mercredi 25 mars 2009

10 question à Marta Lacomba

En photo : le lycée français de Madrid
(désolée, Marta, je n'ai pas trouvé mieux)

L'inusable questionnaire de Jacqueline a encore frappé…

Comment êtes-vous venue à la traduction ?
Sans doute à cause de ma scolarité (Lycée Français de Madrid), j'ai commencé à faire des traductions très jeune.

Votre première traduction : qu’en pensez-vous aujourd’hui ?
Je ne m'en souviens pas dans le détail.
Comment voyez-vous aujourd’hui la profession de traducteur ?
Mal rémunérée.

Quels sont les critères d’embauche pour le master 2 ?
Il devrait y avoir des pré-requis (compétences linguistiques et culture générale) et des aptitudes (capacité de travail, goût de la langue, curiosité pour tout).
Votre meilleur souvenir de traductrice ? Et le moins agréable ?
Meilleur souvenir : la première traduction (un livret d'opéra).

Pensez-vous que votre nom sur un livre, en tant que traductrice, c’est un moyen de passer à la postérité ? La postérité ne m'intéresse pas. C'est plutôt la reconnaissance d'un travail.

Qu’est-ce, pour vous, que la postérité ?
Sans doute ce qui reste d'un présent "réussi".

Quelle image ou quelle leçon aimeriez-vous que vos apprentis gardent de vous ?

L'image m'importe peu, mais en revanche il est certain j'aimerai apporter quelque chose aux personnes avec lesquelles je travaille. Quoi exactement, je ne sais pas, sans doute l'idée que j'ai tout fait pour leur apporter quelque chose...

Quelle est la place de la littérature dans votre vie ?

Centrale. Tout n'est que récit.

Qu’est-ce pour vous, que cet entretien ?

Une bonne façon de continuer à me poser - à moi-même - des questions.

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