mercredi 4 novembre 2015

Projet Nadia / Élise / Justine – phrases 302-307

A eso de las nueve y media regresé a mi casa. Mi primo Mario, que se alojaba con nosotros —ocupando la parte de abajo de mi cama camarote—, hizo lo mismo. Se nos caían los ojos de cansancio. Saludamos a mis padres, tomamos unas frutas del refrigerador y, sin más preámbulos, nos despedimos. A las diez, me dormí. A las once y cincuenta minutos —miré el reloj despertador— una batahola de gritos y sirenas ululantes nos despertó con un sobresalto semejante al que suscitan los terremotos.

Traduction temporaire :
Je rentrai à la maison vers vingt-et une heures trente. Idem pour mon cousin Mario, qui logeait chez nous – sur la couchette inférieure de mon lit superposé. Nous tombions de fatigue. Nous dîmes bonsoir à mes parents, prîmes quelques fruits dans le frigo, et sans plus de préambule, nous leur souhaitâmes une bonne nuit. À vingt-deux heures, je m'endormis. À vingt-trois heures cinquante – j'ai regardé mon réveil – un vacarme mêlant cris et sirènes hurlantes nous réveilla en sursaut, comme s'il y avait eu un tremblement de terre.

5 commentaires:

Justine a dit…

J'ai fait un ajout car « nos yeux tombaient de fatigue » ne me paraît pas naturel en français.

Je rentrai à la maison vers vingt-et une heures trente. Idem pour mon cousin Mario qui logeait chez nous – dans le lit du bas de mon lit superposé. Nous tombions de fatigue, avions les yeux qui piquent. Nous dîmes bonsoir à mes parents, prîmes quelques fruits dans le frigo, et sans autre préambule, nous leur souhaitâmes une bonne nuit. À vingt-deux heures, je m'endormis. À vingt-trois heures cinquante — j'ai regardé mon réveil – un vacarme mêlant cris et sirènes hurlantes nous réveilla en sursaut, comme s'il y avait eu un tremblement de terre.

Tradabordo a dit…

Je rentrai à la maison vers vingt-et une heures trente. Idem pour mon cousin Mario [virgule ?] qui logeait chez nous – [tiret moyen ? À harmoniser après…] dans le lit du bas [je ne crois pas qu'on dise comme ça ; vérifie…] de mon lit superposé. Nous tombions de fatigue, avions les yeux qui piquent [pas besoin]. Nous dîmes bonsoir à mes parents, prîmes quelques fruits dans le frigo, et sans autre [« plus de »] préambule, nous leur souhaitâmes une bonne nuit. À vingt-deux heures, je m'endormis. À vingt-trois heures cinquante — j'ai regardé mon réveil – un vacarme mêlant cris et sirènes hurlantes nous réveilla en sursaut, comme s'il y avait eu un tremblement de terre.

Justine a dit…

Je rentrai à la maison vers vingt-et une heures trente. Idem pour mon cousin Mario, qui logeait chez nous – sur la couchette du bas de mon lit superposé. Nous tombions de fatigue. Nous dîmes bonsoir à mes parents, prîmes quelques fruits dans le frigo, et sans plus de préambule, nous leur souhaitâmes une bonne nuit. À vingt-deux heures, je m'endormis. À vingt-trois heures cinquante – j'ai regardé mon réveil – un vacarme mêlant cris et sirènes hurlantes nous réveilla en sursaut, comme s'il y avait eu un tremblement de terre.

Justine a dit…

Je rentrai à la maison vers vingt-et une heures trente. Idem pour mon cousin Mario, qui logeait chez nous – sur la couchette inférieure de mon lit superposé. Nous tombions de fatigue. Nous dîmes bonsoir à mes parents, prîmes quelques fruits dans le frigo, et sans plus de préambule, nous leur souhaitâmes une bonne nuit. À vingt-deux heures, je m'endormis. À vingt-trois heures cinquante – j'ai regardé mon réveil – un vacarme mêlant cris et sirènes hurlantes nous réveilla en sursaut, comme s'il y avait eu un tremblement de terre.

Tradabordo a dit…

A eso de las nueve y media regresé a mi casa. Mi primo Mario, que se alojaba con nosotros —ocupando la parte de abajo de mi cama camarote—, hizo lo mismo. Se nos caían los ojos de cansancio. Saludamos a mis padres, tomamos unas frutas del refrigerador y, sin más preámbulos, nos despedimos. A las diez, me dormí. A las once y cincuenta minutos —miré el reloj despertador— una batahola de gritos y sirenas ululantes nos despertó con un sobresalto semejante al que suscitan los terremotos.

Je rentrai à la maison vers vingt-et une heures trente. Idem pour mon cousin Mario, qui logeait chez nous – sur la couchette inférieure de mon lit superposé. Nous tombions de fatigue. Nous dîmes bonsoir à mes parents, prîmes quelques fruits dans le frigo, et sans plus de préambule, nous leur souhaitâmes une bonne nuit. À vingt-deux heures, je m'endormis. À vingt-trois heures cinquante – j'ai regardé mon réveil – un vacarme mêlant cris et sirènes hurlantes nous réveilla en sursaut, comme s'il y avait eu un tremblement de terre.

OK.