mercredi 7 octobre 2015

Projet Nathalie – phrases 72-77

¿Se enteró?, le dijo el Chibuto a doña Silvia, que la Guillermina mandó madrear a los hamburgueseros de la Alameda para poner dos puestos más de santacloses. Ya valió madre, dijo doña Silvia. Ya valiste madre, dice el Moreno. Todavía jadeando, lo inmoviliza con el peso de su cuerpo y le aprieta el cuello con una mano como zarpa. Toma aire. En su mirada hay rencor, pero sonríe.

Traduction temporaire :
Vous êtes au courant que Guillermina a fait virer les employés du fast-food de la Alameda pour installer deux stands de Noël supplémentaires à la place ? demanda le Barbu à doña Silvia. On n'en avait rien à cirer, répondit doña Silvia. T'en avais rien à cirer, corrige le Basané. Haletant toujours, il l'immobilise sous le poids de son corps et, sa main comme une griffe, lui serre le cou. Il prend une inspiration. Il y a de la rancœur dans son regard, mais il sourit.

33 commentaires:

Unknown a dit…

Il s'en est aperçu que Guillermina a viré les vendeurs de fast-food de la Promenade pour pouvoir installer deux stands supplémentaires de père noël?, dit Barbu à doña Silvia.

J'ai du mal à saisir le sens de "valer" dans ce contexte....

Tradabordo a dit…

Je demande son avis à Elena.

Elena a dit…

"Valer madre" signifie : importar un bledo

Elena a dit…

Voici ce que je comprends :

¿Se enteró?, le dijo el Chibuto a doña Silvia, que la Guillermina mandó madrear a los hamburgueseros de la Alameda para poner dos puestos más de santacloses.

Il s'en est aperçu [CS : "Le saviez-vous ?"] que Guillermina a viré ["mandó" → elle ne les a pas viré, elle les "a fait virer"] les vendeurs de fast-food de la Promenade [C'est un nom de lieu...] pour pouvoir [Supprimer ° "y"] installer deux stands supplémentaires de père noël ["Noël" ?]?, dit Barbu à doña Silvia.

Tradabordo a dit…

Merci, Elena.

Justine a dit…

¿Se enteró?, le dijo el Chibuto a doña Silvia, que la Guillermina mandó madrear a los hamburgueseros de la Alameda para poner dos puestos más de santacloses. Ya valió madre, dijo doña Silvia. Ya valiste madre, dice el Moreno. Todavía jadeando, lo inmoviliza con el peso de su cuerpo y le aprieta el cuello con una mano como zarpa. Toma aire. En su mirada hay rencor, pero sonríe.

Vous étiez au courant ? demanda le Barbu à doña Silvia. Guillermina a fait virer les employés du fast-food de la Alameda pour installer deux stands de Noël supplémentaires à la place. On s'en fichait comme d'une guigne, répondit doña Silvia. Tu t'en fichais comme d'une guigne, corrige le Basané. Haletant toujours, il l'immobilise sous le poids de son corps et, d'une main déployée telle une ronce, lui serre le cou. Il prend une inspiration. Il y a de la rancœur dans son regard, mais il sourit.

Tradabordo a dit…

Vous vous êtes mises d'accord sur ce qui précède ?

***

¿Se enteró?, le dijo el Chibuto a doña Silvia, que la Guillermina mandó madrear a los hamburgueseros de la Alameda para poner dos puestos más de santacloses. Ya valió madre, dijo doña Silvia. Ya valiste madre, dice el Moreno. Todavía jadeando, lo inmoviliza con el peso de su cuerpo y le aprieta el cuello con una mano como zarpa. Toma aire. En su mirada hay rencor, pero sonríe.

Vous étiez au courant ? demanda le Barbu à doña Silvia. [pourquoi un point ? Tu crois que pas que c'est la suite de « se enteró » ?]

Guillermina a fait virer les employés du fast-food de la Alameda pour installer deux stands de Noël supplémentaires à la place. On s'en fichait comme d'une guigne, répondit doña Silvia. Tu t'en fichais comme d'une guigne, corrige le Basané. Haletant toujours, il l'immobilise sous le poids de son corps et, d'une main déployée telle une ronce, lui serre le cou. Il prend une inspiration. Il y a de la rancœur dans son regard, mais il sourit.

Justine a dit…

Oui, on s'est mises d'accord, on te fera un doc global au moment des relectures.

¿Se enteró?, le dijo el Chibuto a doña Silvia, que la Guillermina mandó madrear a los hamburgueseros de la Alameda para poner dos puestos más de santacloses. Ya valió madre, dijo doña Silvia. Ya valiste madre, dice el Moreno. Todavía jadeando, lo inmoviliza con el peso de su cuerpo y le aprieta el cuello con una mano como zarpa. Toma aire. En su mirada hay rencor, pero sonríe.

