samedi 3 octobre 2015

Projet Sabrina 4 – titre + phrases 1-5

Karina Pacheco Medrano (Pérou)

Alma alga

Aquel pececillo me había estado dando vueltas desde el amanecer. Era delgado y plateado como una luna creciente y parecía intimidado por mi cuerpo, o por el de los peces ma yores que también nadaban a mi rededor. Creí que no se acercaba por la mirada desafiante que proyectaban mis ojos verdosos, más verdosos que estas aguas. En ese momento sus aletas dorsales parecían moneditas de plata partidas por la mitad, y sus ojos dos cabecillas de alfiler; pero cuando por fin decidió aproximarse, creció como una ola y se ha con vertido en la criatura más grande que haya visto en mi vida. O en mi muerte.

Traduction temporaire :

Karina Pacheco Medrano (Pérou)

Âme algue


Ce petit poisson m'avait tourné autour depuis l'aube. Il était aussi fin et plat qu'un croissant de lune et semblait intimidé par mon corps, ou par celui de plus grands poissons qui nageaient autour de moi. Je crus qu'il ne s'approchait pas à cause du regard provocateur que lançaient mes yeux verdâtres, encore plus verdâtres que ces eaux. À cet instant, on aurait dit que ses nageoires dorsales étaient de minuscules pièces d'argent à moitié coupées et que ses yeux étaient deux petites têtes d'épingle ; mais quand enfin, il a décidé de s'approcher, il s'est dressé comme une vague et est devenu la plus grosse créature que j'aie vue de ma vie. Ou de ma mort.

6 commentaires:

Sabrina a dit…

Karina Pacheco Medrano (Pérou)

Âme algue

Ce petit poisson était en train de me tourner autour depuis le lever du jour. Il était fin et plat comme un croissant de lune et semblait intimidé par mon corps, ou par celui de plus grands poissons qui nageaient autour de moi. Je crus qu'il ne s'approchait pas à cause de mon regard provocateur que lançaient mes yeux verdâtres, plus verdâtres que ces eaux. À cet instant, on aurait dit que ses nageoires dorsales étaient de petites demi-pièces d'argent et ses yeux, deux petites têtes d'épingle ; mais quand enfin il décida de s'approcher, il se dressa comme une vague et est devenu la plus grande créature que j'aie vue de ma vie. Ou de ma mort.

Tradabordo a dit…

Karina Pacheco Medrano (Pérou)

Âme algue

Ce petit poisson était en train de me tourner [temps ?] autour depuis le lever du jour [« aube » ?]. Il était fin et plat comme [ou avec « aussi que » ? Essaie et vois ce que tu préfères] un croissant de lune et semblait intimidé par mon corps, ou par celui de plus grands poissons qui nageaient autour de moi. Je crus qu'il ne s'approchait pas à cause de mon [mal dit, car tu as le possessif après] regard provocateur [« de défi » ?] que lançaient mes yeux verdâtres, plus verdâtres que ces eaux. À cet instant, on aurait dit que ses nageoires dorsales étaient de petites demi-pièces [pas ce qui est dit] d'argent et ses yeux, deux petites [un moyen de ne pas répéter ?] têtes d'épingle ; mais quand enfin [virgule] il décida de s'approcher, il se dressa comme une vague et est devenu [temps ; tu ne peux pas mélanger passé simple et passé composé] la plus grande créature que j'aie vue de ma vie. Ou de ma mort.

Sabrina a dit…

Dans cet extrait, je me suis interrogée à plusieurs reprises sur les temps verbaux. J'avais bien vu le PQP au début mais je trouve que ce temps associé à la forme progressive est très bizarre en français. J'enlève alors la forme progressive.
J'adore "aussi que", merci :) !
Je préfère "provocateur", cela permet d'éviter la répétition de la préposition "du", "de".

Ce petit poisson m'avait tourné autour depuis l'aube. Il était aussi fin et plat qu'un croissant de lune et semblait intimidé par mon corps, ou par celui de plus grands poissons qui nageaient autour de moi. Je crus qu'il ne s'approchait pas à cause du regard provocateur que lançaient mes yeux verdâtres, plus verdâtres que ces eaux. À cet instant, on aurait dit que ses nageoires dorsales étaient de minuscules pièces d'argent à moitié coupées et ses yeux, deux petites têtes d'épingle ; mais quand enfin, il a décidé de s'approcher, il s'est dressé comme une vague et est devenu la plus grande créature que j'aie vue de ma vie. Ou de ma mort.

Tradabordo a dit…

N'oublie pas de remettre le nom de l'auteur, etc.

Ce petit poisson m'avait tourné autour depuis l'aube. Il était aussi fin et plat qu'un croissant de lune et semblait intimidé par mon corps, ou par celui de plus grands poissons qui nageaient autour de moi. Je crus qu'il ne s'approchait pas à cause du regard provocateur que lançaient mes yeux verdâtres, [cheville : « encore » ou inutile ?] plus verdâtres que ces eaux. À cet instant, on aurait dit que ses nageoires dorsales étaient de minuscules pièces d'argent à moitié coupées [« coupées en deux » ?] et ses yeux, [je pense qu'il vaut encore mieux répéter « étaient »] deux petites têtes d'épingle ; mais quand enfin, il a décidé de s'approcher, il s'est dressé comme une vague et est devenu la plus grande [« grosse » ; tu as déjà « grands » avant] créature que j'aie vue de ma vie. Ou de ma mort.

Sabrina a dit…

oui pour la cheville, merci :).
J'avais aussi envisagé "coupées en 2" mais après on a encore "2" donc j'ai opté pour "à moitié coupées".

Karina Pacheco Medrano (Pérou)

Âme algue

Ce petit poisson m'avait tourné autour depuis l'aube. Il était aussi fin et plat qu'un croissant de lune et semblait intimidé par mon corps, ou par celui de plus grands poissons qui nageaient autour de moi. Je crus qu'il ne s'approchait pas à cause du regard provocateur que lançaient mes yeux verdâtres, encore plus verdâtres que ces eaux. À cet instant, on aurait dit que ses nageoires dorsales étaient de minuscules pièces d'argent à moitié coupées et que ses yeux étaient deux petites têtes d'épingle ; mais quand enfin, il a décidé de s'approcher, il s'est dressé comme une vague et est devenu la plus grosse créature que j'aie vue de ma vie. Ou de ma mort.


Tradabordo a dit…

Karina Pacheco Medrano (Pérou)

Âme algue

Ce petit poisson m'avait tourné autour depuis l'aube. Il était aussi fin et plat qu'un croissant de lune et semblait intimidé par mon corps, ou par celui de plus grands poissons qui nageaient autour de moi. Je crus qu'il ne s'approchait pas à cause du regard provocateur que lançaient mes yeux verdâtres, encore plus verdâtres que ces eaux. À cet instant, on aurait dit que ses nageoires dorsales étaient de minuscules pièces d'argent à moitié coupées et que ses yeux étaient deux petites têtes d'épingle ; mais quand enfin, il a décidé de s'approcher, il s'est dressé comme une vague et est devenu la plus grosse créature que j'aie vue de ma vie. Ou de ma mort.

OK.