mercredi 11 avril 2018

Projet Justine / Elena – texte 215

Knockout

Confundido, observa que las cosas de su cuarto desaparecen bajo algo indescifrable, como si entre sus ojos y la luz de la mañana se interpusiera un lienzo.  Celeste, sobre eso sí que no hay duda, lo que sea que se interponga, es celeste. El mismo color con el que de niño pintaba el mar en los mapas escolares, a pesar de que bien sabía él que ese no era el tono del agua. Al menos no la del Xanaes, verde por fuera, bajo los sauces, y negra por dentro; muy negra aquel enero lejano, mientras se ahogaba, hasta que Marcos, su hermano mayor, lo arrastró fuera del río.  —Cuando sea grande voy a ser jugador de fútbol o cantante de tangos —decía Marcos. —Yo boxeador —replicaba él. El Toro Hernández lo venció por puntos, en aquella pelea memorable, otro enero. “La vaca”, lo apodaron entonces. Dos años debió esperar para ver el titular en letras de molde: LA VACA VOLTEA AL TORO. De pronto ese celeste artificioso que lo rodeaba muta a un verde oscuro, verde bueno de atardecer bajo los árboles. Un cansancio dulce lo abriga como una manta. Se deja estar sobre las almohadas mientras el verde, que ahora destella, le recuerda tiempos idos: el referí  alzando su brazo derecho y los flashes de los fotógrafos sobre su sonrisa ladeada.  Este día no se cansa de acercarle maravillas.

Traduction temporaire :

Knock out

Abasourdi, il remarque que les affaires de sa chambre disparaissent sous quelque chose d'indéchiffrable, comme si une toile s'interposait entre ses yeux et la lumière du matin. Bleu ciel. Oui, là-dessus, pas le moindre doute. Quoi que ce soit qui s'interpose, c'est bleu ciel. La même couleur que celle avec laquelle, enfant, il coloriait la mer sur les cartes scolaires, en sachant pertinemment que ce n'était pas la teinte de l'eau. Du moins, pas celle de la rivière Xanaes, verte à l'extérieur, sous les saules, noire à l'intérieur ; très noire en ce janvier lointain, tandis qu'il se noyait, jusqu'à ce que Marcos, son frère aîné, le traîne hors de l'eau. — Quand je serai grand, je serai joueur de foot ou chanteur de tango, déclarait Marcos. — Moi, boxeur, répliquait-il. Lors du combat mémorable de ce fameux mois de janvier, le Taureau Hernández gagna aux points. « La vache », le surnomma-t-on alors. Il dut attendre deux ans pour voir ce titre en lettres d'imprimerie : LA VACHE MET LE TAUREAU K.O. Ce bleu artificiel qui l'entourait se change soudain en vert foncé, un bon vert d'après-midi sous les arbres. Telle une couverture, une douce fatigue l'enveloppe. Tandis que le vert qui clignote lui rappelle des temps révolus, il se laisse aller dans les oreillers : l'arbitre de football levant le bras droit et les flashs des photographes captant son sourire de travers. Cette journée ne se lasse pas de lui apporter des merveilles.

67 commentaires:

Elena a dit…

Knockaut

Knock out

Tradabordo a dit…

Knockaut

Knock out

OK.

Justine ?

Justine a dit…

Knockout

Knock out

Confundido, observa que las cosas de su cuarto desaparecen bajo algo indescifrable, como si entre sus ojos y la luz de la mañana se interpusiera un lienzo.

Déconcerté, il observe que les affaires de sa chambre disparaissent sous quelque chose d'indéchiffrable, comme si entre ses yeux et la lumière du matin, une toile s'interposait.

Tradabordo a dit…


Knock out

Confundido, observa que las cosas de su cuarto desaparecen bajo algo indescifrable, como si entre sus ojos y la luz de la mañana se interpusiera un lienzo.

Déconcerté [pas plus fort ? Elena ?], il observe [naturel ici ?] que les affaires de sa chambre disparaissent sous quelque chose d'indéchiffrable, comme si entre ses yeux et la lumière du matin, une toile s'interposait [placé avant ?].

