samedi 31 octobre 2015

Projet Sabrina 4 – phrases 10-13

En las últimas semanas me había acostumbrado a su miopía. Extraño mi ojo: no importa si de forma difusa me permitía ver la gracilidad de las jovencitas que vienen a bañarse en el lago, las redondeces de las mujeres maduras que se extienden para gozar flotando en estas aguas, el chapoteo de los niños que están aprendiendo a nadar. Esta misma mañana, a muy po cos metros de mí, una pareja de adolescentes aprovechó el cobijo de la totora y la lengua de rocas en la que habito para conjurar la vergüenza, despojarse de sus trajes de baño y entregarse decididos al placer. En su retozo, él alcanzó a pronunciar «te quiero», e incluso se dio tiempo para pedirle a la chiquilla que no sintiera miedo; ella le contestó «¿Qué es el miedo?».

Traduction temporaire :

Ces dernières semaines, je m'étais habitué à sa myopie. Mon œil me manque : ce n'est pas grave du moment qu'il me permettait de voir flou la gracilité des jeunes filles se baignant dans le lac, les rondeurs des femmes mûres faisant la planche sur ces eaux pour savourer le flottement, le barbotage des enfants apprenant à nager. Ce matin-là, à quelques mètre près de moi, un couple d'adolescents profita de la protection qu'offraient les roseaux et l'appendice rocheux dans lequel j'habite pour y abandonner leur honte, enlever leurs maillots et, déterminés, se livrer au plaisir. Pendant leurs ébats, lui parvint à dire « je t'aime », et il prit même le temps de demander à la petite de ne pas avoir peur ; elle, elle lui répondit « c'est quoi la peur ? »

12 commentaires:

Sabrina a dit…

Ce présent dans "no importa" me gêne un peu...

Ces dernières semaines, je m'étais habitué à sa myopie. Mon œil me manque : ce n'est pas grave du moment qu'il me permettait de voir flou la gracilité des petites jeunes qui viennent se baigner dans le lac, les rondeurs des femmes mûres qui s'allongent sur ces eaux pour se délecter du flottement, le barbotage des enfants qui sont en train d'apprendre à nager. Ce matin-là, à quelques mètres de moi, un couple d'adolescents profita de la cache qu'offraient le roseau et le coin rocheux dans lequel j'habite pour conjurer la honte, se débarrasser de leurs maillots et se livrer au plaisir d'un air décidé. Pendant leurs ébats, lui parvint à prononcer « je t'aime », et il prit même le temps de lui demander de ne pas avoir peur ; elle, elle lui répondit « c'est quoi la peur ? ».

Tradabordo a dit…

Ces dernières semaines, je m'étais habitué à sa myopie. Mon œil me manque : ce n'est pas grave du moment qu'il me permettait de voir flou la gracilité des petites jeunes [bof] qui viennent [nécessaire ?] se baigner dans le lac, les rondeurs des femmes mûres qui s'allongent [pourquoi tu changes ?] sur ces eaux pour se délecter du flottement [gros manque de naturel…], le barbotage des enfants qui sont [nécessaire ? Globalement, il faut que essaies de fluidifier… la difficulté étant que tu ne dois pas pour autant changer ni, évidemment, réécrire… – un équilibre à trouver ; mais comme tu prépares ton concours, il faut qu'on règle la machine dans les semaines à venir…] en train d'apprendre à nager. Ce matin-là, à quelques mètres de moi, un couple d'adolescents profita de la cache [?] qu'offraient le roseau et le coin rocheux dans lequel j'habite pour conjurer la honte [manque de clarté], se débarrasser [naturel ?] de leurs maillots et se livrer au plaisir d'un air décidé [est-ce ce qui est dit ?]. Pendant leurs ébats, lui parvint à prononcer [naturel ?] « je t'aime », et il prit même le temps de lui demander de ne pas avoir peur ; elle, elle lui répondit « c'est quoi la peur ? ».

Sabrina a dit…

Oui tu as tout à fait raison, j'ai beaucoup de mal à savoir dans quelle mesure je peux prendre quelques "libertés" sans réécrire le texte de l'auteur...

