lundi 18 janvier 2016

Projet Elena 12 – phrases 202-203

La longevidad extraordinaria de este Orlando permitía que el tiempo dé vueltas, de modo que incurre, como mujer, en numerosas experiencias ―inclusión sea hecha del amor― que había vivido, de manera muy distinta, bajo la condición de hombre. Aunque con esa traducción se me ha acusado, injustamente debo acotar, de entregarme a mis prejuicios y neutralizar la visión de las mujeres; las diferencias de género y ―¡caramba!― las cuestiones de la bisexualidad y hasta el travestismo; que yo sepa, no se ha hecho otra traducción hasta el presente porque tienen por válida la mía. Y para concluir con este tema tan infame, déjeme decirle, mi joven amiga, que más allá de mi espanto infantil, el coito es aquel momento de dicha en que cada uno es los dos, la unión en la que nos perdemos, luego, en el sueño. Tan malo no es.

Traduction temporaire :
La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps ; en tant que femme, il se livre donc à de nombreuses expériences – y compris l'amour – qu'il avait vécues de manière fort différente en tant qu'homme. Bien qu'à cause de cette traduction on m'ait accusé – injustement, je tiens à le souligner – de laisser libre cours à mes préjugés et de gommer ainsi la représentation de la femme, les différences de genre et – tant qu'à faire ! – les questions sur la bisexualité, voire le travestisme, à ma connaissance la mienne reste valable, personne n'ayant jusqu'à présent fait de nouvelle traduction. Et pour conclure un sujet aussi infâme, permettez-moi d'ajouter, ma jeune amie, qu'au-delà de ma frayeur enfantine, le coït est un moment de bonheur où les amants ne font qu'un, l'union après laquelle on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

24 commentaires:

Elena a dit…

La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps, il se livre donc, en tant que femme, à de nombreuses expériences ― l'amour y compris ― qu'il avait vécues de manière fort différente en tant qu'homme. Bien qu'à cause de cette traduction, on m'ait accusé, injustement, je tiens à le souligner, de me dévouer à mes préjugés et de neutraliser ainsi la vision des femmes ; les différences de genre et ― voyons ! ― les questions sur la bisexualité voire même le travestisme ; que je sache, jusqu'à présent, on n'a pas fait de nouvelle traduction, car on valide la mienne. Et pour conclure ce sujet si infâme, permettez-moi de vous dire, ma jeune amie, que en dépit de ma frayeur enfantine, le coïte est ce moment de bonheur où chacun devient tous les deux, l'union suite à laquelle, on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

Tradabordo a dit…

La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps, [ponctuation à revoir] il se livre donc [mets-le après], en tant que femme, à de nombreuses expériences ― l'amour y compris [inverse la syntaxe] ― qu'il avait vécues de manière fort différente en tant qu'homme [vois ce que ça donne en le mettant avant ; juste pour se rendre compte]. Bien qu'à [« même si » ?] cause de cette traduction,

on m'ait accusé, injustement, je tiens à le souligner, de me dévouer à mes préjugés et de neutraliser ainsi la vision des femmes ; les différences de genre et ― voyons ! ― les questions sur la bisexualité voire même le travestisme ; que je sache, jusqu'à présent, on n'a pas fait de nouvelle traduction, car on valide la mienne. Et pour conclure ce sujet si infâme, permettez-moi de vous dire, ma jeune amie, que en dépit de ma frayeur enfantine, le coïte est ce moment de bonheur où chacun devient tous les deux, l'union suite à laquelle, on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

Elena a dit…

La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps ; il se livre, en tant que femme donc, à de nombreuses expériences ― y compris l'amour ― qu'en tant qu'homme, il avait vécues de manière fort différente. Bien qu'à [« même si » ? / je crois qu'il ne s'agit pas une éventualité...] cause de cette traduction, on m'ait accusé, injustement, je tiens à le souligner, de me dévouer à mes préjugés et de neutraliser ainsi la vision des femmes ; les différences de genre et ― voyons ! ― les questions sur la bisexualité voire même le travestisme ; que je sache, jusqu'à présent, on n'a pas fait de nouvelle traduction, car on valide la mienne. Et pour conclure ce sujet si infâme, permettez-moi de vous dire, ma jeune amie, que en dépit de ma frayeur enfantine, le coïte est ce moment de bonheur où chacun devient tous les deux, l'union suite à laquelle, on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

Tradabordo a dit…

Les tirets moyens, pas les longs.

