No negaré que mi afanosa curiosidad humanística –inquietud que me ha aguijoneado desde mis épocas de bachiller– me predispuso en un principio a los devaneos místicos de Carl Gustav Jung, un sabio olvidado a quien no dejé de venerar hasta que me reprobaron en el primer seminario del doctorado, donde mis compañeros no me bajaron de psicoterapeuta de banqueta y yo, para redimirme, relegué los libros del suizo a los estantes reservados para las obras de Osho y Richard Bach (si de algo puedo sentirme orgulloso es de no contar con un espíritu purista, tales esnobismos los dejo para maricones y literatos).
Traduction temporaire :
Je ne nierais pas que mon avide curiosité envers les sciences humaines – préoccupation qui me titille depuis l'époque du lycée – m'a dans un premier temps prédisposé aux amourettes mystiques de Carl Gustav Jung, un sage oublié que je n'ai jamais cessé de vénérer, jusqu'à ce qu'on me refuse l'accès à mon premier séminaire de doctorat, où mes camarades m'ont mis l'étiquette de psychothérapeute de seconde zone et où moi, pour me racheter, j'ai relégué les livres du Suisse dans les étagères réservées aux œuvres d’Osho et de Richard Bach (s'il y a bien une chose dont je suis fier, c'est de ne pas avoir un esprit puriste ; je laisse de tels snobismes aux pédés et aux écrivains).
Je ne nierais pas que mon avide curiosité envers les sciences humaines – préoccupation qui me titille depuis l'époque du lycée – m'a dans un premier temps prédisposé aux amourettes mystiques de Carl Gustav Jung, un sage oublié que je n'ai jamais cessé de vénérer, jusqu'à ce qu'on me refuse l'accès à mon premier séminaire de doctorat, où mes camarades m'ont mis l'étiquette de psychothérapeute de seconde zone et où moi, pour me racheter, j'ai relégué les livres du Suisse dans les étagères réservées aux œuvres d’Osho et de Richard Bach (s'il y a bien une chose dont je suis fier, c'est de ne pas avoir un esprit puriste ; je laisse de tels snobismes aux pédés et aux écrivains).
13 commentaires:
Je ne nierais pas que mon avide curiosité humaniste — une inquiétude qui m'a titillé depuis l'époque du lycée — m'a prédisposé, dans un premier temps, aux amourettes mystiques de Carl Gustav Jung, un sage oublié et que je n'ai jamais arrêté de vénérer jusqu'à ce qu'on me refuse au premier séminaire du doctorat, où mes camarades m'ont rotulé de psychothérapeute de trottoir et moi, pour me racheter, j'ai relegué les livres du Suisse aux étagères réservées aux oeuvres de Osho et de Richard Bash ( s'il y a bien quelque chose dont je suis fier, c'est de ne pas avoir un esprit puriste, de tels snobismes je les laisse aux pédés et aux écrivains).
Les tirets moyens + espace en trop dans la parenthèse.
Je ne nierais pas que mon avide curiosité humaniste – une inquiétude qui m'a titillé depuis l'époque du lycée – m'a prédisposé, dans un premier temps, aux amourettes mystiques de Carl Gustav Jung, un sage oublié et que je n'ai jamais arrêté de vénérer jusqu'à ce qu'on me refuse au premier séminaire du doctorat, où mes camarades m'ont rotulé de psychothérapeute de trottoir et moi, pour me racheter, j'ai relegué les livres du Suisse aux étagères réservées aux oeuvres de Osho et de Richard Bash (s'il y a bien quelque chose dont je suis fier, c'est de ne pas avoir un esprit puriste, de tels snobismes je les laisse aux pédés et aux écrivains).
