lundi 22 août 2016

Projet Sonita / Alexia – phrases 105-110

Pensar en ella era pensar:
a) En una trayectoria cerrada que se abría a un espacio ilimitado, sin partida y sin final, un detenerse nunca, puro recorrer asfalto cuando el asfalto se transforma en pista de hielo.
b) En un videoclip o comercial acelerado que anuncia, convertidos en objetos y fetiches adorables, tus asociaciones más finas: un videoclip para las guitarras que en ese momento suenan en los audífonos, mientras afuera se congela y se quiebra y se rompe tu mejor secuencia de Ciudad Desconectada.
c) En mí mismo.
El día acordado, llegó. Descendió la escalerilla del avión sin escafandra y como asombrado de que el aire contuviera oxígeno.

Traduction temporaire :
Penser à elle, c’était penser :
a) à une trajectoire fermée qui débouchait sur un espace illimité, sans point de départ ni d’arrivée, un ne jamais s’arrêter, juste sillonner l’asphalte lorsque l'asphalte se  transforme en une patinoire.
b) à un clip vidéo ou à une publicité accélérée qui annonce les associations les plus fines devenues des objets ou des fétiches très prisés : un clip vidéo pour les guitares qui jouent en ce moment dans tes audiophones, tandis que dehors, ta meilleure séquence de Ville Déconnectée se congèle, se brise et se casse.
c) à moi-même.
Le jour convenu, il est arrivé. Il est descendu de la passerelle de l’avion sans scaphandre et semblait étonné qu'il y ait de l'oxygène dans l'air.

8 commentaires:

Sonita a dit…

Petite remarque : j'ai relu le travail qu'Alexia et toi aviez déjà fait avant que je ne reprenne la traduction et il se trouve que vous avez opté pour le Passé Composé comme temps du récit. Ce qui est bizarre, car dans la phrase à partir de la laquelle j'ai repris, vous avez utilisé le Passé Simple et j'ai continué dans la même lignée, mais je pense qu'on va devoir harmoniser... Pour cette proposition de traduction, je suis revenue au Passé Composé. Tu me diras quel chemin prendre ;)

***
Penser à elle, c’était penser :
a) à une trajectoire fermée qui s’ouvrait sur un espace illimité, sans point de départ ni d’arrivée, un ne [J'hésite à mettre ce "ne"...] jamais s’arrêter, juste sillonner l’asphalte qui se transforme en une patinoire.
b) à un clip vidéo ou à une publicité accélérée qui annonce tes associations les plus fines transformées en objets ou en fétiches adorables : un clip vidéo pour les guitares qui sonnent en ce moment dans tes audiophones, tandis que dehors ta meilleure séquence de Ville Déconnectée se congèle, se brise et se casse.
c) à soi-même.
Le jour convenu, il est arrivé. Il est descendu de la passerelle de l’avion sans scaphandre et semblait étonné que l’air ait de l’oxygène.

Tradabordo a dit…

Oui, il faudra harmoniser. Tu penses qu'il faudrait quoi, toi ? Parce qu'autant le faire dès maintenant… sinon, s'il faut changer tout après, ce sera pénible et on risquerait d'en oublier. Mets-toi au temps que tu veux et retient que jusqu'à la ligne tant ce sera à modifier après.

Sonita a dit…

Je crois que le Passé Composé est une bonne option car, dans cette nouvelle on a l'impression que les actions qui se produisent ont une incidence dans le présent de la narration.
Donc, si tu es d'accord, je garde ma proposition au Passé Composé et corrigerai ensuite les phrases où on a utilisé le Passé Simple, c'est-à-dire le fragment précédent qu'on a traduit.

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Penser à elle, c’était penser :
a) à une trajectoire fermée qui s’ouvrait sur un espace illimité, sans point de départ ni d’arrivée, un ne [J'hésite à mettre ce "ne"...] jamais s’arrêter, juste sillonner l’asphalte qui se transforme en une patinoire.
b) à un clip vidéo ou à une publicité accélérée qui annonce tes associations les plus fines transformées en objets ou en fétiches adorables : un clip vidéo pour les guitares qui sonnent en ce moment dans tes audiophones, tandis que dehors ta meilleure séquence de Ville Déconnectée se congèle, se brise et se casse.
c) à soi-même.
Le jour convenu, il est arrivé. Il est descendu de la passerelle de l’avion sans scaphandre et semblait étonné que l’air ait de l’oxygène.

