Campo Ricardo Burgos López
(Colombie)
GABRIEL GARCIA MARQUEZ HABIA MUERTO
Gabriel García Márquez —por fin para algunos y por desdicha para otros— había muerto. Mientras en diversos lugares del mundo se efectuaban los predecibles homenajes al escritor, los periodistas escribían las obvias notas necrológicas, los académicos producían los vaticinables ensayos sobre la vida, obra y milagros del santo, los traficantes literarios saboreaban por anticipado el pronosticable efecto que la noticia tendría sobre las ventas de los libros, los profesores de diversos colegios y entes educativos obligaban a sus sufridos alumnos a escribir el típico texto respecto del prohombre fallecido, y los familiares del escritor también de modo predecible empezaban a saquear sin compasión las pertenencias del occiso a la búsqueda de algún manuscrito olvidado que al publicarse les mejorara el saldo bancario, la situación del mismo Garcia Márquez era bien diferente.
Traduction en cours d'élaboration dans les commentaires
Campo Ricardo Burgos López
(Colombie)
« Gabriel García Marquez était mort »
Gabriel García Márquez était mort – enfin, pour les uns, malheureusement, pour les autres. Tandis qu'en plusieurs endroits du monde, on rendait les prévisibles hommages à l'écrivain, que les journalistes rédigeaient les non moins prévisibles notices nécrologiques, que les universitaires produisaient les tout aussi prévisibles essais sur la vie, l'œuvre et les miracles du Saint, que les trafiquants de la littérature savouraient à l'avance l'effet attendu de la nouvelle sur les ventes de ses livres, que les professeurs de diverses écoles et autres organismes éducatifs obligeaient leurs élèves résignés à écrire l'incontournable texte sur l'illustre homme décédé, et que, de manière encore moins surprenante, les membres de la famille de l'écrivain se livraient sans la moindre compassion à la mise à sac des biens du défunt, en quête de quelque manuscrit oublié, qui, une fois publié, augmenterait leur solde bancaire, la situation dudit García Márquez était bien différente.
20 commentaires:
GABRIEL GARCÍA MÁRQUEZ ÉTAIT MORT
Gabriel García Márquez – enfin pour les uns et malheureusement pour les autres – était mort. Tandis qu'en de multiples endroits du monde, on rendait les prévisibles hommages à l'écrivain, que les journalistes rédigeaient les évidentes notices nécrologiques, que les universitaires produisaient les attendus essais sur la vie, l'œuvre et les miracles du Saint, que les trafiquants littéraires savouraient d'avance le pronosticable effet de la nouvelle sur les ventes des livres, que les professeurs de diverses écoles et autres organismes éducatifs obligeaient leurs élèves résignés à écrire le texte typique sur l'illustre homme décédé, et que les membres de la famille de l'écrivain, de manière tout aussi prévisible, commençaient à mettre à sac sans compassion les biens du défunt en quête de quelque manuscrit oublié qui, une fois publié, améliorerait leur solde bancaire, la situation dudit García Márquez était bien différente.
Mets le nom de l'auteur + pays.
+ titre en minuscules + guillemets français.
Gabriel García Márquez – enfin pour les uns et malheureusement pour les autres – était mort [est-ce qu'on ne mettrait pas l'entre-tirets à la fin ? + ponctuation à l'intérieur].
Campo Ricardo Burgos López
(Colombie)
« Gabriel García Marquez était mort »
Gabriel García Márquez – enfin pour les uns et malheureusement pour les autres – était mort [est-ce qu'on ne mettrait pas l'entre-tirets à la fin ? est-ce que ça ne casserait pas l'effet de chute de la VO ?].
Campo Ricardo Burgos López
(Colombie)
« Gabriel García Marquez était mort »
Gabriel García Márquez – enfin [virgule ?] pour les uns et [virgule à la place ?] malheureusement [virgule ?] ESSAIE AVEC CE SYSTÈME ET DIS-MOI pour les autres – était mort.
Campo Ricardo Burgos López
(Colombie)
« Gabriel García Marquez était mort »
Gabriel García Márquez était mort – enfin, pour les uns, malheureusement, pour les autres.
Je garderais l'ordre de la VO, la virgule à la place du "et", et j'enlèverais les autres virgules, qu'en penses-tu ?
Campo Ricardo Burgos López
(Colombie)
« Gabriel García Marquez était mort »
Gabriel García Márquez était mort – enfin, pour les uns, malheureusement, pour les autres.
OK.
Comme le passage est long, je colle à mesure qu'on valide.