Elena a dit…

Zut !!! :-(

La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps ; il se livre, en tant que femme donc, à de nombreuses expériences – y compris l'amour – qu'en tant qu'homme, il avait vécues de manière fort différente. Bien qu'à cause de cette traduction, on m'ait accusé, injustement, je tiens à le souligner, de me dévouer à mes préjugés et de neutraliser ainsi la vision des femmes ; les différences de genre et – voyons ! – les questions sur la bisexualité voire même le travestisme ; que je sache, jusqu'à présent, on n'a pas fait de nouvelle traduction, car on valide la mienne. Et pour conclure ce sujet si infâme, permettez-moi de vous dire, ma jeune amie, que en dépit de ma frayeur enfantine, le coïte est ce moment de bonheur où chacun devient tous les deux, l'union suite à laquelle, on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

Tradabordo a dit…

La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps ; il se livre, en tant que femme [commence par ça…] donc, à de nombreuses expériences – y compris l'amour – qu'en tant qu'homme, il avait vécues de manière fort différente. Bien qu'à cause de cette traduction, on m'ait accusé, injustement, je tiens à le souligner, de me dévouer à mes préjugés et de neutraliser ainsi la vision des femmes ; les différences de genre et – voyons ! – les questions sur la bisexualité voire même le travestisme ; que je sache, jusqu'à présent, on n'a pas fait de nouvelle traduction, car on valide la mienne. Et pour conclure ce sujet si infâme, permettez-moi de vous dire, ma jeune amie, que en dépit de ma frayeur enfantine, le coïte est ce moment de bonheur où chacun devient tous les deux, l'union suite à laquelle, on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

Elena a dit…

La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps ; en tant que femme, il se livre donc, à de nombreuses expériences – y compris l'amour – qu'en tant qu'homme, il avait vécues de manière fort différente. Bien qu'à cause de cette traduction, on m'ait accusé, injustement, je tiens à le souligner, de me dévouer à mes préjugés et de neutraliser ainsi la vision des femmes ; les différences de genre et – voyons ! – les questions sur la bisexualité voire même le travestisme ; que je sache, jusqu'à présent, on n'a pas fait de nouvelle traduction, car on valide la mienne. Et pour conclure ce sujet si infâme, permettez-moi de vous dire, ma jeune amie, que en dépit de ma frayeur enfantine, le coïte est ce moment de bonheur où chacun devient tous les deux, l'union suite à laquelle, on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

Tradabordo a dit…

La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps ; en tant que femme, il se livre donc, [sans la virgule] à de nombreuses expériences – y compris l'amour – qu'en tant qu'homme [et ça, mets-le après, à la fin], il avait vécues de manière fort différente.

Aunque con esa traducción se me ha acusado, injustamente debo acotar, de entregarme a mis prejuicios y neutralizar la visión de las mujeres; las diferencias de género y ―¡caramba!― las cuestiones de la bisexualidad y hasta el travestismo; que yo sepa, no se ha hecho otra traducción hasta el presente porque tienen por válida la mía. Y para concluir con este tema tan infame, déjeme decirle, mi joven amiga, que más allá de mi espanto infantil, el coito es aquel momento de dicha en que cada uno es los dos, la unión en la que nos perdemos, luego, en el sueño. Tan malo no es.
Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires


Bien qu'à cause de cette traduction, on m'ait accusé, injustement, je tiens à le souligner, de me dévouer à [mal dit] mes préjugés et de neutraliser ainsi la vision [peu clair / ambigu] des femmes ; les différences de genre et – voyons [bof ici] ! – les questions sur la bisexualité voire même [redondant] le travestisme ; que je sache, jusqu'à présent, on n'a pas fait de nouvelle traduction, car on valide la mienne.

Je trouve qu'avec la ponctuation… ça n'est pas super clair. Le sens.

Et pour conclure ce sujet si infâme, permettez-moi de vous dire, ma jeune amie, que en dépit de ma frayeur enfantine, le coïte est ce moment de bonheur où chacun devient tous les deux, l'union suite à laquelle, on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

Elena a dit…

La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps ; en tant que femme, il se livre donc à de nombreuses expériences – y compris l'amour – qu'il avait vécues de manière fort différente en tant qu'homme.

Aunque con esa traducción se me ha acusado, injustamente debo acotar, de entregarme a mis prejuicios y neutralizar la visión de las mujeres; las diferencias de género y ―¡caramba!― las cuestiones de la bisexualidad y hasta el travestismo; que yo sepa, no se ha hecho otra traducción hasta el presente porque tienen por válida la mía.

