lundi 18 janvier 2016

Projet Danny 1 – phrase 22

Alfredo me pregunta cómo estoy haciendo con la visa, le digo que estoy en problemas, me dice que es terrible, pero que los peruanos estamos considerados la peor escoria del mundo, que no quieren que nos quedemos en ninguna parte, la española insiste en la hora de la cena, Alfredo accede alegremente a tomarse una foto y me da su dirección en Madrid, la española insiste a modo de ultimátum, Alfredo se despide muy cariñosamente de mí y la española sonríe aliviada.

Traduction temporaire :
Alfredo me demande où j'en suis avec mon visa, je lui dis que j’ai des problèmes et il me répond que c’est terrible, mais que nous, les Péruviens, sommes considérés comme les pires déchets du monde, qu'on ne veut de nous nulle part ; l’Espagnole insiste sur le fait que c'est l'heure de dîner. Alfredo accepte avec joie de se faire prendre en photo et de me donner son adresse à Madrid ; l’Espagnole finit par poser un ultimatum, Alfredo me salue très affectueusement et l'Espagnole sourit de soulagement.

15 commentaires:

Unknown a dit…

Alfredo me demande comment je m’en sors avec le visa, je lui dis que j’ai des problèmes et il me rétorque que c’est terrible, mais que nous, les Péruviens, sommes considérés comme les pires caïds du monde, on ne veut de nous nulle part, l’Espagnole insiste pour aller manger. Alfredo accepte, avec joie, de prendre une photo et de me donner son adresse à Madrid ; l’Espagnole insiste de manière déterminée.

Unknown a dit…

Alfredo me dit au revoir très affectueusement et l'Espasgnole, soulagée, sourie.

Tradabordo a dit…

Remettez les deux ensemble. J'ai besoin d'avoir le fragment complet.

Unknown a dit…

Alfredo me pregunta cómo estoy haciendo con la visa, le digo que estoy en problemas, me dice que es terrible, pero que los peruanos estamos considerados la peor escoria del mundo, que no quieren que nos quedemos en ninguna parte, la española insiste en la hora de la cena, Alfredo accede alegremente a tomarse una foto y me da su dirección en Madrid, la española insiste a modo de ultimátum, Alfredo se despide muy cariñosamente de mí y la española sonríe aliviada.


Alfredo me demande comment je m’en sors avec le visa, je lui dis que j’ai des problèmes et il me rétorque que c’est terrible, mais que nous, les Péruviens, sommes considérés comme les pires caïds du monde, on ne veut de nous nulle part, l’Espagnole insiste pour aller manger. Alfredo accepte, avec joie, de prendre une photo et de me donner son adresse à Madrid ; l’Espagnole insiste de manière déterminée, Alfredo me dit au revoir très affectueusement et l'Espasgnole, soulagée, sourie.

Tradabordo a dit…

Pas besoin de l'espagnol – c'était juste les deux fragments du français :-)


Alfredo me demande comment je m’en sors [pas très adapté] avec le [possessif ?] visa, je lui dis que j’ai des problèmes et il me rétorque [ce sera plus naturel avec « répondre »] que c’est terrible, mais que nous, les Péruviens, sommes considérés comme les pires caïds [FS] du monde, [« qu'on »] on ne veut de nous nulle part, [changement de ponctuation ?] l’Espagnole insiste pour aller manger [vous avez changé… pourquoi ne pas revenir plus près de la V.O. ?]. Alfredo accepte, avec joie [littéralement, ça éviterait la coupure de rythme des deux virgules], de prendre [le tomarSE est important, non ?] une photo et de me donner son adresse à Madrid ; l’Espagnole insiste de manière déterminée [la V.O.], Alfredo me dit [débrouillez-vous pour ne pas répéter « dire »] au revoir très affectueusement et l'Espasgnole [relisza-vous], soulagée, sourie [grammaire + syntaxe].

Unknown a dit…

Alfredo me demande si je m’en sors avec mon visa, je lui dis que j’ai des problèmes et il me répond que c’est terrible, mais que nous, les Péruviens, sommes considérés comme les pires déchets du monde, qu'on ne veut de nous nulle part ; l’Espagnole insiste pour aller dîner. Alfredo accepte avec joie de se faire prendre en photo et de me donner son adresse à Madrid ; l’Espagnole insiste jusqu’à poser un ultimatum, Alfredo me salue très affectueusement et l'Espagnole sourit de soulagement.

Tradabordo a dit…

Alfredo me demande si je m’en sors [cf mon commentaire précédent à ce sujet : pas très adapté] avec mon visa, je lui dis que j’ai des problèmes et il me répond que c’est terrible, mais que nous, les Péruviens, sommes considérés comme les pires déchets du monde, qu'on ne veut de nous nulle part ; l’Espagnole insiste pour aller dîner [la V.O.]. Alfredo accepte avec joie de se faire prendre en photo et de me donner son adresse à Madrid ; l’Espagnole insiste jusqu’à [passez par « finit par »] poser un ultimatum, Alfredo me salue très affectueusement et l'Espagnole sourit de soulagement.