Ces dernières semaines, je m'étais habitué à sa myopie. Mon œil me manque : ce n'est pas grave du moment qu'il me permettait de voir flou la gracilité des jeunes filles se baignant dans le lac, les rondeurs des femmes mûres s'étendant sur ces eaux pour savourer leur flottement, le barbotage des enfants apprenant à nager. Ce matin-là, à quelques mètres de moi, un couple d'adolescents profita de la protection qu'offraient le roseau et le coin rocheux dans lequel j'habite pour éviter la honte, enlever leurs maillots et se livrer, décidés, au plaisir. Pendant leurs ébats, lui parvint à dire « je t'aime », et il prit même le temps de demander à la petite de ne pas avoir peur ; elle, elle lui répondit « c'est quoi la peur ? ».

Tradabordo a dit…

Raison pour laquelle il te faut un entraînement vraiment régulier.

Ces dernières semaines, je m'étais habitué à sa myopie. Mon œil me manque : ce n'est pas grave du moment qu'il me permettait de voir flou la gracilité des jeunes filles se baignant dans le lac, les rondeurs des femmes mûres s'étendant [« faire la planche » ?] sur ces eaux pour savourer leur flottement, le barbotage des enfants apprenant à nager. Ce matin-là, à quelques mètres de moi, un couple d'adolescents profita de la protection qu'offraient le roseau [pluriel ?] et le coin [texte ?] rocheux dans lequel j'habite pour éviter la honte [naturel ?], enlever leurs maillots et se livrer, décidés [mal dit], au plaisir. Pendant leurs ébats, lui parvint à dire « je t'aime », et il prit même le temps de demander à la petite de ne pas avoir peur ; elle, elle lui répondit « c'est quoi la peur ? »

Sabrina a dit…

Oui :)

J'aime beaucoup "faire la planche", merci !
Je n'ai pas compris "la lengua de rocas". J'ai eu beau chercher, je n'ai pas trouvé...
Je m'éloigne trop si je dis "pour éviter d'être vus"?

Ces dernières semaines, je m'étais habitué à sa myopie. Mon œil me manque : ce n'est pas grave du moment qu'il me permettait de voir flou la gracilité des jeunes filles se baignant dans le lac, les rondeurs des femmes mûres faisant la planche sur ces eaux pour savourer leur flottement, le barbotage des enfants apprenant à nager. Ce matin-là, à quelques mètres de moi, un couple d'adolescents profita de la protection qu'offraient les roseaux et le tapis rocheux dans lequel j'habite pour éviter d'être vus, enlever leurs maillots et se livrer, déterminés, au plaisir. Pendant leurs ébats, lui parvint à dire « je t'aime », et il prit même le temps de demander à la petite de ne pas avoir peur ; elle, elle lui répondit « c'est quoi la peur ? »

Tradabordo a dit…

Demande à Elena de t'aider pour ce que tu ne sais pas.

Sabrina a dit…

Ces dernières semaines, je m'étais habitué à sa myopie. Mon œil me manque : ce n'est pas grave du moment qu'il me permettait de voir flou la gracilité des jeunes filles se baignant dans le lac, les rondeurs des femmes mûres faisant la planche sur ces eaux pour savourer leur flottement, le barbotage des enfants apprenant à nager. Ce matin-là, à quelques mètres de moi, un couple d'adolescents profita de la protection qu'offraient les roseaux et l'appendice rocheux dans lequel j'habite pour y abandonner leur honte, enlever leurs maillots et se livrer, déterminés, au plaisir. Pendant leurs ébats, lui parvint à dire « je t'aime », et il prit même le temps de demander à la petite de ne pas avoir peur ; elle, elle lui répondit « c'est quoi la peur ? »

Tradabordo a dit…

En las últimas semanas me había acostumbrado a su miopía. Extraño mi ojo: no importa si de forma difusa me permitía ver la gracilidad de las jovencitas que vienen a bañarse en el lago, las redondeces de las mujeres maduras que se extienden para gozar flotando en estas aguas, el chapoteo de los niños que están aprendiendo a nadar. Esta misma mañana, a muy po cos metros de mí, una pareja de adolescentes aprovechó el cobijo de la totora y la lengua de rocas en la que habito para conjurar la vergüenza, despojarse de sus trajes de baño y entregarse decididos al placer. En su retozo, él alcanzó a pronunciar «te quiero», e incluso se dio tiempo para pedirle a la chiquilla que no sintiera miedo; ella le contestó «¿Qué es el miedo?».