Elena a dit…

Knock out

Confundido, observa que las cosas de su cuarto desaparecen bajo algo indescifrable, como si entre sus ojos y la luz de la mañana se interpusiera un lienzo.

Déconcerté [pas plus fort ? Elena ? / "Abasourdi" ?], il observe [naturel ici ?] que les affaires de sa chambre disparaissent sous quelque chose d'indéchiffrable, comme si entre ses yeux et la lumière du matin, une toile s'interposait [placé avant ?].

Justine a dit…

Knock out

Confundido, observa que las cosas de su cuarto desaparecen bajo algo indescifrable, como si entre sus ojos y la luz de la mañana se interpusiera un lienzo.

Interloqué, il remarque que les affaires de sa chambre disparaissent sous quelque chose d'indéchiffrable, comme si une toile s'interposait entre ses yeux et la lumière du matin.

Tradabordo a dit…

Knock out

Confundido, observa que las cosas de su cuarto desaparecen bajo algo indescifrable, como si entre sus ojos y la luz de la mañana se interpusiera un lienzo.

Déconcerté [pas plus fort ? Elena ? / "Abasourdi" ? OK], il observe [naturel ici ?] que les affaires de sa chambre disparaissent sous quelque chose d'indéchiffrable, comme si entre ses yeux et la lumière du matin, une toile s'interposait [placé avant ?].

Justine a dit…

Knock out

Confundido, observa que las cosas de su cuarto desaparecen bajo algo indescifrable, como si entre sus ojos y la luz de la mañana se interpusiera un lienzo.

Abasourdi, il remarque que les affaires de sa chambre disparaissent sous quelque chose d'indéchiffrable, comme si une toile s'interposait entre ses yeux et la lumière du matin.

Tradabordo a dit…

Knock out

Confundido, observa que las cosas de su cuarto desaparecen bajo algo indescifrable, como si entre sus ojos y la luz de la mañana se interpusiera un lienzo.

Abasourdi, il remarque que les affaires de sa chambre disparaissent sous quelque chose d'indéchiffrable, comme si une toile s'interposait entre ses yeux et la lumière du matin.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Knock out

Confundido, observa que las cosas de su cuarto desaparecen bajo algo indescifrable, como si entre sus ojos y la luz de la mañana se interpusiera un lienzo.

Abasourdi, il remarque que les affaires de sa chambre disparaissent sous quelque chose d'indéchiffrable, comme si une toile s'interposait entre ses yeux et la lumière du matin.

Elena a dit…

***Nos commentaires ce sont croisés... OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

Celeste, sobre eso sí que no hay duda, lo que sea que se interponga, es celeste.

Bleu ciel, oui, là-dessus pas le moindre doute, quoi que ce soit qui s'interpose, c'est bleu ciel.

Tradabordo a dit…

Celeste, sobre eso sí que no hay duda, lo que sea que se interponga, es celeste.

Bleu ciel, [point ?] oui, là-dessus pas le moindre doute, [point ?] quoi que ce soit qui s'interpose, c'est bleu ciel.

Justine a dit…

Celeste, sobre eso sí que no hay duda, lo que sea que se interponga, es celeste.

Bleu ciel. Oui, là-dessus, pas le moindre doute. Quoi que ce soit qui s'interpose, c'est bleu ciel.

Tradabordo a dit…

Celeste, sobre eso sí que no hay duda, lo que sea que se interponga, es celeste.

Bleu ciel. Oui, là-dessus, pas le moindre doute. Quoi que ce soit qui s'interpose, c'est bleu ciel.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Bleu ciel. Oui, là-dessus, pas le moindre doute. Quoi que ce soit qui s'interpose, c'est bleu ciel.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

El mismo color con el que de niño pintaba el mar en los mapas escolares, a pesar de que bien sabía él que ese no era el tono del agua.

La même couleur que celle avec laquelle, enfant, il coloriait la mer sur les cartes scolaires, en sachant pertinemment que ce n'était pas la teinte de l'eau.