Bien qu'à cause de cette traduction, on m'ait accusé, injustement, je tiens à le souligner, de laisser libre arbitre à mes préjugés et de neutraliser ainsi la représentation de la femme, les différences de genre et – tant qu'à faire ! – les questions sur la bisexualité voire le travestisme ; à ma connaissance, personne n'ayant fait de nouvelle traduction jusqu'à présent, on entérine la mienne.

Je trouve qu'avec la ponctuation… ça n'est pas super clair. Le sens.

Y para concluir con este tema tan infame, déjeme decirle, mi joven amiga, que más allá de mi espanto infantil, el coito es aquel momento de dicha en que cada uno es los dos, la unión en la que nos perdemos, luego, en el sueño. Tan malo no es.



Et pour conclure ce sujet si infâme, permettez-moi de vous dire, ma jeune amie, que en dépit de ma frayeur enfantine, le coïte est ce moment de bonheur où chacun devient tous les deux, l'union suite à laquelle, on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

Tradabordo a dit…

La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps ; en tant que femme, il se livre donc à de nombreuses expériences – y compris l'amour – qu'il avait vécues de manière fort différente en tant qu'homme.

Aunque con esa traducción se me ha acusado, injustamente debo acotar, de entregarme a mis prejuicios y neutralizar la visión de las mujeres; las diferencias de género y ―¡caramba!― las cuestiones de la bisexualidad y hasta el travestismo; que yo sepa, no se ha hecho otra traducción hasta el presente porque tienen por válida la mía.

Bien qu'à cause de cette traduction, on m'ait accusé, injustement, je tiens à le souligner, de laisser libre arbitre à mes préjugés et de neutraliser ainsi la représentation de la femme, les différences de genre et – tant qu'à faire ! – les questions sur la bisexualité voire le travestisme ; à ma connaissance, personne n'ayant fait de nouvelle traduction jusqu'à présent [avance-le], on entérine la mienne [pas exactement ce que dit la V.O.].

Je trouve qu'avec la ponctuation… ça n'est pas super clair. Le sens.

Y para concluir con este tema tan infame, déjeme decirle, mi joven amiga, que más allá de mi espanto infantil, el coito es aquel momento de dicha en que cada uno es los dos, la unión en la que nos perdemos, luego, en el sueño. Tan malo no es.



Et pour conclure ce sujet si infâme, permettez-moi de vous dire, ma jeune amie, que en dépit de ma frayeur enfantine, le coïte est ce moment de bonheur où chacun devient tous les deux, l'union suite à laquelle, on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

Elena a dit…

La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps ; en tant que femme, il se livre donc à de nombreuses expériences – y compris l'amour – qu'il avait vécues de manière fort différente en tant qu'homme.

Aunque con esa traducción se me ha acusado, injustamente debo acotar, de entregarme a mis prejuicios y neutralizar la visión de las mujeres; las diferencias de género y ―¡caramba!― las cuestiones de la bisexualidad y hasta el travestismo; que yo sepa, no se ha hecho otra traducción hasta el presente porque tienen por válida la mía.

Bien qu'à cause de cette traduction, on m'ait accusé, injustement, je tiens à le souligner, de laisser libre arbitre à mes préjugés et de neutraliser ainsi la représentation de la femme, les différences de genre et – tant qu'à faire ! – les questions sur la bisexualité voire le travestisme ; à ma connaissance, personne n'ayant fait jusqu'à présent de nouvelle traduction, la mienne reste valable.


Y para concluir con este tema tan infame, déjeme decirle, mi joven amiga, que más allá de mi espanto infantil, el coito es aquel momento de dicha en que cada uno es los dos, la unión en la que nos perdemos, luego, en el sueño. Tan malo no es.

Et pour conclure ce sujet si infâme, permettez-moi de vous dire, ma jeune amie, que en dépit de ma frayeur enfantine, le coïte est ce moment de bonheur où chacun devient tous les deux, l'union suite à laquelle, on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

Tradabordo a dit…

La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps ; en tant que femme, il se livre donc à de nombreuses expériences – y compris l'amour – qu'il avait vécues de manière fort différente en tant qu'homme.

Aunque con esa traducción se me ha acusado, injustamente debo acotar, de entregarme a mis prejuicios y neutralizar la visión de las mujeres; las diferencias de género y ―¡caramba!― las cuestiones de la bisexualidad y hasta el travestismo; que yo sepa, no se ha hecho otra traducción hasta el presente porque tienen por válida la mía.