Ces dernières semaines, je m'étais habitué à sa myopie. Mon œil me manque : ce n'est pas grave du moment qu'il me permettait de voir flou la gracilité des jeunes filles se baignant dans le lac, les rondeurs des femmes mûres faisant la planche sur ces eaux pour savourer leur flottement [bof ; je ne sais pas si c'est à cause du possessif, mais ça n'est pas génial], le barbotage des enfants apprenant à nager. Ce matin-là, à quelques mètres [et le « muy » ?] de moi, un couple d'adolescents profita de la protection qu'offraient les roseaux et l'appendice rocheux dans lequel j'habite pour y [j'hésite…] abandonner leur honte, enlever leurs maillots et se livrer, déterminés [avance-le], au plaisir. Pendant leurs ébats, lui parvint à dire « je t'aime », et il prit même le temps de demander à la petite de ne pas avoir peur ; elle, elle lui répondit « c'est quoi la peur ? »

Sabrina a dit…

Je n'avais pas mis le "y". Elena si. J'aime bien les 2 ;)

Ces dernières semaines, je m'étais habitué à sa myopie. Mon œil me manque : ce n'est pas grave du moment qu'il me permettait de voir flou la gracilité des jeunes filles se baignant dans le lac, les rondeurs des femmes mûres faisant la planche sur ces eaux pour savourer ce flottement, le barbotage des enfants apprenant à nager. Ce matin-là, à quelques mètre près de moi, un couple d'adolescents profita de la protection qu'offraient les roseaux et l'appendice rocheux dans lequel j'habite pour y abandonner leur honte, enlever leurs maillots et, déterminés, se livrer au plaisir. Pendant leurs ébats, lui parvint à dire « je t'aime », et il prit même le temps de demander à la petite de ne pas avoir peur ; elle, elle lui répondit « c'est quoi la peur ? »

Tradabordo a dit…

Ces dernières semaines, je m'étais habitué à sa myopie. Mon œil me manque : ce n'est pas grave du moment qu'il me permettait de voir flou la gracilité des jeunes filles se baignant dans le lac, les rondeurs des femmes mûres faisant la planche sur ces eaux pour savourer ce [ça m'embête, les deux démonstratifs] flottement, le barbotage des enfants apprenant à nager. Ce matin-là, à quelques mètre près de moi, un couple d'adolescents profita de la protection qu'offraient les roseaux et l'appendice rocheux dans [ou « sur » ? J'hésite] lequel j'habite pour y abandonner leur honte, enlever leurs maillots et, déterminés, se livrer au plaisir. Pendant leurs ébats, lui parvint à dire « je t'aime », et il prit même le temps de demander à la petite de ne pas avoir peur ; elle, elle lui répondit « c'est quoi la peur ? »

Sabrina a dit…

Je m'étais posé la question aussi et je me rappelle m'être dit qu'un poisson se loge plus dans les rochers que sur. Donc je garderais "dans".

Ces dernières semaines, je m'étais habitué à sa myopie. Mon œil me manque : ce n'est pas grave du moment qu'il me permettait de voir flou la gracilité des jeunes filles se baignant dans le lac, les rondeurs des femmes mûres faisant la planche sur ces eaux pour savourer le flottement, le barbotage des enfants apprenant à nager. Ce matin-là, à quelques mètre près de moi, un couple d'adolescents profita de la protection qu'offraient les roseaux et l'appendice rocheux dans lequel j'habite pour y abandonner leur honte, enlever leurs maillots et, déterminés, se livrer au plaisir. Pendant leurs ébats, lui parvint à dire « je t'aime », et il prit même le temps de demander à la petite de ne pas avoir peur ; elle, elle lui répondit « c'est quoi la peur ? »

Tradabordo a dit…

Ces dernières semaines, je m'étais habitué à sa myopie. Mon œil me manque : ce n'est pas grave du moment qu'il me permettait de voir flou la gracilité des jeunes filles se baignant dans le lac, les rondeurs des femmes mûres faisant la planche sur ces eaux pour savourer le flottement, le barbotage des enfants apprenant à nager. Ce matin-là, à quelques mètre près de moi, un couple d'adolescents profita de la protection qu'offraient les roseaux et l'appendice rocheux dans lequel j'habite pour y abandonner leur honte, enlever leurs maillots et, déterminés, se livrer au plaisir. Pendant leurs ébats, lui parvint à dire « je t'aime », et il prit même le temps de demander à la petite de ne pas avoir peur ; elle, elle lui répondit « c'est quoi la peur ? »

OK.