Tradabordo a dit…

El mismo color con el que de niño pintaba el mar en los mapas escolares, a pesar de que bien sabía él que ese no era el tono del agua.

La même couleur que celle avec laquelle, enfant, il coloriait la mer sur les cartes scolaires, en sachant pertinemment que ce n'était pas la teinte de l'eau.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

La même couleur que celle avec laquelle, enfant, il coloriait la mer sur les cartes scolaires, en sachant pertinemment que ce n'était pas la teinte de l'eau.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

Al menos no la del Xanaes, verde por fuera, bajo los sauces, y negra por dentro; muy negra aquel enero lejano, mientras se ahogaba, hasta que Marcos, su hermano mayor, lo arrastró fuera del río.

Du moins, pas celle de la rivière Xanaes [« du Río Segundo », Elena ?], verte à l'extérieur, sous les saules, mais noire à l'intérieur ; très noir ce janvier lointain, tandis qu'il se noyait, jusqu'à ce Marcos, son frère aîné, le traîne hors de l'eau.

Elena a dit…

Al menos no la del Xanaes, verde por fuera, bajo los sauces, y negra por dentro; muy negra aquel enero lejano, mientras se ahogaba, hasta que Marcos, su hermano mayor, lo arrastró fuera del río.

Du moins, pas celle de la rivière Xanaes [« du Río Segundo », Elena ? / Je ne crois pas.], verte à l'extérieur, sous les saules, mais noire à l'intérieur ; très noir ce janvier lointain, tandis qu'il se noyait, jusqu'à ce Marcos, son frère aîné, le traîne hors de l'eau.

Tradabordo a dit…

Al menos no la del Xanaes, verde por fuera, bajo los sauces, y negra por dentro; muy negra aquel enero lejano, mientras se ahogaba, hasta que Marcos, su hermano mayor, lo arrastró fuera del río.

Du moins, pas celle de la rivière Xanaes [« du Río Segundo », Elena ?], verte à l'extérieur, sous les saules, mais [nécessaire ?] noire à l'intérieur ; très noir [gram] [« en » ?] ce janvier lointain, tandis qu'il se noyait, jusqu'à ce Marcos, son frère aîné, le traîne hors de l'eau.

Elena a dit…

Al menos no la del Xanaes, verde por fuera, bajo los sauces, y negra por dentro; muy negra aquel enero lejano, mientras se ahogaba, hasta que Marcos, su hermano mayor, lo arrastró fuera del río.

Du moins, pas celle de la rivière Xanaes [« du Río Segundo », Elena ? / Je ne pense pas.], verte à l'extérieur, sous les saules, noire à l'intérieur ; très noire en ce janvier lointain, tandis qu'il se noyait, jusqu'à ce que Marcos, son frère aîné, le traîne hors de l'eau.

Justine a dit…

Al menos no la del Xanaes, verde por fuera, bajo los sauces, y negra por dentro; muy negra aquel enero lejano, mientras se ahogaba, hasta que Marcos, su hermano mayor, lo arrastró fuera del río.

Du moins, pas celle de la rivière Xanaes [« du Río Segundo », Elena ?], verte à l'extérieur, sous les saules, noire à l'intérieur ; très noire en ce janvier lointain, tandis qu'il se noyait, jusqu'à ce Marcos, son frère aîné, le traîne hors de l'eau.

Tradabordo a dit…

Al menos no la del Xanaes, verde por fuera, bajo los sauces, y negra por dentro; muy negra aquel enero lejano, mientras se ahogaba, hasta que Marcos, su hermano mayor, lo arrastró fuera del río.

Du moins, pas celle de la rivière Xanaes [« du Río Segundo », Elena ? / Je ne pense pas. ///// du coup, on fait quoi pour ça ?], verte à l'extérieur, sous les saules, noire à l'intérieur ; très noire en ce janvier lointain, tandis qu'il se noyait, jusqu'à ce que Marcos, son frère aîné, le traîne hors de l'eau.