Unknown a dit…

Alfredo me demande si j'ai fait mon visa, je lui dis que j’ai des problèmes et il me répond que c’est terrible, mais que nous, les Péruviens, sommes considérés comme les pires déchets du monde, qu'on ne veut de nous nulle part ; l’Espagnole insiste à l'heure du dîner. Alfredo accepte avec joie de se faire prendre en photo et de me donner son adresse à Madrid ; l’Espagnole finit par poser un ultimatum, Alfredo me salue très affectueusement et l'Espagnole sourit de soulagement.

Tradabordo a dit…

Alfredo me demande si j'ai fait [non, là, du coup, vous avez trop changé] mon visa, je lui dis que j’ai des problèmes et il me répond que c’est terrible, mais que nous, les Péruviens, sommes considérés comme les pires déchets du monde, qu'on ne veut de nous nulle part ; l’Espagnole insiste à [?????] l'heure du dîner. Alfredo accepte avec joie de se faire prendre en photo et de me donner son adresse à Madrid ; l’Espagnole finit par poser un ultimatum, Alfredo me salue très affectueusement et l'Espagnole sourit de soulagement.

Unknown a dit…

Alfredo me demande oú j'en suis avec mon visa, je lui dis que j’ai des problèmes et il me répond que c’est terrible, mais que nous, les Péruviens, sommes considérés comme les pires déchets du monde, qu'on ne veut de nous nulle part ; l’Espagnole insiste sur l'heure du dîner. Alfredo accepte avec joie de se faire prendre en photo et de me donner son adresse à Madrid ; l’Espagnole finit par poser un ultimatum, Alfredo me salue très affectueusement et l'Espagnole sourit de soulagement.

Tradabordo a dit…

Alfredo me demande oú [orthographe] j'en suis avec mon visa, je lui dis que j’ai des problèmes et il me répond que c’est terrible, mais que nous, les Péruviens, sommes considérés comme les pires déchets du monde, qu'on ne veut de nous nulle part ; l’Espagnole insiste sur [je me demande s'il ne faut pas déplier un peu cela pour être bien clair ; insiste sur le fait que c'est l'heure de………… ou quelque chose comme ça // je vous laisse y réfléchir] l'heure du dîner. Alfredo accepte avec joie de se faire prendre en photo et de me donner son adresse à Madrid ; l’Espagnole finit par poser un ultimatum, Alfredo me salue très affectueusement et l'Espagnole sourit de soulagement.

Unknown a dit…

Alfredo me demande où j'en suis avec mon visa, je lui dis que j’ai des problèmes et il me répond que c’est terrible, mais que nous, les Péruviens, sommes considérés comme les pires déchets du monde, qu'on ne veut de nous nulle part ; l’Espagnole fait remarquer que c'est l'heure de dîner. Alfredo accepte avec joie de se faire prendre en photo et de me donner son adresse à Madrid ; l’Espagnole finit par poser un ultimatum, Alfredo me salue très affectueusement et l'Espagnole sourit de soulagement.

Tradabordo a dit…

Alfredo me demande où j'en suis avec mon visa, je lui dis que j’ai des problèmes et il me répond que c’est terrible, mais que nous, les Péruviens, sommes considérés comme les pires déchets du monde, qu'on ne veut de nous nulle part ; l’Espagnole fait remarquer [vous changez trop] que c'est l'heure de dîner. Alfredo accepte avec joie de se faire prendre en photo et de me donner son adresse à Madrid ; l’Espagnole finit par poser un ultimatum, Alfredo me salue très affectueusement et l'Espagnole sourit de soulagement.

Unknown a dit…

Alfredo me demande où j'en suis avec mon visa, je lui dis que j’ai des problèmes et il me répond que c’est terrible, mais que nous, les Péruviens, sommes considérés comme les pires déchets du monde, qu'on ne veut de nous nulle part ; l’Espagnole insiste sur le fait que c'est l'heure de dîner. Alfredo accepte avec joie de se faire prendre en photo et de me donner son adresse à Madrid ; l’Espagnole finit par poser un ultimatum, Alfredo me salue très affectueusement et l'Espagnole sourit de soulagement.

Tradabordo a dit…

Alfredo me demande où j'en suis avec mon visa, je lui dis que j’ai des problèmes et il me répond que c’est terrible, mais que nous, les Péruviens, sommes considérés comme les pires déchets du monde, qu'on ne veut de nous nulle part ; l’Espagnole insiste sur le fait que c'est l'heure de dîner. Alfredo accepte avec joie de se faire prendre en photo et de me donner son adresse à Madrid ; l’Espagnole finit par poser un ultimatum, Alfredo me salue très affectueusement et l'Espagnole sourit de soulagement.

OK.