Tandis qu'en de multiples [pas ce que dit la V.O.] endroits du monde, on rendait les prévisibles hommages à l'écrivain, que les journalistes rédigeaient les évidentes [ou « non moins prévisibles » ?] notices nécrologiques, que les universitaires produisaient les attendus [idem] essais sur la vie, l'œuvre et les miracles du Saint,
Je crois que l'effet d'humour est plus fort avec la reprise qu'avec la recherche de synonymes…
Oui, Ok pour la reprise, c'est effectivement mieux !
Pour "multiples", c'est parce que "diversos" est répété en VO, j'ai mis "diverses" pour "écoles" juste en dessous :
Tandis qu'en de multiples [pas ce que dit la V.O. / cf mon explication] endroits du monde, on rendait les prévisibles hommages à l'écrivain, que les journalistes rédigeaient les non moins prévisibles notices nécrologiques, que les universitaires produisaient les non moins prévisibles essais sur la vie, l'œuvre et les miracles du Saint,
Tandis qu'en de multiples [pas ce que dit la V.O. / cf mon explication // dans ce cas, il vaut sans doute mieux « plusieurs »… car « multiples » change quand même beaucoup le sens] endroits du monde, on rendait les prévisibles hommages à l'écrivain, que les journalistes rédigeaient les non moins prévisibles notices nécrologiques, que les universitaires produisaient les non moins prévisibles essais sur la vie, l'œuvre et les miracles du Saint,
Tandis qu'en plusieurs endroits du monde, on rendait les prévisibles hommages à l'écrivain, que les journalistes rédigeaient les non moins prévisibles notices nécrologiques, que les universitaires produisaient les non moins prévisibles essais sur la vie, l'œuvre et les miracles du Saint,
Tandis qu'en plusieurs endroits du monde, on rendait les prévisibles hommages à l'écrivain, que les journalistes rédigeaient les non moins prévisibles notices nécrologiques, que les universitaires produisaient les non moins prévisibles essais sur la vie, l'œuvre et les miracles du Saint,
Tandis qu'en plusieurs endroits du monde, on rendait les prévisibles hommages à l'écrivain, que les journalistes rédigeaient les non moins prévisibles notices nécrologiques, que les universitaires produisaient les non moins prévisibles essais sur la vie, l'œuvre et les miracles du Saint,
OK…
Remets le titre, etc. + colle la suite.
Campo Ricardo Burgos López
(Colombie)
« Gabriel García Marquez était mort »
Gabriel García Márquez était mort – enfin, pour les uns, malheureusement, pour les autres.Tandis qu'en plusieurs endroits du monde, on rendait les prévisibles hommages à l'écrivain, que les journalistes rédigeaient les non moins prévisibles notices nécrologiques, que les universitaires produisaient les non moins prévisibles essais sur la vie, l'œuvre et les miracles du Saint, que les trafiquants littéraires savouraient d'avance le pronosticable effet de la nouvelle sur les ventes des livres, que les professeurs de diverses écoles et autres organismes éducatifs obligeaient leurs élèves résignés à écrire le texte typique sur l'illustre homme décédé, et que les membres de la famille de l'écrivain, de manière tout aussi prévisible, commençaient à mettre à sac sans compassion les biens du défunt en quête de quelque manuscrit oublié qui, une fois publié, améliorerait leur solde bancaire, la situation dudit García Márquez était bien différente.
Campo Ricardo Burgos López
(Colombie)
« Gabriel García Marquez était mort »
Gabriel García Márquez était mort – enfin, pour les uns, malheureusement, pour les autres.Tandis qu'en plusieurs endroits du monde, on rendait les prévisibles hommages à l'écrivain, que les journalistes rédigeaient les non moins prévisibles notices nécrologiques, que les universitaires produisaient les non moins prévisibles essais sur la vie, l'œuvre et les miracles du Saint, que les trafiquants littéraires [ou « de la littérature » ?] savouraient d'[ou « à l'»] avance le pronosticable [ça existe + orthographe ?] effet de la nouvelle sur les ventes des livres, que les professeurs de diverses écoles et autres organismes éducatifs obligeaient leurs élèves résignés à écrire le texte typique [naturel ?] sur l'illustre homme décédé, et que les membres de la famille de l'écrivain, de manière tout aussi prévisible [placé juste avant ? Essaie et dis-moi…], commençaient à mettre à sac sans compassion les biens du défunt [syntaxe ?] [virgule] en quête de quelque manuscrit oublié [virgule] qui, une fois publié, améliorerait leur solde bancaire [on dit comme ça ?], la situation dudit García Márquez était bien différente.