Justine a dit…

Al menos no la del Xanaes, verde por fuera, bajo los sauces, y negra por dentro; muy negra aquel enero lejano, mientras se ahogaba, hasta que Marcos, su hermano mayor, lo arrastró fuera del río.

Du moins, pas celle de la rivière Xanaes, verte à l'extérieur, sous les saules, noire à l'intérieur ; très noire en ce janvier lointain, tandis qu'il se noyait, jusqu'à ce que Marcos, son frère aîné, le traîne hors de l'eau.

Elena a dit…

Al menos no la del Xanaes, verde por fuera, bajo los sauces, y negra por dentro; muy negra aquel enero lejano, mientras se ahogaba, hasta que Marcos, su hermano mayor, lo arrastró fuera del río.

Du moins, pas celle de la rivière Xanaes, verte à l'extérieur, sous les saules, noire à l'intérieur ; très noire en ce janvier lointain, tandis qu'il se noyait, jusqu'à ce que Marcos, son frère aîné, le traîne hors de l'eau.

***On laisse tel quel.

Tradabordo a dit…

Du moins, pas celle de la rivière Xanaes, verte à l'extérieur, sous les saules, noire à l'intérieur ; très noire en ce janvier lointain, tandis qu'il se noyait, jusqu'à ce que Marcos, son frère aîné, le traîne hors de l'eau.

OK.

VPC.

Justine a dit…

—Cuando sea grande voy a ser jugador de fútbol o cantante de tangos —decía Marcos.
—Yo boxeador —replicaba él.

— Quand je serai grand, je serai joueur de foot ou chanteur de tango, déclarait Marcos.
— Moi, boxeur, répliquait-il.

Tradabordo a dit…

—Cuando sea grande voy a ser jugador de fútbol o cantante de tangos —decía Marcos.
—Yo boxeador —replicaba él.

— Quand je serai grand, je serai joueur de foot ou chanteur de tango, déclarait Marcos.
— Moi, boxeur, répliquait-il.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

— Quand je serai grand, je serai joueur de foot ou chanteur de tango, déclarait Marcos.
— Moi, boxeur, répliquait-il.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

El Toro Hernández lo venció por puntos, en aquella pelea memorable, otro enero. “La vaca”, lo apodaron entonces.

Lors de ce combat mémorable ce fameux mois de janvier, le Taureau Hernández gagna par points. « La vache », le surnomma-t-on alors.

Tradabordo a dit…

El Toro Hernández lo venció por puntos, en aquella pelea memorable, otro enero. “La vaca”, lo apodaron entonces.

Lors de ce combat mémorable [virgule ?] ce [m'ennuie, les deux « ce »] fameux mois de janvier, le Taureau Hernández gagna par [« aux » ?] points. « La vache », le surnomma-t-on alors.

Justine a dit…

El Toro Hernández lo venció por puntos, en aquella pelea memorable, otro enero. “La vaca”, lo apodaron entonces.

Lors du combat mémorable de ce fameux mois de janvier, le Taureau Hernández gagna aux points. « La vache », le surnomma-t-on alors.

Tradabordo a dit…

El Toro Hernández lo venció por puntos, en aquella pelea memorable, otro enero. “La vaca”, lo apodaron entonces.

Lors du combat mémorable de ce fameux mois de janvier, le Taureau Hernández gagna aux points. « La vache », le surnomma-t-on alors.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Lors du combat mémorable de ce fameux mois de janvier, le Taureau Hernández gagna aux points. « La vache », le surnomma-t-on alors.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

De pronto ese celeste artificioso que lo rodeaba muta a un verde oscuro, verde bueno de atardecer bajo los árboles.

Ce bleu artificiel qui l'entoure se change soudain en vert foncé, un bon vert d'après-midi sous les arbres.

Tradabordo a dit…

De pronto ese celeste artificioso que lo rodeaba muta a un verde oscuro, verde bueno de atardecer bajo los árboles.

Ce bleu artificiel qui l'entoure [temps] se change soudain en vert foncé, un bon vert d'après-midi sous les arbres.

Justine a dit…

De pronto ese celeste artificioso que lo rodeaba muta a un verde oscuro, verde bueno de atardecer bajo los árboles.