Bien qu'à cause de cette traduction on m'ait accusé, injustement, je tiens à le souligner, de laisser libre arbitre à mes préjugés [ah, j'avais pas fait attention… ça veut rien dire « laisser libre arbitre à… »] et de neutraliser ainsi la représentation de la femme, les différences de genre et – tant qu'à faire ! – les questions sur la bisexualité voire le travestisme ; à ma connaissance, personne n'ayant fait jusqu'à présent de nouvelle traduction, la mienne reste valable.


Y para concluir con este tema tan infame, déjeme decirle, mi joven amiga, que más allá de mi espanto infantil, el coito es aquel momento de dicha en que cada uno es los dos, la unión en la que nos perdemos, luego, en el sueño. Tan malo no es.

Et pour conclure ce sujet si infâme, permettez-moi de vous dire, ma jeune amie, que en dépit de ma frayeur enfantine, le coïte est ce moment de bonheur où chacun devient tous les deux, l'union suite à laquelle, on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

Elena a dit…

La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps ; en tant que femme, il se livre donc à de nombreuses expériences – y compris l'amour – qu'il avait vécues de manière fort différente en tant qu'homme.

Aunque con esa traducción se me ha acusado, injustamente debo acotar, de entregarme a mis prejuicios y neutralizar la visión de las mujeres; las diferencias de género y ―¡caramba!― las cuestiones de la bisexualidad y hasta el travestismo; que yo sepa, no se ha hecho otra traducción hasta el presente porque tienen por válida la mía.

Bien qu'à cause de cette traduction on m'ait accusé, injustement, je tiens à le souligner, de laisser libre cours à mes préjugés et de neutraliser ainsi la représentation de la femme, les différences de genre et – tant qu'à faire ! – les questions sur la bisexualité voire le travestisme ; à ma connaissance, personne n'ayant fait jusqu'à présent de nouvelle traduction, la mienne reste valable.


Y para concluir con este tema tan infame, déjeme decirle, mi joven amiga, que más allá de mi espanto infantil, el coito es aquel momento de dicha en que cada uno es los dos, la unión en la que nos perdemos, luego, en el sueño. Tan malo no es.

Et pour conclure ce sujet si infâme, permettez-moi de vous dire, ma jeune amie, que en dépit de ma frayeur enfantine, le coïte est ce moment de bonheur où chacun devient tous les deux, l'union suite à laquelle, on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

Tradabordo a dit…

La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps ; en tant que femme, il se livre donc à de nombreuses expériences – y compris l'amour – qu'il avait vécues de manière fort différente en tant qu'homme.

Aunque con esa traducción se me ha acusado, injustamente debo acotar, de entregarme a mis prejuicios y neutralizar la visión de las mujeres; las diferencias de género y ―¡caramba!― las cuestiones de la bisexualidad y hasta el travestismo; que yo sepa, no se ha hecho otra traducción hasta el presente porque tienen por válida la mía.

Bien qu'à cause de cette traduction on m'ait accusé – injustement, je tiens à le souligner – de laisser libre cours à mes préjugés et de neutraliser [dans le sens de « gommer » ? Si oui, ce serait mieux…] ainsi la représentation de la femme, les différences de genre et – tant qu'à faire ! – les questions sur la bisexualité, voire le travestisme ; [on coupe ?] à ma connaissance, personne n'ayant fait jusqu'à présent de nouvelle traduction, la mienne reste valable.


Y para concluir con este tema tan infame, déjeme decirle, mi joven amiga, que más allá de mi espanto infantil, el coito es aquel momento de dicha en que cada uno es los dos, la unión en la que nos perdemos, luego, en el sueño. Tan malo no es.

Et pour conclure ce sujet si infâme, permettez-moi de vous dire, ma jeune amie, que en dépit de ma frayeur enfantine, le coïte est ce moment de bonheur où chacun devient tous les deux, l'union suite à laquelle, on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

Elena a dit…

La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps ; en tant que femme, il se livre donc à de nombreuses expériences – y compris l'amour – qu'il avait vécues de manière fort différente en tant qu'homme. Bien qu'à cause de cette traduction on m'ait accusé – injustement, je tiens à le souligner – de laisser libre cours à mes préjugés et de gommer ainsi la représentation de la femme, les différences de genre et – tant qu'à faire ! – les questions sur la bisexualité, voire le travestisme; à ma connaissance, personne n'ayant fait jusqu'à présent de nouvelle traduction, la mienne reste valable.


