samedi 9 novembre 2013

Morgane 5

III


Los presentes sueños son tramposos, tramposos porque se saben sueños. Cada elemento que los compone es el resultado de una extensa acumulación de ideas, de sentimientos distorsionados a la caprichosa voluntad del soñador. Todos los personajes de un sueño son estrictamente necesarios (y en ello debe ocultarse alguna enseñanza en materia de ficción narrativa). Los cuentos aparecen como la moneda bajo el papel raspado por el lápiz, y el soñador —el narrador— termina diluyéndose, a su pesar, en las ensoñaciones.

Traduction temporaire :

III

Les présents rêves sont trompeurs, trompeurs parce qu'ils savent qu'ils sont des rêves. Chaque élément qui les compose est le résultat d'une longue accumulation d'idées, de sentiments que la capricieuse volonté du rêveur distorsionne. Tous les personnages d'un rêve sont strictement nécessaires (et doit s'y dissimuler un certain enseignement en matière de fiction narrative). Les contes apparaissent comme la pièce sous le papier gratté par le crayon, et le rêveur - le narrateur - finit par se diluer, malgré lui, dans ses rêveries.

12 commentaires:

Unknown a dit…

III

Les présents rêves sont des tricheurs, des tricheurs car ils savent qu'ils sont des rêves. Chaque élément qui les compose est le résultat d'une longue accumulation d'idées, de sentiments dénaturés par la capricieuse volonté du rêveur. Tous les personnages d'un rêve sont strictement nécessaires (et dans le rêve, un certain enseignement en matière de fiction narrative doit être dissimulé) . Les contes apparaissent comme la monnaie sous le papier que le crayon a gratté, et le rêveur —le narrateur— finit par se mélanger, malgré lui, à ses rêveries.

Tradabordo a dit…

III

Les présents rêves sont des tricheurs [ou simplement « trompeurs » ?], des tricheurs car ils savent qu'ils sont des rêves.

Unknown a dit…

III

Les présents rêves sont trompeurs, trompeurs car ils savent qu'ils sont des rêves. Chaque élément qui les compose est le résultat d'une longue accumulation d'idées, de sentiments dénaturés par la capricieuse volonté du rêveur. Tous les personnages d'un rêve sont strictement nécessaires (et dans le rêve, un certain enseignement en matière de fiction narrative doit être dissimulé) . Les contes apparaissent comme la monnaie sous le papier que le crayon a gratté, et le rêveur —le narrateur— finit par se mélanger, malgré lui, à ses rêveries.

Tradabordo a dit…

III

Les présents rêves sont trompeurs, trompeurs car [ou « parce que » ici ? Comme tu veux, mais je me demande si ça n'est pas plus explicatif…] ils savent qu'ils sont des rêves. Chaque élément qui les compose est le résultat d'une longue accumulation d'idées, de sentiments dénaturés [pourquoi tu changes ?] par la capricieuse volonté [ou syntaxe inversée ?] du rêveur. Tous les personnages d'un rêve sont strictement nécessaires (et dans le rêve [sans répéter « rêve », comme en V.O.], un certain enseignement en matière de fiction narrative doit être dissimulé [ça ne fonctionne pas en gardant la syntaxe espagnoles ?]) [espace en trop]. Les contes apparaissent comme la monnaie [mal dit / FS] sous le papier que le crayon a gratté [sûre pour ici ?], et le rêveur —[espace]le narrateur[espace]— finit par se mélanger [FS], malgré lui, à ses rêveries.

Unknown a dit…

III

Les présents rêves sont trompeurs, trompeurs parce qu'ils savent qu'ils sont des rêves. Chaque élément qui les compose est le résultat d'une longue accumulation d'idées, de sentiments que la capricieuse volonté du rêveur déforme. Tous les personnages d'un rêve sont strictement nécessaires (et en ce dernier, il faut dissimuler un certain enseignement en matière de fiction narrative). Les contes apparaissent comme la pièce sous le papier gratté par le crayon, et le rêveur — le narrateur — finit par se noyer, malgré lui, dans ses rêveries.