Ce bleu artificiel qui l'entourait se change soudain en vert foncé, un bon vert d'après-midi sous les arbres.

Elena a dit…

De pronto ese celeste artificioso que lo rodeaba muta a un verde oscuro, verde bueno de atardecer bajo los árboles.

Ce bleu artificiel qui l'entourait se change soudain en vert foncé, un bon vert d'après-midi sous les arbres.

Tradabordo a dit…

De pronto ese celeste artificioso que lo rodeaba muta a un verde oscuro, verde bueno de atardecer bajo los árboles.

Ce bleu artificiel qui l'entourait se change soudain en vert foncé, un bon vert d'après-midi sous les arbres.

OK.

VPC.

Justine a dit…

Un cansancio dulce lo abriga como una manta.

Telle une couverture, une douce fatigue l'enveloppe.

Tradabordo a dit…

Un cansancio dulce lo abriga como una manta.

Telle une couverture, une douce fatigue l'enveloppe. [non, inverse la syntaxe]

Justine a dit…

Un cansancio dulce lo abriga como una manta.

Une douce fatigue l'enveloppe telle une couverture.

Justine a dit…

Un cansancio dulce lo abriga como una manta.

Une douce fatigue l'enveloppe telle une couverture.

Tradabordo a dit…

Un cansancio dulce lo abriga como una manta.

Une douce fatigue l'enveloppe telle une couverture.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Une douce fatigue l'enveloppe telle une couverture.

OK.

Tradabordo a dit…

VPC.

Justine a dit…

Avant la suite, on a oublié une phrase, je la poste ici et la réintégrerai dans un copier/ coller de l'ensemble :

Dos años debió esperar para ver el titular en letras de molde: LA VACA VOLTEA AL TORO.

Il dut attendre deux ans pour voir ce titre en lettres d'imprimerie : LA VACHE MET LE TAUREAU K.O.

Tradabordo a dit…

Du coup, Justine, rafraîchis-moi la mémoire : j'ai publié une phrase de ce texte, l'ai collée dans le post et il faut faire celle que tu mets ici avant ?

Justine a dit…

En fait, dans ton copier-coller final, il faudra intercaler cette phrase avant les deux dernières actuelles… T'inquiète, je referai un copier/coller global en l'intégrant :

Dos años debió esperar para ver el titular en letras de molde: LA VACA VOLTEA AL TORO.

Il dut attendre deux ans pour voir ce titre en lettres d'imprimerie : LA VACHE MET LE TAUREAU K.O.

Tradabordo a dit…

Donc, on continue et avant le copier-coller final dans le post, tu me mettras le texte dans le bon ordre.

Du coup, remets-moi la phrase à traduire maintenant.

Justine a dit…

Dos años debió esperar para ver el titular en letras de molde: LA VACA VOLTEA AL TORO.

Il dut attendre deux ans pour voir ce titre en lettres d'imprimerie : LA VACHE MET LE TAUREAU K.O.

Tradabordo a dit…

Dos años debió esperar para ver el titular en letras de molde: LA VACA VOLTEA AL TORO.

Il dut attendre deux ans pour voir ce titre en lettres d'imprimerie : LA VACHE MET LE TAUREAU K.O.

OK.

Elena ?

Elena a dit…

Il dut attendre deux ans pour voir ce titre en lettres d'imprimerie : LA VACHE MET LE TAUREAU K.O.

OK.

Tradabordo a dit…

Du coup, je ne colle pas… mais VPC.

Justine a dit…

Se deja estar sobre las almohadas mientras el verde, que ahora destella, le recuerda tiempos idos: el referí alzando su brazo derecho y los flashes de los fotógrafos sobre su sonrisa ladeada. Este día no se cansa de acercarle maravillas.

Tandis que le vert qui clignote désormais lui rappelle des temps révolus, il se laisse aller sur les oreillers : l'arbitre de football levant le bras droit et les flashs des photographes sur son sourire de travers. Cette journée ne se lasse pas de lui rapporter des merveilles.

