémissement de mes entrailles me guidait. Je m'habillai et enfilai mon manteau et mes baskets, murmurai et réussis à tromper cette chatte idiote qui ne se doutait jamais de rien. Doucement, doucement, petite chatte.

Tradabordo a dit…

Dans mon dos, je percevais le bruit des habits [au fait : bizarre « le bruit des habits », non ?] et des pieds nus sur le sol. Elle partit en claquant la porte. Et moi, j'étais là, toujours figée, dans l'encadrement de la porte. La chatte s'approcha de moi. J'essayai de lui donner un coup de poing, mais elle réussit à esquiver. Je ravalai un grognement ; le bleu est encore sensible. Dehors, toi aussi. Dehors ! Et je me mis dans mon lit, tremblante de froid. Je me découvris tout de suite. Je ne pensais à rien. Le frémissement de mes entrailles me guidait. Je m'habillai et enfilai mon manteau et mes baskets, murmurai et réussis à tromper cette chatte idiote qui ne se doutait jamais de rien. Doucement, doucement, petite chatte.

Elodie a dit…

Dans mon dos, je percevais le frottement des habits et des pieds nus sur le sol. Elle partit en claquant la porte. Et moi, j'étais là, toujours figée, dans l'encadrement de la porte. La chatte s'approcha de moi. J'essayai de lui donner un coup de poing, mais elle réussit à esquiver. Je ravalai un grognement ; le bleu est encore sensible. Dehors, toi aussi. Dehors ! Et je me mis dans mon lit, tremblante de froid. Je me découvris tout de suite. Je ne pensais à rien. Le frémissement de mes entrailles me guidait. Je m'habillai et enfilai mon manteau et mes baskets, murmurai et réussis à tromper cette chatte idiote qui ne se doutait jamais de rien. Doucement, doucement, petite chatte.

Tradabordo a dit…

Dans mon dos, je percevais le frottement des habits et des pieds nus sur le sol. Elle partit en claquant la porte. Et moi, j'étais là, toujours figée, dans l'encadrement de la porte. La chatte s'approcha de moi. J'essayai de lui donner un coup de poing, mais elle réussit à esquiver. Je ravalai un grognement ; le bleu est encore sensible. Dehors, toi aussi. Dehors ! Et je me mis dans mon lit, tremblante de froid. Je me découvris tout de suite. Je ne pensais à rien. Le frémissement de mes entrailles me guidait. Je m'habillai et enfilai mon manteau et mes baskets, murmurai et réussis à tromper cette chatte idiote qui ne se doutait jamais de rien. Doucement, doucement, petite chatte.

OK.