Y para concluir con este tema tan infame, déjeme decirle, mi joven amiga, que más allá de mi espanto infantil, el coito es aquel momento de dicha en que cada uno es los dos, la unión en la que nos perdemos, luego, en el sueño. Tan malo no es.

Et pour conclure ce sujet si infâme, permettez-moi de vous dire, ma jeune amie, que en dépit de ma frayeur enfantine, le coïte est ce moment de bonheur où chacun devient tous les deux, l'union suite à laquelle, on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

Tradabordo a dit…

La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps ; en tant que femme, il se livre donc à de nombreuses expériences – y compris l'amour – qu'il avait vécues de manière fort différente en tant qu'homme. Bien qu'à cause de cette traduction on m'ait accusé – injustement, je tiens à le souligner – de laisser libre cours à mes préjugés et de gommer ainsi la représentation de la femme, les différences de genre et – tant qu'à faire ! – les questions sur la bisexualité, voire le travestisme ; [au fait, si ça va avec le « bien que » du départ, tu ne peux pas mettre un point-virgule] à ma connaissance, personne n'ayant fait jusqu'à présent de nouvelle traduction, la mienne reste valable.


Y para concluir con este tema tan infame, déjeme decirle, mi joven amiga, que más allá de mi espanto infantil, el coito es aquel momento de dicha en que cada uno es los dos, la unión en la que nos perdemos, luego, en el sueño. Tan malo no es.

Et pour conclure [manque quelque chose ici] ce [« un »] sujet si [« aussi »] infâme, permettez-moi de vous dire [« ajouter » ?], ma jeune amie, que en [que e ?????] dépit de ma frayeur enfantine, le coïte [orthographe] est ce [bof] moment de bonheur où chacun devient tous les deux, l'union suite à laquelle, on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

Elena a dit…

La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps ; en tant que femme, il se livre donc à de nombreuses expériences – y compris l'amour – qu'il avait vécues de manière fort différente en tant qu'homme. Bien qu'à cause de cette traduction on m'ait accusé – injustement, je tiens à le souligner – de laisser libre cours à mes préjugés et de gommer ainsi la représentation de la femme, les différences de genre et – tant qu'à faire ! – les questions sur la bisexualité, voire le travestisme, à ma connaissance, personne n'ayant fait jusqu'à présent de nouvelle traduction, la mienne reste valable.



Y para concluir con este tema tan infame, déjeme decirle, mi joven amiga, que más allá de mi espanto infantil, el coito es aquel momento de dicha en que cada uno es los dos, la unión en la que nos perdemos, luego, en el sueño. Tan malo no es.

Et pour conclure, un sujet aussi infâme, permettez-moi d'ajouter, ma jeune amie, qu'en dépit de ma frayeur enfantine, le coït est le moment de bonheur où chacun devient tous les deux, l'union suite à laquelle, on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

Tradabordo a dit…

La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps ; en tant que femme, il se livre donc à de nombreuses expériences – y compris l'amour – qu'il avait vécues de manière fort différente en tant qu'homme. Bien qu'à cause de cette traduction on m'ait accusé – injustement, je tiens à le souligner – de laisser libre cours à mes préjugés et de gommer ainsi la représentation de la femme, les différences de genre et – tant qu'à faire ! – les questions sur la bisexualité, voire le travestisme, à ma connaissance, personne n'ayant fait [après « jusqu'à présent »] jusqu'à présent de nouvelle traduction, la mienne reste valable.

Y para concluir con este tema tan infame, déjeme decirle, mi joven amiga, que más allá de mi espanto infantil, el coito es aquel momento de dicha en que cada uno es los dos, la unión en la que nos perdemos, luego, en el sueño. Tan malo no es.

Et pour conclure, [?] un sujet aussi infâme, permettez-moi d'ajouter, ma jeune amie, qu'en dépit [« qu'au-delà » ?] de ma frayeur enfantine, le coït est le moment de bonheur où chacun devient tous les deux [non, en français, ça ne va pas…], l'union suite à laquelle [mal dit + pas de virgule], on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

Elena a dit…

La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps ; en tant que femme, il se livre donc à de nombreuses expériences – y compris l'amour – qu'il avait vécues de manière fort différente en tant qu'homme. Bien qu'à cause de cette traduction on m'ait accusé – injustement, je tiens à le souligner – de laisser libre cours à mes préjugés et de gommer ainsi la représentation de la femme, les différences de genre et – tant qu'à faire ! – les questions sur la bisexualité, voire le travestisme, à ma connaissance, personne jusqu'à présent n'ayant fait de nouvelle traduction, la mienne reste valable. Et pour conclure un sujet aussi infâme, permettez-moi d'ajouter, ma jeune amie, qu'au-delà de ma frayeur enfantine, le coït est le moment de bonheur où l'un et l'autre ne font qu'un, l'union après laquelle on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