Tradabordo a dit…

Se deja estar sobre las almohadas mientras el verde, que ahora destella, le recuerda tiempos idos: el referí alzando su brazo derecho y los flashes de los fotógrafos sobre su sonrisa ladeada. Este día no se cansa de acercarle maravillas.

Tandis que le vert qui clignote désormais [?] lui rappelle des temps révolus, il se laisse aller sur [dans ?] les oreillers : l'arbitre de football levant le bras droit et les flashs des photographes sur son [on comprend mal qui quoi…] sourire de travers. Cette journée ne se lasse pas de lui rapporter [apporter ?] des merveilles.

Justine a dit…

Se deja estar sobre las almohadas mientras el verde, que ahora destella, le recuerda tiempos idos: el referí alzando su brazo derecho y los flashes de los fotógrafos sobre su sonrisa ladeada. Este día no se cansa de acercarle maravillas.

Tandis que le vert qui clignote lui rappelle des temps révolus, il se laisse aller dans les oreillers : l'arbitre de football levant le bras droit et les flashs des photographes captant son sourire de travers. Cette journée ne se lasse pas de lui apporter des merveilles.

Tradabordo a dit…

Se deja estar sobre las almohadas mientras el verde, que ahora destella, le recuerda tiempos idos: el referí alzando su brazo derecho y los flashes de los fotógrafos sobre su sonrisa ladeada. Este día no se cansa de acercarle maravillas.

Tandis que le vert qui clignote lui rappelle des temps révolus, il se laisse aller dans les oreillers : l'arbitre de football levant le bras droit et les flashs des photographes captant son sourire de travers [ou « sur le côté » ? Elena ?]. Cette journée ne se lasse pas de lui apporter des merveilles.

Elena a dit…

Se deja estar sobre las almohadas mientras el verde, que ahora destella, le recuerda tiempos idos: el referí alzando su brazo derecho y los flashes de los fotógrafos sobre su sonrisa ladeada. Este día no se cansa de acercarle maravillas.

Tandis que le vert qui clignote lui rappelle des temps révolus, il se laisse aller dans les oreillers : l'arbitre de football levant le bras droit et les flashs des photographes captant son sourire de travers. Cette journée ne se lasse pas de lui apporter des merveilles.

*** "de travers", dans le sens de "tordu" me semble bien..

OK pour moi.

Justine a dit…

Je refais un copier/ coller global pour réintégrer une phrase dans le copier/ coller final :

Knock out

Abasourdi, il remarque que les affaires de sa chambre disparaissent sous quelque chose d'indéchiffrable, comme si une toile s'interposait entre ses yeux et la lumière du matin. Bleu ciel. Oui, là-dessus, pas le moindre doute. Quoi que ce soit qui s'interpose, c'est bleu ciel. La même couleur que celle avec laquelle, enfant, il coloriait la mer sur les cartes scolaires, en sachant pertinemment que ce n'était pas la teinte de l'eau. Du moins, pas celle de la rivière Xanaes, verte à l'extérieur, sous les saules, noire à l'intérieur ; très noire en ce janvier lointain, tandis qu'il se noyait, jusqu'à ce que Marcos, son frère aîné, le traîne hors de l'eau. — Quand je serai grand, je serai joueur de foot ou chanteur de tango, déclarait Marcos. — Moi, boxeur, répliquait-il. Lors du combat mémorable de ce fameux mois de janvier, le Taureau Hernández gagna aux points. « La vache », le surnomma-t-on alors. Il dut attendre deux ans pour voir ce titre en lettres d'imprimerie : LA VACHE MET LE TAUREAU K.O. Ce bleu artificiel qui l'entourait se change soudain en vert foncé, un bon vert d'après-midi sous les arbres. Telle une couverture, une douce fatigue l'enveloppe. Tandis que le vert qui clignote lui rappelle des temps révolus, il se laisse aller dans les oreillers : l'arbitre de football levant le bras droit et les flashs des photographes captant son sourire de travers. Cette journée ne se lasse pas de lui apporter des merveilles.