Je ne nierais pas que mon avide curiosité humaniste – une [nécessaire ?] inquiétude qui m'a titillé [je me demande si on ne devrait pas mettre ça au présent…] depuis l'époque du lycée – m'a prédisposé, dans un premier temps [avance-le], aux amourettes mystiques de Carl Gustav Jung, un sage oublié et [pourquoi cet ajout ?] que je n'ai jamais arrêté []le synonyme sera mieux ici de vénérer [virgule] jusqu'à ce qu'on me refuse au [« l'accès » ?] premier séminaire du doctorat, où mes camarades m'ont rotulé [????] de psychothérapeute de trottoir et moi, pour me racheter, j'ai relegué les livres du Suisse aux étagères réservées aux oeuvres de Osho et de Richard Bash (s'il y a bien quelque chose dont je suis fier, c'est de ne pas avoir un esprit puriste, de tels snobismes je les laisse aux pédés et aux écrivains).
Je ne nierais pas que mon avide curiosité humaniste [ou « envers les sciences humaines » ?] – inquiétude qui me titille depuis l'époque du lycée – m'a dans un premier temps prédisposé aux amourettes mystiques de Carl Gustav Jung, un sage oublié que je n'ai jamais cessé de vénérer, jusqu'à ce qu'on me refuse l'accès au premier séminaire du doctorat, où mes camarades ne m’ont pas traité de psychothérapeute de trottoir et moi, pour me racheter, j'ai relégué les livres du Suisse aux étagères réservées aux œuvres d’Osho et de Richard Bach (s'il y a bien quelque chose dont je suis fier, c'est de ne pas avoir un esprit puriste, je laisse de tels snobismes aux pédés et aux écrivains).
Je ne nierais pas que mon avide curiosité humaniste [ou « envers les sciences humaines » ? Tout à fait !] – inquiétude qui me titille depuis l'époque du lycée – m'a dans un premier temps prédisposé aux amourettes mystiques de Carl Gustav Jung, un sage oublié que je n'ai jamais cessé de vénérer, jusqu'à ce qu'on me refuse l'accès au [possessif ?] premier séminaire du [« de »] doctorat, où mes camarades ne m’ont pas traité de psychothérapeute de trottoir [dans le sens de « de troisième zone » ?] et [« où » – si parallèle avec ce qui précède ? Je vous laisse voir…] moi, pour me racheter, j'ai relégué les livres du Suisse aux [« dans les »] étagères réservées aux œuvres d’Osho et de Richard Bach (s'il y a bien quelque [ou « une » ?] chose dont je suis fier, c'est de ne pas avoir un esprit puriste, [point-virgule ?] je laisse de tels snobismes aux pédés et aux écrivains).
Je ne nierais pas que mon avide curiosité envers les sciences humaines – inquiétude qui me titille depuis l'époque du lycée – m'a dans un premier temps prédisposé aux amourettes mystiques de Carl Gustav Jung, un sage oublié que je n'ai jamais cessé de vénérer, jusqu'à ce qu'on me refuse l'accès à mon premier séminaire de doctorat, où mes camarades ne m’ont pas traité de psychothérapeute de troisième zone et où moi, pour me racheter, j'ai relégué les livres du Suisse dans les étagères réservées aux œuvres d’Osho et de Richard Bach (s'il y a bien une chose dont je suis fier, c'est de ne pas avoir un esprit puriste ; je laisse de tels snobismes aux pédés et aux écrivains).
Je ne nierais pas que mon avide curiosité envers les sciences humaines – inquiétude [« préoccupation » ?] qui me titille depuis l'époque du lycée – m'a dans un premier temps prédisposé aux amourettes mystiques de Carl Gustav Jung, un sage oublié que je n'ai jamais cessé de vénérer, jusqu'à ce qu'on me refuse l'accès à mon premier séminaire de doctorat, où mes camarades ne m’ont pas traité de psychothérapeute de troisième zone [j'hésite sur l'interprétation ; Sonita, qu'en penses-tu ?] et où moi, pour me racheter, j'ai relégué les livres du Suisse dans les étagères réservées aux œuvres d’Osho et de Richard Bach (s'il y a bien une chose dont je suis fier, c'est de ne pas avoir un esprit puriste ; je laisse de tels snobismes aux pédés et aux écrivains).
Il me semble que le sens de "psicoterapeuta de banqueta" fait allusion à un psychothérapeute de mauvaise qualité. Est-ce que "de troisième zone" contient ce sens ?
