Los monjes seguían rezando como de costumbre, con las manos metidas entre las bocamangas, las mentes ancladas en las letras menudas y las lenguas atadas a los cánticos dolorosos.
Traduction temporaire :
À leur habitude, les moines continuaient de prier. Les mains dans les manches, les esprits ancrés dans les lettres minuscules, et les langues soumises aux cantiques douloureux.
À leur habitude, les moines continuaient de prier. Les mains dans les manches, les esprits ancrés dans les lettres minuscules, et les langues soumises aux cantiques douloureux.
10 commentaires:
À leur habitude, les moines continuaient à prier ; les mains dans les manches, les lettres minuscules ancrées dans l'esprit, et les cantiques douloureux sur le bout de la langue.
À leur habitude, les moines continuaient à [« de » ?] prier ; [pourquoi ce point-virgule ?] les mains dans les manches, les lettres minuscules ancrées dans l'esprit [pourquoi tu changes ?], et les cantiques douloureux sur le bout de la langue [idem ?].
À leur habitude, les moines continuaient de prier. Les mains dans les manches, les esprits ancrés dans les lettres minuscules et les langues attachées aux cantiques douloureux.
À leur habitude, les moines continuaient de prier. Les mains dans les manches, les esprits ancrés dans les lettres minuscules et les langues attachées [là, j'hésite…] aux cantiques douloureux.
Ton hésitation porte-t-elle sur le choix du verbe ou sur le fait de passer « les cantiques » en sujet ?
sur l'adjectif…
À leur habitude, les moines continuaient de prier. Les mains dans les manches, les esprits ancrés dans les lettres minuscules, et les langues liées aux cantiques douloureux.
À leur habitude, les moines continuaient de prier. Les mains dans les manches, les esprits ancrés dans les lettres minuscules, et les langues liées [regarde ce que dit l'unilingue à propos de « atado » / juste pour te donner des idées de synonymes] aux cantiques douloureux.
J'ai hésité entre « soumises », « astreintes » et « contraintes »…
À leur habitude, les moines continuaient de prier. Les mains dans les manches, les esprits ancrés dans les lettres minuscules, et les langues soumises aux cantiques douloureux.
À leur habitude, les moines continuaient de prier. Les mains dans les manches, les esprits ancrés dans les lettres minuscules, et les langues soumises aux cantiques douloureux.
OK.
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