Campo Ricardo Burgos López
(Colombie)
« Gabriel García Marquez était mort »
Gabriel García Márquez était mort – enfin, pour les uns, malheureusement, pour les autres.Tandis qu'en plusieurs endroits du monde, on rendait les prévisibles hommages à l'écrivain, que les journalistes rédigeaient les non moins prévisibles notices nécrologiques, que les universitaires produisaient les non moins prévisibles essais sur la vie, l'œuvre et les miracles du Saint, que les trafiquants de la littérature savouraient à l'avance l'effet prévisible de la nouvelle sur les ventes des livres, que les professeurs de diverses écoles et autres organismes éducatifs obligeaient leurs élèves résignés à écrire le texte typique [naturel ? / non, je ne suis pas bien sûre de ce qu'il veut dire ici, qu'est-ce que tu comprends toi?] sur l'illustre homme décédé, et que, de manière tout aussi prévisible, les membres de la famille de l'écrivain commençaient à mettre à sac sans compassion les biens du défunt en quête de quelque manuscrit oublié, qui, une fois publié, augmenterait leur solde bancaire, la situation dudit García Márquez était bien différente.
Campo Ricardo Burgos López
(Colombie)
« Gabriel García Marquez était mort »
Gabriel García Márquez était mort – enfin, pour les uns, malheureusement, pour les autres. Tandis qu'en plusieurs endroits du monde, on rendait les prévisibles hommages à l'écrivain, que les journalistes rédigeaient les non moins prévisibles notices nécrologiques, que les universitaires produisaient les non moins prévisibles essais sur la vie, l'œuvre et les miracles du Saint, que les trafiquants de la littérature savouraient à l'avance l'effet prévisible de la nouvelle sur les ventes des livres [« de ses » ?], que les professeurs de diverses écoles et autres organismes éducatifs obligeaient leurs élèves résignés à écrire le texte typique [naturel ? / non, je ne suis pas bien sûre de ce qu'il veut dire ici, qu'est-ce que tu comprends toi? le sens est bon… c'est juste la formulation ; quelque chose d'un poil plus ironique ?] sur l'illustre homme décédé, et que, de manière tout aussi prévisible, les membres de la famille de l'écrivain commençaient à mettre à sac sans compassion [place dans la phrase ?] les biens du défunt [virgule / globalement, cette partie est mal ponctuée] en quête de quelque manuscrit oublié, qui, une fois publié, augmenterait leur solde bancaire, la situation dudit García Márquez était bien différente.
Campo Ricardo Burgos López
(Colombie)
« Gabriel García Marquez était mort »
Gabriel García Márquez était mort – enfin, pour les uns, malheureusement, pour les autres. Tandis qu'en plusieurs endroits du monde, on rendait les prévisibles hommages à l'écrivain, que les journalistes rédigeaient les non moins prévisibles notices nécrologiques, que les universitaires produisaient les non moins prévisibles essais sur la vie, l'œuvre et les miracles du Saint, que les trafiquants de la littérature savouraient à l'avance l'effet prévisible de la nouvelle sur les ventes de ses livres, que les professeurs de diverses écoles et autres organismes éducatifs obligeaient leurs élèves résignés à écrire le texte symptomatique sur l'illustre homme décédé, et que, de manière tout aussi prévisible, les membres de la famille de l'écrivain commençaient à mettre à sac les biens du défunt sans compassion, en quête de quelque manuscrit oublié, qui, une fois publié, augmenterait leur solde bancaire, la situation dudit García Márquez était bien différente.
Avec quelques modifs ici ou là maintenant que la phrase est compacte. Dis-moi…
Campo Ricardo Burgos López
(Colombie)
« Gabriel García Marquez était mort »
Gabriel García Márquez était mort – enfin, pour les uns, malheureusement, pour les autres. Tandis qu'en plusieurs endroits du monde, on rendait les prévisibles hommages à l'écrivain, que les journalistes rédigeaient les non moins prévisibles notices nécrologiques, que les universitaires produisaient les tout aussi prévisibles essais sur la vie, l'œuvre et les miracles du Saint, que les trafiquants de la littérature savouraient à l'avance l'effet attendu de la nouvelle sur les ventes de ses livres, que les professeurs de diverses écoles et autres organismes éducatifs obligeaient leurs élèves résignés à écrire l'incontournable texte sur l'illustre homme décédé, et que, de manière encore moins surprenante, les membres de la famille de l'écrivain se livraient sans la moindre compassion à la mise à sac des biens du défunt, en quête de quelque manuscrit oublié, qui, une fois publié, augmenterait leur solde bancaire, la situation dudit García Márquez était bien différente.
Ok !!!
Enregistrer un commentaire