Vous étiez au courant ? demanda le Barbu à doña Silvia, Guillermina a fait virer les employés du fast-food de la Alameda pour installer deux stands de Noël supplémentaires à la place. On s'en fichait comme d'une guigne, répondit doña Silvia. Tu t'en fichais comme d'une guigne, corrige le Basané. Haletant toujours, il l'immobilise sous le poids de son corps et, d'une main déployée telle une ronce, lui serre le cou. Il prend une inspiration. Il y a de la rancœur dans son regard, mais il sourit.

Tradabordo a dit…

¿Se enteró?, le dijo el Chibuto a doña Silvia, que la Guillermina mandó madrear a los hamburgueseros de la Alameda para poner dos puestos más de santacloses. Ya valió madre, dijo doña Silvia. Ya valiste madre, dice el Moreno. Todavía jadeando, lo inmoviliza con el peso de su cuerpo y le aprieta el cuello con una mano como zarpa. Toma aire. En su mirada hay rencor, pero sonríe.

Vous étiez au courant ? demanda le Barbu à doña Silvia, Guillermina [ru devrais changer la syntaxe pour qu'il n'y ait pas cette rupture qui rend le truc confus] a fait virer les employés du fast-food de la Alameda pour installer deux stands de Noël supplémentaires à la place. On s'en fichait comme d'une guigne, répondit doña Silvia. Tu t'en fichais comme d'une guigne, corrige le Basané. Haletant toujours, il l'immobilise sous le poids de son corps et, d'une main déployée telle une ronce, lui serre le cou. Il prend une inspiration. Il y a de la rancœur dans son regard, mais il sourit.

Unknown a dit…

Vous étiez au courant que Guillermina a fait virer les employés du fast-food de la Alameda pour installer deux stands de Noël supplémentaires à la place ? demanda le Barbu à doña Silvia. On s'en fichait comme d'une guigne, répondit doña Silvia. Tu t'en fichais comme d'une guigne, corrige le Basané. Haletant toujours, il l'immobilise sous le poids de son corps et, d'une main déployée telle une ronce, lui serre le cou. Il prend une inspiration. Il y a de la rancœur dans son regard, mais il sourit.

Tradabordo a dit…

Vous étiez [ou au présent ?] au courant que Guillermina a fait virer [ou « virer » ? Je ne sais plus… c'est elle, la boss ?] les employés du fast-food de la Alameda pour installer deux stands de Noël supplémentaires à la place ? demanda le Barbu à doña Silvia.

Faisons déjà cela.

On s'en fichait comme d'une guigne, répondit doña Silvia. Tu t'en fichais comme d'une guigne, corrige le Basané. Haletant toujours, il l'immobilise sous le poids de son corps et, d'une main déployée telle une ronce, lui serre le cou. Il prend une inspiration. Il y a de la rancœur dans son regard, mais il sourit.

Unknown a dit…

Elena avait dit dans sa proposition "faire virer".
Pour le verbe "être" je trouve que les deux sont acceptables avec un sens légèrement différent mais peut-être que le présent est plus adapté.
Pour Guillermina, c'est la première fois que l'on évoque son nom mais c'est Doña Silvia qui attribue les emplacements.

Tradabordo a dit…

OK. Donc, mets la bonne version. Il faut le faire à chaque fois, pour que j'évalue sur pièce ce que ça donne.

Unknown a dit…

Vous êtes au courant que Guillermina a fait virer les employés du fast-food de la Alameda pour installer deux stands de Noël supplémentaires à la place ? demanda le Barbu à doña Silvia.

Tradabordo a dit…

Avec la V.O., pour que je puisse facilement corriger.

Vous êtes au courant que Guillermina a fait virer les employés du fast-food de la Alameda pour installer deux stands de Noël supplémentaires à la place ? demanda le Barbu à doña Silvia.

OK.

Justine ?

Justine a dit…

Vous êtes au courant que Guillermina a fait virer les employés du fast-food de la Alameda pour installer deux stands de Noël supplémentaires à la place ? demanda le Barbu à doña Silvia.

OK.

Tradabordo a dit…

Du coup, je colle et vous pouvez ajouter la suite.

Unknown a dit…

Ya valió madre, dijo doña Silvia. Ya valiste madre, dice el Moreno. Todavía jadeando, lo inmoviliza con el peso de su cuerpo y le aprieta el cuello con una mano como zarpa. Toma aire. En su mirada hay rencor, pero sonríe.