Tradabordo a dit…

La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps ; en tant que femme, il se livre donc à de nombreuses expériences – y compris l'amour – qu'il avait vécues de manière fort différente en tant qu'homme. Bien qu'à cause de cette traduction on m'ait accusé – injustement, je tiens à le souligner – de laisser libre cours à mes préjugés et de gommer ainsi la représentation de la femme, les différences de genre et – tant qu'à faire ! – les questions sur la bisexualité, voire le travestisme, à ma connaissance, personne jusqu'à présent n'ayant fait de nouvelle traduction, la mienne reste valable [mets ça avant]. Et pour conclure un sujet aussi infâme, permettez-moi d'ajouter, ma jeune amie, qu'au-delà de ma frayeur enfantine, le coït est le [« un »] moment de bonheur où l'un et l'autre [« où les amants »] ne font qu'un, l'union après laquelle on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

Elena a dit…

La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps ; en tant que femme, il se livre donc à de nombreuses expériences – y compris l'amour – qu'il avait vécues de manière fort différente en tant qu'homme. Bien qu'à cause de cette traduction on m'ait accusé – injustement, je tiens à le souligner – de laisser libre cours à mes préjugés et de gommer ainsi la représentation de la femme, les différences de genre et – tant qu'à faire ! – les questions sur la bisexualité, voire le travestisme, à ma connaissance la mienne reste valable, personne jusqu'à présent n'ayant fait de nouvelle traduction. Et pour conclure un sujet aussi infâme, permettez-moi d'ajouter, ma jeune amie, qu'au-delà de ma frayeur enfantine, le coït est le [« un »] moment de bonheur où les amants ne font qu'un, l'union après laquelle on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

Tradabordo a dit…

La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps ; en tant que femme, il se livre donc à de nombreuses expériences – y compris l'amour – qu'il avait vécues de manière fort différente en tant qu'homme. Bien qu'à cause de cette traduction on m'ait accusé – injustement, je tiens à le souligner – de laisser libre cours à mes préjugés et de gommer ainsi la représentation de la femme, les différences de genre et – tant qu'à faire ! – les questions sur la bisexualité, voire le travestisme, à ma connaissance la mienne reste valable, personne jusqu'à présent [après « n'ayant »] n'ayant fait de nouvelle traduction. Et pour conclure un sujet aussi infâme, permettez-moi d'ajouter, ma jeune amie, qu'au-delà de ma frayeur enfantine, le coït est le [« un » !] moment de bonheur où les amants ne font qu'un, l'union après laquelle on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

Elena a dit…

La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps ; en tant que femme, il se livre donc à de nombreuses expériences – y compris l'amour – qu'il avait vécues de manière fort différente en tant qu'homme. Bien qu'à cause de cette traduction on m'ait accusé – injustement, je tiens à le souligner – de laisser libre cours à mes préjugés et de gommer ainsi la représentation de la femme, les différences de genre et – tant qu'à faire ! – les questions sur la bisexualité, voire le travestisme, à ma connaissance la mienne reste valable, personne n'ayant jusqu'à présent fait de nouvelle traduction. Et pour conclure un sujet aussi infâme, permettez-moi d'ajouter, ma jeune amie, qu'au-delà de ma frayeur enfantine, le coït est un moment de bonheur où les amants ne font qu'un, l'union après laquelle on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

Tradabordo a dit…

La longévité extraordinaire dudit Orlando laissait le temps au temps ; en tant que femme, il se livre donc à de nombreuses expériences – y compris l'amour – qu'il avait vécues de manière fort différente en tant qu'homme. Bien qu'à cause de cette traduction on m'ait accusé – injustement, je tiens à le souligner – de laisser libre cours à mes préjugés et de gommer ainsi la représentation de la femme, les différences de genre et – tant qu'à faire ! – les questions sur la bisexualité, voire le travestisme, à ma connaissance la mienne reste valable, personne n'ayant jusqu'à présent fait de nouvelle traduction. Et pour conclure un sujet aussi infâme, permettez-moi d'ajouter, ma jeune amie, qu'au-delà de ma frayeur enfantine, le coït est un moment de bonheur où les amants ne font qu'un, l'union après laquelle on plonge dans le sommeil. Pas si mal que ça.

OK.