Tradabordo a dit…

III

Les présents rêves sont trompeurs, trompeurs parce qu'ils savent qu'ils sont des rêves. Chaque élément qui les compose est le résultat d'une longue accumulation d'idées, de sentiments que la capricieuse volonté du rêveur déforme [OK pour le changement de syntaxe, mais pourquoi pas la trad littérale du verbe – qui est plus fort et plus intéressant…]. Tous les personnages d'un rêve sont strictement nécessaires (et en ce dernier, il faut [ça ne va pas ; passe par quelque chose comme « doit s'y… »] dissimuler un certain enseignement en matière de fiction narrative). Les contes apparaissent comme la pièce sous le papier gratté par le crayon, et le rêveur — le narrateur — finit par se noyer, malgré lui, dans ses rêveries.

Unknown a dit…

III

Les présents rêves sont trompeurs, trompeurs parce qu'ils savent qu'ils sont des rêves. Chaque élément qui les compose est le résultat d'une longue accumulation d'idées, de sentiments que la capricieuse volonté du rêveur distorsionne. Tous les personnages d'un rêve sont strictement nécessaires (et en ce dernier doit s'y dissimuler un certain enseignement en matière de fiction narrative). Les contes apparaissent comme la pièce sous le papier gratté par le crayon, et le rêveur — le narrateur — finit par se noyer, malgré lui, dans ses rêveries.

[Je n'avais pas pensé à la traduction littérale de "distorsionar" car pas d'acception dans le dictionnaire CNRTL ni Larousse, par contre, le terme semble exister quand même!]

Tradabordo a dit…

III

Les présents rêves sont trompeurs, trompeurs parce qu'ils savent qu'ils sont des rêves. Chaque élément qui les compose est le résultat d'une longue accumulation d'idées, de sentiments que la capricieuse volonté du rêveur distorsionne. Tous les personnages d'un rêve sont strictement nécessaires (et en ce dernier doit s'y [grammaire] dissimuler un certain enseignement en matière de fiction narrative). Les contes apparaissent comme la pièce sous le papier gratté par le crayon, et le rêveur — le narrateur — finit par se noyer [trad littérale], malgré lui, dans ses rêveries.

Unknown a dit…

III

Les présents rêves sont trompeurs, trompeurs parce qu'ils savent qu'ils sont des rêves. Chaque élément qui les compose est le résultat d'une longue accumulation d'idées, de sentiments que la capricieuse volonté du rêveur distorsionne. Tous les personnages d'un rêve sont strictement nécessaires (et en ce dernier doit se dissimuler un certain enseignement en matière de fiction narrative). Les contes apparaissent comme la pièce sous le papier gratté par le crayon, et le rêveur — le narrateur — finit par se diluer, malgré lui, dans ses rêveries.

Tradabordo a dit…

III

Les présents rêves sont trompeurs, trompeurs parce qu'ils savent qu'ils sont des rêves. Chaque élément qui les compose est le résultat d'une longue accumulation d'idées, de sentiments que la capricieuse volonté du rêveur distorsionne. Tous les personnages d'un rêve sont strictement nécessaires (et en ce dernier doit se dissimuler [« doit s'y », mais supprime tout ce qui précède : lourd et inutile] un certain enseignement en matière de fiction narrative). Les contes apparaissent comme la pièce sous le papier gratté par le crayon, et le rêveur — le narrateur — [les tirets moyens ; les longs, c'est pour l'ouverture du dialogue] finit par se diluer, malgré lui, dans ses rêveries.

Unknown a dit…

III

Les présents rêves sont trompeurs, trompeurs parce qu'ils savent qu'ils sont des rêves. Chaque élément qui les compose est le résultat d'une longue accumulation d'idées, de sentiments que la capricieuse volonté du rêveur distorsionne. Tous les personnages d'un rêve sont strictement nécessaires (et doit s'y dissimuler un certain enseignement en matière de fiction narrative). Les contes apparaissent comme la pièce sous le papier gratté par le crayon, et le rêveur - le narrateur - finit par se diluer, malgré lui, dans ses rêveries.

Tradabordo a dit…

III

Les présents rêves sont trompeurs, trompeurs parce qu'ils savent qu'ils sont des rêves. Chaque élément qui les compose est le résultat d'une longue accumulation d'idées, de sentiments que la capricieuse volonté du rêveur distorsionne. Tous les personnages d'un rêve sont strictement nécessaires (et doit s'y dissimuler un certain enseignement en matière de fiction narrative). Les contes apparaissent comme la pièce sous le papier gratté par le crayon, et le rêveur - le narrateur - finit par se diluer, malgré lui, dans ses rêveries.

OK.