mercredi 21 octobre 2015

Projet Loïck 9 – phrases 57-62

El pobre hombre estaba intranquilo, como si extrañase que le deja­ra permanecer en aquel sitio. Le di un cigarro, y poco a poco fué ha­blando.
Todos los sábados hacia el viaje del mismo modo. Esperaba el tren a su salida de Albacete, saltaba a un estribo, con riesgo de ser despedazado; coma por fuera todos los vagones, buscando un departa­mento vacio, y en las estaciones apeábase poco antes de la llegada, y volvia a subir después de la salida: siempre mudando de sitio para evitar la vigilancia de los empleados, unas malas almas enemigas de los pobres.
-Pero ¿adónde vas? -le dije-. ¿Por qué haces este viaje, exponién­dote a morir despedazado?

Traduction temporaire :

Le pauvre homme était inquiet, comme s'il était étonné que je le laisse rester ici. Je lui offris une cigarette, et petit à petit, il se mit à parler. Le samedi, il avait l'habitude de faire le voyage de la même façon : il attendait le train au départ d'Albacete, sautait sur un marchepied, au risque de finir déchiqueté ; il inspectait depuis l'extérieur tous les wagons, à la recherche d'un compartiment vide, descendait un peu avant d'arriver en gare, et remontait après le départ, toujours en changeant de place afin de tromper la vigilance des employés, la bête noire des pauvres.
— Mais où vas-tu ? lui lançai-je. Pourquoi faire ce voyage où tu risques de finir en plusieurs morceaux ?

6 commentaires:

Loïck Ths a dit…

Le pauvre homme n'était pas à son aise, comme s'il était étonné que je le laisse rester en ce lieu. Je lui donnai une cigarette, et petit à petit, il se mit à parler. Le samedi, il faisait le voyage de la même façon. Il attendait le train au départ d'Albacete, sautait sur un marchepied, au risque de se faire déchiqueter ; il inspectait depuis l'extérieur tous les wagons, à la recherche d'un compartiment vide, descendait un peu avant d'arriver en gare, et remontait après le départ : toujours en changeant de place afin de tromper la vigilance des employés, les bêtes noires des pauvres.
— Mais, où vas-tu ? lui dis-je. Pourquoi fais-tu ce voyage qui t'expose au risque de mourir déchiqueter ?

Tradabordo a dit…

Le pauvre homme n'était pas à son aise [ou dans le sens « inquiet » ? J'hésite… Vérifiez bien dans le dico unilingue], comme s'il était étonné que je le laisse rester en ce lieu [manque de naturel]. Je lui donnai [un verbe plus intéressant ici ?] une cigarette, et petit à petit [tirets ? Vérifiez], il se mit à parler. Le samedi, il faisait [là, on n'a pas assez l'habitude] le voyage de la même façon. [deux points ?] Il attendait le train au départ d'Albacete, sautait sur un marchepied, au risque de se faire [vous en avez déjà un juste avant…] déchiqueter ; il inspectait depuis l'extérieur tous les wagons, à la recherche d'un compartiment vide, descendait un peu avant d'arriver en gare, et remontait après le départ : [virgule] toujours en changeant de place afin de tromper la vigilance des employés, les bêtes noires [au singulier ?] des pauvres.
— Mais, [pas de virgule] où vas-tu ? lui dis[un verbe plus intéressant]-je. Pourquoi fais [X3]-tu ce voyage qui t'expose au risque de mourir déchiqueter [pas du tout naturel] ?

Loïck Ths a dit…

Le pauvre homme était inquiet, comme s'il était étonné que je le laisse rester ici. Je lui offris une cigarette, et petit à petit, il se mit à parler. Le samedi, il avait l'habitude de faire le voyage de la même façon : il attendait le train au départ d'Albacete, sautait sur un marchepied, au risque de finir déchiqueter ; il inspectait depuis l'extérieur tous les wagons, à la recherche d'un compartiment vide, descendait un peu avant d'arriver en gare, et remontait après le départ, toujours en changeant de place afin de tromper la vigilance des employés, la bête noire des pauvres.
— Mais où vas-tu ? lui lançai-je. Pourquoi faire ce voyage qui t'expose à mourir déchiqueter?

Tradabordo a dit…

Le pauvre homme était inquiet, comme s'il était étonné que je le laisse rester ici. Je lui offris une cigarette, et petit à petit, il se mit à parler. Le samedi, il avait l'habitude de faire le voyage de la même façon : il attendait le train au départ d'Albacete, sautait sur un marchepied, au risque de finir déchiqueter [grammaire] ; il inspectait depuis l'extérieur tous les wagons, à la recherche d'un compartiment vide, descendait un peu avant d'arriver en gare, et remontait après le départ, toujours en changeant de place afin de tromper la vigilance des employés, la bête noire des pauvres.
— Mais où vas-tu ? lui lançai-je. Pourquoi faire ce voyage qui t'expose à mourir déchiqueter[manque de naturel + espace]?

Loïck Ths a dit…

Le pauvre homme était inquiet, comme s'il était étonné que je le laisse rester ici. Je lui offris une cigarette, et petit à petit, il se mit à parler. Le samedi, il avait l'habitude de faire le voyage de la même façon : il attendait le train au départ d'Albacete, sautait sur un marchepied, au risque de finir déchiqueté ; il inspectait depuis l'extérieur tous les wagons, à la recherche d'un compartiment vide, descendait un peu avant d'arriver en gare, et remontait après le départ, toujours en changeant de place afin de tromper la vigilance des employés, la bête noire des pauvres.
— Mais où vas-tu ? lui lançai-je. Pourquoi faire ce voyage où tu risques de finir en plusieurs morceaux ?

Tradabordo a dit…

Le pauvre homme était inquiet, comme s'il était étonné que je le laisse rester ici. Je lui offris une cigarette, et petit à petit, il se mit à parler. Le samedi, il avait l'habitude de faire le voyage de la même façon : il attendait le train au départ d'Albacete, sautait sur un marchepied, au risque de finir déchiqueté ; il inspectait depuis l'extérieur tous les wagons, à la recherche d'un compartiment vide, descendait un peu avant d'arriver en gare, et remontait après le départ, toujours en changeant de place afin de tromper la vigilance des employés, la bête noire des pauvres.
— Mais où vas-tu ? lui lançai-je. Pourquoi faire ce voyage où tu risques de finir en plusieurs morceaux ?

OK.