On n'en avait rien à cirer, répondit doña Silvia. Tu n'en avais rien à cirer, corrige le Basané. Haletant toujours, il l'immobilise sous le poids de son corps et, d'une main déployée telle une griffe, lui serre le cou. Il prend une inspiration. Il y a de la rancœur dans son regard, mais il sourit.

Tradabordo a dit…

Ya valió madre, dijo doña Silvia. Ya valiste madre, dice el Moreno. Todavía jadeando, lo inmoviliza con el peso de su cuerpo y le aprieta el cuello con una mano como zarpa. Toma aire. En su mirada hay rencor, pero sonríe.

On n'en avait rien à cirer, répondit doña Silvia. Tu n'en [« t'en » ?] avais rien à cirer, corrige le Basané.

Sûre de l'interprétation ? Tu l'as trouvé ? Sinon, n'hésitez pas à demander à Elena. Avec l'argot, c'est toujours compliqué.

Haletant toujours, il l'immobilise sous le poids de son corps et, d'une main déployée telle une griffe, lui serre le cou. Il prend une inspiration. Il y a de la rancœur dans son regard, mais il sourit.

Justine a dit…

Oui, Elena avait dit que « valer madre » signifiait « importar un bledo ».

Ya valió madre, dijo doña Silvia. Ya valiste madre, dice el Moreno. Todavía jadeando, lo inmoviliza con el peso de su cuerpo y le aprieta el cuello con una mano como zarpa. Toma aire. En su mirada hay rencor, pero sonríe.

On n'en avait rien à cirer, répondit doña Silvia. T'en avais rien à cirer, corrige le Basané. Haletant toujours, il l'immobilise sous le poids de son corps et, d'une main déployée telle une griffe, lui serre le cou. Il prend une inspiration. Il y a de la rancœur dans son regard, mais il sourit.



Unknown a dit…

Elena avait indiqué au début que cela était un synonyme de "importar un bledo",la traduction exacte serait "s'en ficher comme de l'an quarante" mais je pense que "en avoir rien à cirer" est valable.

Ya valió madre, dijo doña Silvia. Ya valiste madre, dice el Moreno. Todavía jadeando, lo inmoviliza con el peso de su cuerpo y le aprieta el cuello con una mano como zarpa. Toma aire. En su mirada hay rencor, pero sonríe.

On n'en avait rien à cirer, répondit doña Silvia. T'en avais rien à cirer, corrige le Basané. Haletant toujours, il l'immobilise sous le poids de son corps et, d'une main déployée telle une griffe, lui serre le cou. Il prend une inspiration. Il y a de la rancœur dans son regard, mais il sourit.

Tradabordo a dit…

OK.

Ya valió madre, dijo doña Silvia. Ya valiste madre, dice el Moreno. Todavía jadeando, lo inmoviliza con el peso de su cuerpo y le aprieta el cuello con una mano como zarpa. Toma aire. En su mirada hay rencor, pero sonríe.

On n'en avait rien à cirer, répondit doña Silvia. T'en avais rien à cirer, corrige le Basané. Haletant toujours, il l'immobilise sous le poids de son corps et, d'une main déployée telle une griffe [pas très naturel + une griffe, ça se déploie ?], lui serre le cou. Il prend une inspiration. Il y a de la rancœur dans son regard, mais il sourit.

Justine a dit…

Ya valió madre, dijo doña Silvia. Ya valiste madre, dice el Moreno. Todavía jadeando, lo inmoviliza con el peso de su cuerpo y le aprieta el cuello con una mano como zarpa. Toma aire. En su mirada hay rencor, pero sonríe.

On n'en avait rien à cirer, répondit doña Silvia. T'en avais rien à cirer, corrige le Basané. Haletant toujours, il l'immobilise sous le poids de son corps et, d'une main formant une griffe, lui serre le cou. Il prend une inspiration. Il y a de la rancœur dans son regard, mais il sourit.

Tradabordo a dit…

Ya valió madre, dijo doña Silvia. Ya valiste madre, dice el Moreno. Todavía jadeando, lo inmoviliza con el peso de su cuerpo y le aprieta el cuello con una mano como zarpa. Toma aire. En su mirada hay rencor, pero sonríe.

On n'en avait rien à cirer, répondit doña Silvia. T'en avais rien à cirer, corrige le Basané. Haletant toujours, il l'immobilise sous le poids de son corps et, d'une main formant une griffe [ou avec : « sa main comme une griffe » ? Essaie et vois ce qui est mieux], lui serre le cou. Il prend une inspiration. Il y a de la rancœur dans son regard, mais il sourit.

