dimanche 4 octobre 2015

Projet Nancy 5 – titre + phrases 1-3

Roberto Mariani (Argentine)

Uno

La caída.

Este hombre camina quizá un tanto apresuradamente. El fragor de la hora en esta calle central impide oír el ruido seco del taco militar contra las baldosas, pero ciertamente camina de modo normal: asienta primero el taco de un pie en el suelo, y después la planta; en seguida efectúa una presión muscular: se alza el talón, y todo el cuerpo presiona sobre la planta, ahora sobre los dedos… Mientras un pie es soporte, el otro va a serlo inminentemente, y mientras no lo sea de modo actual y absoluto, avanza unos quince, unos veinte centímetros.

Traduction temporaire :


Roberto Mariani (Argentine)

Un

La chute.

L'homme marche peut-être un peu vite. À cette heure-ci, le fracas dans la grand-rue couvre le bruit sec du talon de ses chaussures militaires sur le pavé, mais il semble avancer normalement. Il pose d'abord le talon par terre, ensuite, la plante du pied ; aussitôt, il contracte ses muscles, relève le talon, et appuie tout son corps sur la plante, puis maintenant sur les doigts… Pendant qu'un pied est un support, l'autre s'apprête à le devenir, et tant qu'il ne l'est pas vraiment et de manière absolue, il progresse de quinze à vingt centimètres.

6 commentaires:

Nancy a dit…

Un
La chute.

L'homme marche peut-être un peu vite. À cette heure-ci, le fracas dans la rue principale couvre le bruit sec du talon de ses chaussures militaires sur le pavé, mais il avance certainement de façon normale. Il pose d'abord un de ses talons sur le sol, et ensuite, la plante du pied ; aussitôt, il contracte ses muscles, lève le talon, et appuie tout son corps sur la plante, puis sur les doigts… Tandis qu'un pied est un support, l'autre s'apprête à le devenir, et tant qu'il ne l'est pas vraiment et de manière absolue, il progresse de quinze à vingt centimètres.

Tradabordo a dit…

Nom de l'auteur + pays

Un

La chute.

L'homme marche peut-être un peu vite. À cette heure-ci, le fracas dans la rue principale [« grand-rue » ? Comme tu veux…] couvre le bruit sec du talon de ses chaussures militaires sur le pavé, mais il avance certainement de façon normale [naturel ? Je ne dis pas que ça ne va pas… J'ai un petit doute // si tu ne trouves pas mieux, laisse]. Il pose d'abord un de ses [« le » ?] talons sur le sol [« par terre » ?], et ensuite, la plante du pied ; aussitôt, il contracte ses muscles, lève [« relève » ?] le talon, et appuie tout son corps sur la plante, puis [« maintenant »] sur les doigts… Tandis qu'un pied est un support, l'autre s'apprête à le devenir, et tant [embêtant ce « tandis » + « tant »] qu'il ne l'est pas vraiment et de manière absolue, il progresse de quinze à vingt centimètres.

Nancy a dit…

Roberto Mariani (Argentine)

Un

La chute.

L'homme marche peut-être un peu vite. À cette heure-ci, le fracas dans la grand-rue couvre le bruit sec du talon de ses chaussures militaires sur le pavé, mais il avance sans nul doute normalement. Il pose d'abord le talon par terre, et ensuite, la plante du pied ; aussitôt, il contracte ses muscles, relève le talon, et appuie tout son corps sur la plante, puis maintenant sur les doigts… Pendant qu'un pied est un support, l'autre s'apprête à le devenir, et tant qu'il ne l'est pas vraiment et de manière absolue, il progresse de quinze à vingt centimètres.

Tradabordo a dit…

Roberto Mariani (Argentine)

Un

La chute.

L'homme marche peut-être un peu vite. À cette heure-ci, le fracas dans la grand-rue couvre le bruit sec du talon de ses chaussures militaires sur le pavé, mais il avance sans nul doute [naturel ?] normalement. Il pose d'abord le talon par terre, et [nécessaire ?] ensuite, la plante du pied ; aussitôt, il contracte ses muscles, relève le talon, et appuie tout son corps sur la plante, puis maintenant sur les doigts… Pendant qu'un pied est un support, l'autre s'apprête à le devenir, et tant qu'il ne l'est pas vraiment et de manière absolue, il progresse de quinze à vingt centimètres.

Nancy a dit…

Roberto Mariani (Argentine)

Un

La chute.

L'homme marche peut-être un peu vite. À cette heure-ci, le fracas dans la grand-rue couvre le bruit sec du talon de ses chaussures militaires sur le pavé, mais il semble avancer normalement. Il pose d'abord le talon par terre, ensuite, la plante du pied ; aussitôt, il contracte ses muscles, relève le talon, et appuie tout son corps sur la plante, puis maintenant sur les doigts… Pendant qu'un pied est un support, l'autre s'apprête à le devenir, et tant qu'il ne l'est pas vraiment et de manière absolue, il progresse de quinze à vingt centimètres.

Tradabordo a dit…

Roberto Mariani (Argentine)

Un

La chute.

L'homme marche peut-être un peu vite. À cette heure-ci, le fracas dans la grand-rue couvre le bruit sec du talon de ses chaussures militaires sur le pavé, mais il semble avancer normalement. Il pose d'abord le talon par terre, ensuite, la plante du pied ; aussitôt, il contracte ses muscles, relève le talon, et appuie tout son corps sur la plante, puis maintenant sur les doigts… Pendant qu'un pied est un support, l'autre s'apprête à le devenir, et tant qu'il ne l'est pas vraiment et de manière absolue, il progresse de quinze à vingt centimètres.

OK.