vendredi 16 octobre 2015

Projet Hadia / Kaina – phrases 39-42

Poderla tocar como allá lejos ella lo hizo con todas las páginas de mis historietas. Son demasiados los estímulos, infinidades de canales, ya no existe esa relación espiritual de antaño. Ahora el espacio-tiempo que ella me dedica todas las tardes frente al televisor, me lo disputan docenas de programas que ella puede recorrer fácilmente gracias a la facilidad del control remoto. ¡Una verdadera manía que oxida más y más ese engranaje psíquico y afectivo del hombre llamado necesidad de información!

Traduction temporaire :
Pouvoir la toucher comme elle l'avait fait, là-bas, au loin, avec toutes les pages de mes bandes dessinées. Les stimulants, infinités de chaînes, sont trop nombreux ; cette relation spirituelle d'autrefois n'existe plus. Désormais, l'espace-temps qu'elle me consacre tous les après-midi devant la télévision m'est disputé par des douzaines d'émissions qu'elle peut parcourir facilement grâce à l'usage de la télécommande. Une vrai manie que rouille de plus en plus cet engrenage psychique et affectif de l'homme appelé nécessité d'information !

10 commentaires:

Fanny JAY a dit…

Désolée, j'ai publié mon premier message sur le mauvais compte.

Pouvoir la toucher comme elle l'avait fait là-bas, au loin, avec toutes les pages de mes bandes dessinées. Les stimulants, infinités de canaux, sont trop nombreux ; cette relation spirituelle d'autrefois n'existe plus. Désormais, l'espace-temps qu'elle me dédie tous les après-midi face à la télévision m'est disputé par une douzaine de programmes qu'elle peut parcourir facilement grâce à l'aisance de la télécommande. Une vrai manie qu'oxyde de plus en plus cet engrenage psychique et affectif de l'homme appelé nécessité d'information !

Tradabordo a dit…

Pouvoir la toucher comme elle l'avait fait [virgule] là-bas, au loin, avec toutes les pages de mes bandes dessinées. Les stimulants, infinités de canaux, sont trop nombreux ; cette relation spirituelle d'autrefois n'existe plus. Désormais, l'espace-temps qu'elle me dédie [« consacre »] tous les après-midi face à [« devant » ?] la télévision m'est disputé par une douzaine [pluriel en V.O.] de programmes [mal dit ?] qu'elle peut parcourir facilement grâce à l'aisance [mal dit] de la télécommande. Une vrai manie qu'oxyde [« rouille »] de plus en plus cet engrenage psychique et affectif de l'homme appelé nécessité d'information !

Fanny JAY a dit…

Pouvoir la toucher comme elle l'avait fait, là-bas, au loin, avec toutes les pages de mes bandes dessinées. Les stimulants, infinités de canaux, sont trop nombreux ; cette relation spirituelle d'autrefois n'existe plus. Désormais, l'espace-temps qu'elle me consacre tous les après-midi devant la télévision m'est disputé par des douzaines de chaînes qu'elle peut parcourir facilement grâce à l'usage de la télécommande. Une vrai manie que rouille de plus en plus cet engrenage psychique et affectif de l'homme appelé nécessité d'information !

Tradabordo a dit…

Pouvoir la toucher comme elle l'avait fait, là-bas, au loin, avec toutes les pages de mes bandes dessinées. Les stimulants, infinités de canaux, sont trop nombreux ; cette relation spirituelle d'autrefois n'existe plus. Désormais, l'espace-temps qu'elle me consacre tous les après-midi devant la télévision m'est disputé par des douzaines de chaînes [ou « émissions » ?] qu'elle peut parcourir [du coup, je me demande si le verbe est adapté ; j'hésite] facilement grâce à l'usage de la télécommande. Une vrai manie que rouille de plus en plus cet engrenage psychique et affectif de l'homme appelé nécessité d'information !

Fanny JAY a dit…

Pouvoir la toucher comme elle l'avait fait, là-bas, au loin, avec toutes les pages de mes bandes dessinées. Les stimulants, infinités de canaux, sont trop nombreux ; cette relation spirituelle d'autrefois n'existe plus. Désormais, l'espace-temps qu'elle me consacre tous les après-midi devant la télévision m'est disputé par des douzaines d'émissions qu'elle peut survoler facilement grâce à l'usage de la télécommande. Une vrai manie que rouille de plus en plus cet engrenage psychique et affectif de l'homme appelé nécessité d'information !

Tradabordo a dit…

Pouvoir la toucher comme elle l'avait fait, là-bas, au loin, avec toutes les pages de mes bandes dessinées. Les stimulants, infinités de canaux, sont trop nombreux ; cette relation spirituelle d'autrefois n'existe plus. Désormais, l'espace-temps qu'elle me consacre tous les après-midi devant la télévision m'est disputé par des douzaines d'émissions qu'elle peut survoler [j'hésite ; je demande son avis à Elena] facilement grâce à l'usage de la télécommande. Une vrai manie que rouille de plus en plus cet engrenage psychique et affectif de l'homme appelé nécessité d'information !

Elena a dit…

Pouvoir la toucher comme elle l'avait fait, là-bas, au loin, avec toutes les pages de mes bandes dessinées. Les stimulants, infinités de canaux ["chaînes" ?], sont trop nombreux ; cette relation spirituelle d'autrefois n'existe plus. Désormais, l'espace-temps qu'elle me consacre tous les après-midi devant la télévision m'est disputé par des douzaines d'émissions qu'elle peut survoler [j'hésite ; je demande son avis à Elena // Je pense que c'est plutôt dans le sens de "parcourir"] facilement grâce à l'usage de la télécommande. Une vrai manie que rouille de plus en plus cet engrenage psychique et affectif de l'homme appelé nécessité d'information !

Tradabordo a dit…

Merci, Elena. Fanny, à toi de jouer.

Fanny JAY a dit…

Pouvoir la toucher comme elle l'avait fait, là-bas, au loin, avec toutes les pages de mes bandes dessinées. Les stimulants, infinités de chaînes, sont trop nombreux ; cette relation spirituelle d'autrefois n'existe plus. Désormais, l'espace-temps qu'elle me consacre tous les après-midi devant la télévision m'est disputé par des douzaines d'émissions qu'elle peut parcourir facilement grâce à l'usage de la télécommande. Une vrai manie que rouille de plus en plus cet engrenage psychique et affectif de l'homme appelé nécessité d'information !

Tradabordo a dit…

Ne pas oublier de remercier, Elena… l'aimable Elena qui prend sur son temps pour nous aider.

Pouvoir la toucher comme elle l'avait fait, là-bas, au loin, avec toutes les pages de mes bandes dessinées. Les stimulants, infinités de chaînes, sont trop nombreux ; cette relation spirituelle d'autrefois n'existe plus. Désormais, l'espace-temps qu'elle me consacre tous les après-midi devant la télévision m'est disputé par des douzaines d'émissions qu'elle peut parcourir facilement grâce à l'usage de la télécommande. Une vrai manie que rouille de plus en plus cet engrenage psychique et affectif de l'homme appelé nécessité d'information !

OK.