Madame Quiñónez siempre se los encontraba cuando regresaba de la parroquia y entonces perdía esa aureola bienaventurada que había adquirido después de comulgar. Ellas nunca iban a misa y por eso también tenía que rezar por sus pecados.
Traduction temporaire :
Madame Quiñónez les rencontrait toujours lorsqu'elle revenait de la paroisse et perdait alors cette sainte auréole qu'elle avait acquise après avoir communié. Elles, elles ne se rendaient jamais à la messe et c'est aussi pour cela qu'elle devait prier pour leurs péchés.
Madame Quiñónez les rencontrait toujours lorsqu'elle revenait de la paroisse et perdait alors cette sainte auréole qu'elle avait acquise après avoir communié. Elles, elles ne se rendaient jamais à la messe et c'est aussi pour cela qu'elle devait prier pour leurs péchés.
8 commentaires:
Madame Quiñónez les rencontrait toujours lorsqu'elle revenait de la paroisse et alors elle perdait cette auréole bienheureuse qu'elle avait acquise après avoir communié.
Elles, elles ne se rendaient jamais à la messe et c'est aussi pour cela qu'elle devait prier pour leurs péchés.
Madame Quiñónez les rencontrait toujours lorsqu'elle revenait de la paroisse et alors elle [« alors elle » ; nécessaire ? Je te laisse regarder…] perdait cette auréole bienheureuse [j'hésite… Naturel en français ? Je ne dis pas que ça ne va pas…] qu'elle avait acquise après avoir communié.
Elles, elles ne se rendaient jamais à la messe et c'est aussi pour cela qu'elle devait prier pour leurs péchés.
Madame Quiñónez les rencontrait toujours lorsqu'elle revenait de la paroisse et perdait alors cette auréole béate qu'elle avait acquise après avoir communié.
Elles, elles ne se rendaient jamais à la messe et c'est aussi pour cela qu'elle devait prier pour leurs péchés.
Je ne suis pas pas sûre d'avoir correctement validé mon commentaire en début de semaine, alors, au cas où, je le reposte :)
Madame Quiñónez les rencontrait toujours lorsqu'elle revenait de la paroisse et perdait alors cette auréole béate [bizarre ce « auréole béate » ? Reviens à l'idée] qu'elle avait acquise après avoir communié.
Elles, elles ne se rendaient jamais à la messe et c'est aussi pour cela qu'elle devait prier pour leurs péchés.
Madame Quiñónez les rencontrait toujours lorsqu'elle revenait de la paroisse et perdait alors cette auréole du bonheur qu'elle avait acquise après avoir communié.
Elles, elles ne se rendaient jamais à la messe et c'est aussi pour cela qu'elle devait prier pour leurs péchés.
(J'ai aussi pensé à "cette auréole de la vertu" ou plus simplement "cette auréole lumineuse". Sinon, si on abandonne l'idée de conserver le terme auréole, on peut peut-être passer par quelque chose comme : "ce sentiment de félicité, de béatitude"
Regarde ce que tu trouves en le tapant avec des guillemets dans Google – dans quel contexte, pour dire quoi, avec quel ton, etc.
Madame Quiñónez les rencontrait toujours lorsqu'elle revenait de la paroisse et perdait alors cette sainte auréole qu'elle avait acquise après avoir communié.
Elles, elles ne se rendaient jamais à la messe et c'est aussi pour cela qu'elle devait prier pour leurs péchés.
Madame Quiñónez les rencontrait toujours lorsqu'elle revenait de la paroisse et perdait alors cette sainte auréole qu'elle avait acquise après avoir communié.
Elles, elles ne se rendaient jamais à la messe et c'est aussi pour cela qu'elle devait prier pour leurs péchés.
OK.
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