D'autre part, lorsque le narrateur dit : "mis compañeros no me bajaron de", d'après mes recherches auprès de quelques Mexicains, cela a le sens de "mettre une étiquette", c'est-à-dire que ses camarades ne le prennaient pas au sérieux.
Qu'en pensez-vous ?
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Je ne nierais pas que mon avide curiosité envers les sciences humaines – préoccupation qui me titille depuis l'époque du lycée – m'a dans un premier temps prédisposé aux amourettes mystiques de Carl Gustav Jung, un sage oublié que je n'ai jamais cessé de vénérer, jusqu'à ce qu'on me refuse l'accès à mon premier séminaire de doctorat, où mes camarades m'ont mis l'étiquette de psychothérapeute de trottoir et où moi, pour me racheter, j'ai relégué les livres du Suisse dans les étagères réservées aux œuvres d’Osho et de Richard Bach (s'il y a bien une chose dont je suis fier, c'est de ne pas avoir un esprit puriste ; je laisse de tels snobismes aux pédés et aux écrivains).
Je ne nierais pas que mon avide curiosité envers les sciences humaines – préoccupation qui me titille depuis l'époque du lycée – m'a dans un premier temps prédisposé aux amourettes mystiques de Carl Gustav Jung, un sage oublié que je n'ai jamais cessé de vénérer, jusqu'à ce qu'on me refuse l'accès à mon premier séminaire de doctorat, où mes camarades m'ont mis l'étiquette de psychothérapeute de trottoir [non, du coup, vu le sens que tu donnes… « de seconde zone » était parfait] et où moi, pour me racheter, j'ai relégué les livres du Suisse dans les étagères réservées aux œuvres d’Osho et de Richard Bach (s'il y a bien une chose dont je suis fier, c'est de ne pas avoir un esprit puriste ; je laisse de tels snobismes aux pédés et aux écrivains).
Je ne nierais pas que mon avide curiosité envers les sciences humaines – préoccupation qui me titille depuis l'époque du lycée – m'a dans un premier temps prédisposé aux amourettes mystiques de Carl Gustav Jung, un sage oublié que je n'ai jamais cessé de vénérer, jusqu'à ce qu'on me refuse l'accès à mon premier séminaire de doctorat, où mes camarades m'ont mis l'étiquette de psychothérapeute de seconde zone et où moi, pour me racheter, j'ai relégué les livres du Suisse dans les étagères réservées aux œuvres d’Osho et de Richard Bach (s'il y a bien une chose dont je suis fier, c'est de ne pas avoir un esprit puriste ; je laisse de tels snobismes aux pédés et aux écrivains).
Je ne nierais pas que mon avide curiosité envers les sciences humaines – préoccupation qui me titille depuis l'époque du lycée – m'a dans un premier temps prédisposé aux amourettes mystiques de Carl Gustav Jung, un sage oublié que je n'ai jamais cessé de vénérer, jusqu'à ce qu'on me refuse l'accès à mon premier séminaire de doctorat, où mes camarades m'ont mis l'étiquette de psychothérapeute de seconde zone et où moi, pour me racheter, j'ai relégué les livres du Suisse dans les étagères réservées aux œuvres d’Osho et de Richard Bach (s'il y a bien une chose dont je suis fier, c'est de ne pas avoir un esprit puriste ; je laisse de tels snobismes aux pédés et aux écrivains).
OK.
Céline ?
Je ne nierais pas que mon avide curiosité envers les sciences humaines – préoccupation qui me titille depuis l'époque du lycée – m'a dans un premier temps prédisposé aux amourettes mystiques de Carl Gustav Jung, un sage oublié que je n'ai jamais cessé de vénérer, jusqu'à ce qu'on me refuse l'accès à mon premier séminaire de doctorat, où mes camarades m'ont mis l'étiquette de psychothérapeute de seconde zone et où moi, pour me racheter, j'ai relégué les livres du Suisse dans les étagères réservées aux œuvres d’Osho et de Richard Bach (s'il y a bien une chose dont je suis fier, c'est de ne pas avoir un esprit puriste ; je laisse de tels snobismes aux pédés et aux écrivains).
OK.
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