Tradabordo a dit…

Bon, continuons comme ça et on verra au moment des relectures s'il faut changer.

Penser à elle, c’était penser :
a) à une trajectoire fermée qui s’ouvrait [« débouchait » ?] sur un espace illimité, sans point de départ ni d’arrivée, un ne jamais s’arrêter, juste sillonner l’asphalte qui se transforme [il faut garder la répétition de la V.O.] en une patinoire.
b) à un clip vidéo ou à une publicité accélérée qui annonce tes [ne généralise pas avec « tu »] associations les plus fines transformées en objets ou en fétiches adorables [cette phrase manque grandement de clarté / manifestement, la trad littérale ne fonctionne pas] : un clip vidéo pour les guitares qui sonnent [non] en ce moment [avance-le] dans tes audiophones, tandis que dehors [virgule] ta meilleure séquence de Ville Déconnectée se congèle, se brise et se casse.
c) à soi[texte ?]-même.
Le jour convenu, il est arrivé. Il est descendu de la passerelle de l’avion sans scaphandre et semblait étonné que l’air ait de l’oxygène [passe par « il y ait »].

Sonita a dit…

Penser à elle, c’était penser :
a) à une trajectoire fermée qui débouchait sur un espace illimité, sans point de départ ni d’arrivée, un ne jamais s’arrêter, juste sillonner l’asphalte lorsque l'asphalte se transforme en une patinoire.
b) à un clip vidéo ou à une publicité accélérée qui annonce les associations les plus fines devenues des objets ou des fétiches très prisés : un clip vidéo pour les guitares qui jouent dans tes audiophones, en ce moment, tandis que dehors, ta meilleure séquence de Ville Déconnectée se congèle, se brise et se casse.
c) à moi-même.
Le jour convenu, il est arrivé. Il est descendu de la passerelle de l’avion sans scaphandre et semblait étonné qu'il y ait de l'oxygène dans l'air.

Tradabordo a dit…

Penser à elle, c’était penser :
a) à une trajectoire fermée qui débouchait sur un espace illimité, sans point de départ ni d’arrivée, un ne jamais s’arrêter, juste sillonner l’asphalte lorsque l'asphalte se transforme en une patinoire.
b) à un clip vidéo ou à une publicité accélérée qui annonce les associations les plus fines devenues des objets ou des fétiches très prisés : un clip vidéo pour les guitares qui jouent dans tes audiophones, en ce moment [avance-le], tandis que dehors, ta meilleure séquence de Ville Déconnectée se congèle, se brise et se casse.
c) à moi-même.
Le jour convenu, il est arrivé. Il est descendu de la passerelle de l’avion sans scaphandre et semblait étonné qu'il y ait de l'oxygène dans l'air.

Sonita a dit…

Penser à elle, c’était penser :
a) à une trajectoire fermée qui débouchait sur un espace illimité, sans point de départ ni d’arrivée, un ne jamais s’arrêter, juste sillonner l’asphalte lorsque l'asphalte se transforme en une patinoire.
b) à un clip vidéo ou à une publicité accélérée qui annonce les associations les plus fines devenues des objets ou des fétiches très prisés : un clip vidéo pour les guitares qui jouent en ce moment dans tes audiophones, tandis que dehors, ta meilleure séquence de Ville Déconnectée se congèle, se brise et se casse.
c) à moi-même.
Le jour convenu, il est arrivé. Il est descendu de la passerelle de l’avion sans scaphandre et semblait étonné qu'il y ait de l'oxygène dans l'air.

Tradabordo a dit…

Penser à elle, c’était penser :
a) à une trajectoire fermée qui débouchait sur un espace illimité, sans point de départ ni d’arrivée, un ne jamais s’arrêter, juste sillonner l’asphalte lorsque l'asphalte se transforme en une patinoire.
b) à un clip vidéo ou à une publicité accélérée qui annonce les associations les plus fines devenues des objets ou des fétiches très prisés : un clip vidéo pour les guitares qui jouent en ce moment dans tes audiophones, tandis que dehors, ta meilleure séquence de Ville Déconnectée se congèle, se brise et se casse.
c) à moi-même.
Le jour convenu, il est arrivé. Il est descendu de la passerelle de l’avion sans scaphandre et semblait étonné qu'il y ait de l'oxygène dans l'air.

OK.