jeudi 1 octobre 2015

Projet Marine 5 – phrases 76-81

Una y otra vez, como fascinada, hasta que soltó el llanto y partió, con el peso y la lentitud de la resignación, hacia la puerta del baño. Los zorzales parecieron inclinar la cabeza cuando se persigno y se quedaron callados. Tardó una eternidad en hincarse y nosotros, que siempre salíamos corriendo a verla nos quedamos quietos. Una especie de miedo nos inmovilizó. Antonio no había llegado de trabajar y no sabíamos por qué su ausencia nos produjo una sensación de desamparo. Los gemidos nos obligaron a acercarnos.

Traduction temporaire :
Encore et encore, comme fascinée, jusqu'à ce qu'elle éclate en sanglots et s'en aille, traînant le poids et la lenteur de sa résignation vers la porte de la salle de bain. Les litornes semblèrent incliner la tête quand elle fit le signe de croix et restèrent silencieuses. Elle mit une éternité à s'agenouiller et nous, qui sortions toujours en courant pour la voir, nous restâmes immobiles. Une espèce de peur nous paralysa. Antonio n'était pas rentré du travail et nous ne savions pas pourquoi son absence provoquait chez nous une sensation d'abandon. Les gémissements nous obligèrent à nous approcher.

8 commentaires:

Unknown a dit…

À plusieurs reprises, comme fascinée, jusqu'à ce qu'elle laissât échapper ses larmes et s'en allât, traînant le poids et la lenteur de sa résignation, jusqu'à la porte de la salle de bain. Les fourbes semblèrent incliner la tête quand elle fit le signe de croix et restèrent silencieux. Elle mit une éternité à s'agenouiller et nous, qui sortions toujours en courant pour la voir, nous restâmes calmes. Une espèce de peur nous immobilisa. Antonio n'était pas arrivé du travail et nous ne savions pas pourquoi son absence nous produisit une sensation d'abandon. Les gémissements nous obligèrent à nous approcher.

Tradabordo a dit…

À plusieurs reprises [pas exactement], comme fascinée, jusqu'à ce qu'elle laissât [pas de concordance des temps] échapper ses larmes [peu naturel, ainsi formulé] et s'en allât [idem], traînant le poids et la lenteur de sa résignation, [sans la virgule ?] jusqu'à [FS] la porte de la salle de bain. Les fourbes [?] semblèrent incliner la tête quand elle fit le signe de croix et restèrent silencieux. Elle mit une éternité à s'agenouiller et nous, qui sortions toujours en courant pour la voir, nous restâmes calmes [FS ici ?]. Une espèce de peur nous immobilisa [« paralysa » ?]. Antonio n'était pas arrivé [mal dit] du travail et nous ne savions pas pourquoi son absence nous produisit [bizarre, les temps, non ?] une sensation d'abandon. Les gémissements nous obligèrent à nous approcher.

Unknown a dit…

Continuellement, comme fascinée, jusqu'à ce qu'elle laissa couler ses larmes et s'en alla, traînant le poids et la lenteur de sa résignation vers la porte de la salle de bain. Les grives [je croyais que c'était le sens figuré du mot « zorzal » : « hombre astuto »] semblèrent incliner la tête quand elle fit le signe de croix et restèrent silencieuses. Elle mit une éternité à s'agenouiller et nous, qui sortions toujours en courant pour la voir, nous restâmes silencieux. Une espèce de peur nous paralysa. Antonio n'était pas rentré du travail et nous ne savions pas pourquoi son absence nous provoquait une sensation d'abandon. Les gémissements nous obligèrent à nous approcher.

Tradabordo a dit…

Continuellement [mal dit], comme fascinée, jusqu'à ce qu'elle laissa [grammaire] couler [mal dit] ses larmes et s'en alla [grammaire], traînant le poids et la lenteur de sa résignation vers la porte de la salle de bain. Les grives [je croyais que c'était le sens figuré du mot « zorzal » : « hombre astuto » /// y a-t-il quelque chose avant qui nous laisse penser que c'est l'une ou l'autre des deux solutions ?] semblèrent incliner la tête quand elle fit le signe de croix et restèrent silencieuses. Elle mit une éternité à s'agenouiller et nous, qui sortions toujours en courant pour la voir, nous restâmes silencieux [FS]. Une espèce de peur nous paralysa. Antonio n'était pas rentré du travail et nous ne savions pas pourquoi son absence nous [mal dit ; ne le tournez pas comme ça] provoquait une sensation d'abandon. Les gémissements nous obligèrent à nous approcher.

Unknown a dit…

Sans s'arrêter, comme fascinée, jusqu'à ce qu'elle laisse verser des larmes et s'en aille, traînant le poids et la lenteur de sa résignation vers la porte de la salle de bain. Les litornes semblèrent incliner la tête quand elle fit le signe de croix et restèrent silencieuses. Elle mit une éternité à s'agenouiller et nous, qui sortions toujours en courant pour la voir, nous restâmes immobiles. Une espèce de peur nous paralysa. Antonio n'était pas rentré du travail et nous ne savions pas pourquoi son absence provoquait chez nous une sensation d'abandon. Les gémissements nous obligèrent à nous approcher.

Tradabordo a dit…

Sans s'arrêter [« Encore et encore »], comme fascinée, jusqu'à ce qu'elle laisse verser [mal dit ; « éclater en sanglots » ou quelque chose comme ça…] des larmes et s'en aille, traînant le poids et la lenteur de sa résignation vers la porte de la salle de bain. Les litornes semblèrent incliner la tête quand elle fit le signe de croix et restèrent silencieuses. Elle mit une éternité à s'agenouiller et nous, qui sortions toujours en courant pour la voir, nous restâmes immobiles. Une espèce de peur nous paralysa. Antonio n'était pas rentré du travail et nous ne savions pas pourquoi son absence provoquait chez nous une sensation d'abandon. Les gémissements nous obligèrent à nous approcher.

Unknown a dit…

Encore et encore, comme fascinée, jusqu'à ce qu'elle éclate en sanglots et s'en aille, traînant le poids et la lenteur de sa résignation vers la porte de la salle de bain. Les litornes semblèrent incliner la tête quand elle fit le signe de croix et restèrent silencieuses. Elle mit une éternité à s'agenouiller et nous, qui sortions toujours en courant pour la voir, nous restâmes immobiles. Une espèce de peur nous paralysa. Antonio n'était pas rentré du travail et nous ne savions pas pourquoi son absence provoquait chez nous une sensation d'abandon. Les gémissements nous obligèrent à nous approcher.

Tradabordo a dit…

Encore et encore, comme fascinée, jusqu'à ce qu'elle éclate en sanglots et s'en aille, traînant le poids et la lenteur de sa résignation vers la porte de la salle de bain. Les litornes semblèrent incliner la tête quand elle fit le signe de croix et restèrent silencieuses. Elle mit une éternité à s'agenouiller et nous, qui sortions toujours en courant pour la voir, nous restâmes immobiles. Une espèce de peur nous paralysa. Antonio n'était pas rentré du travail et nous ne savions pas pourquoi son absence provoquait chez nous une sensation d'abandon. Les gémissements nous obligèrent à nous approcher.

OK.