Unknown a dit…

Ya valió madre, dijo doña Silvia. Ya valiste madre, dice el Moreno. Todavía jadeando, lo inmoviliza con el peso de su cuerpo y le aprieta el cuello con una mano como zarpa. Toma aire. En su mirada hay rencor, pero sonríe.

On n'en avait rien à cirer, répondit doña Silvia. T'en avais rien à cirer, corrige le Basané. Haletant toujours, il l'immobilise sous le poids de son corps et, sa main comme une griffe, lui serre le cou. Il prend une inspiration. Il y a de la rancœur dans son regard, mais il sourit.

Tradabordo a dit…

Ya valió madre, dijo doña Silvia. Ya valiste madre, dice el Moreno. Todavía jadeando, lo inmoviliza con el peso de su cuerpo y le aprieta el cuello con una mano como zarpa. Toma aire. En su mirada hay rencor, pero sonríe.

On n'en avait rien à cirer, répondit doña Silvia. T'en avais rien à cirer, corrige le Basané. Haletant toujours, il l'immobilise sous le poids de son corps et, sa main comme une griffe, lui serre le cou. Il prend une inspiration. Il y a de la rancœur dans son regard, mais il sourit.

OK.

Elena a dit…

Bonjour, je crois qu'il y a un petit CS, je vous laisse les interprétations des différentes expressions avec "madre/verga" au Mexique, elles sont en anglais, mais facilement compréhensibles :

(No) vales verga: this means "you're worthless/useless" but more vulgar (something like, "you ain't worth shit"); it can also be similar to calling someone a dumbass or a worthless prick. Whether or not the "no" is included doesn't change the meaning.

Ya valió verga: something you say when whatever you're doing, you're planning/trying to do, or what want/hope to happen isn't going to happen, has gotten out of hand/control, have gone to shit, or are no longer worth it: "Welp, now I'm fucked/boned/SooL"; "Fuck this/that shit"; etc.

Ya valiste verga: something you say when whatever someone's trying to do or want to happen isn't going to happen, it's already destined for failure: "You're fucked now"; "You're shit out of luck now"; "Now you've (fucking) done it!"; etc. It can also be said threateningly: "you're dead meat!"; "I'm gonna fuck you up!"; etc.

Unknown a dit…

Si je comprends bien, ce serait doña Silvia qui exprime une certaine colère en apprenant la décision de Guillermina, par exemple" Fait chier" puis le Basané qui répond "Eh ouais, tu t'es bien faite avoir".
Est-ce que vous comprenez la même chose?

Tradabordo a dit…

Elena, ton avis ?

Elena a dit…

Je vous mets entre crochets mes interprétations :

Ya valió madre, dijo doña Silvia. Ya valiste madre, dice el Moreno. Todavía jadeando, lo inmoviliza con el peso de su cuerpo y le aprieta el cuello con una mano como zarpa. Toma aire. En su mirada hay rencor, pero sonríe.

On n'en avait rien à cirer ["Rien à f.../faire/cirer"], répondit doña Silvia. T'en avais rien à cirer, corrige le Basané ["Va te faire f... / Tu fais ch..., ajoute le Basané"]. Haletant toujours, il l'immobilise sous le poids de son corps et, sa main comme une griffe, lui serre le cou. Il prend une inspiration. Il y a de la rancœur dans son regard, mais il sourit.

Tradabordo a dit…

Merci, Elena.

Unknown a dit…

Ya valió madre, dijo doña Silvia. Ya valiste madre, dice el Moreno. Todavía jadeando, lo inmoviliza con el peso de su cuerpo y le aprieta el cuello con una mano como zarpa. Toma aire. En su mirada hay rencor, pero sonríe.

Rien à cirer, répondit doña Silvia. Va te faire foutre, ajoute le Basané. Haletant toujours, il l'immobilise sous le poids de son corps et, sa main comme une griffe, lui serre le cou. Il prend une inspiration. Il y a de la rancœur dans son regard, mais il sourit.

Tradabordo a dit…

Ya valió madre, dijo doña Silvia. Ya valiste madre, dice el Moreno. Todavía jadeando, lo inmoviliza con el peso de su cuerpo y le aprieta el cuello con una mano como zarpa. Toma aire. En su mirada hay rencor, pero sonríe.

Rien à cirer, répondit doña Silvia. Va te faire foutre [qd même ennuyeux de ne pas répéter, comme en V.O.], ajoute le Basané. Haletant toujours, il l'immobilise sous le poids de son corps et, sa main comme une griffe, lui serre le cou. Il prend une inspiration. Il y a de la rancœur dans son regard, mais il sourit.