mercredi 18 novembre 2015

Projet Agathe 6 – phrases 21-22


Estoy segura –casi sonrió pero sus labios solo lograron desfigurarse en una mueca triste y dijo- me dejé llevar de la mano por el muchacho y enseguida fuimos a dar a la habitación donde había despertado. Mientras me duchaba los recuerdos seguían llegando a mí como luces intermitentes, su cuerpo desnudo, la piel suave, los músculos recios, el pene que una y otra vez me asaltó para hacerme gozar como hacía mucho no gozaba, todo fue una gran locura, una de las mejores de mi vida, o al menos eso fue lo que creí.

Traduction temporaire :
J'en suis sûre – elle a presque souri, mais ses lèvres n'ont pu guère se déformer qu'en une triste grimace, et elle a dit : je me suis laissée conduire par le garçon et nous sommes tout de suite arrivés dans la chambre où je m'étais réveillée. Tandis que je me douchais, les souvenirs ne cessaient d'affluer vers moi, comme des lumières clignotantes : son corps nu, sa peau douce, ses muscles robustes, son pénis, qui m'a assaillie à plusieurs reprises pour me faire jouir, comme je ne l'avais pas fait depuis longtemps. Quelle folie douce, l'une des meilleures de ma vie, ou du moins, c'est ce que j'ai cru.

6 commentaires:

Unknown a dit…

J'en suis sûre – elle a presque souri, mais ses lèvres ont seulement réussi à se déformer en une triste grimace, et elle a dit – je me suis laissée prendre la main par le garçon et nous sommes tout de suite arrivés dans la chambre où je m'étais réveillée. Tandis que je me douchais, les souvenirs ne cessaient de venir à moi comme des lumières clignotantes : son corps nu, sa peau douce, ses muscles robustes, son pénis, qui à plusieurs reprises m'a assailli pour me faire jouir, comme je ne l'avais pas fait depuis longtemps. Cela a été une grande folie, une des meilleures de ma vie, ou du moins, c'est ce que j'ai cru.

Tradabordo a dit…

J'en suis sûre – elle a presque souri, mais ses lèvres ont seulement réussi à se [pas très fluide ; avec « guère » ?] déformer en une triste grimace, et elle a dit – [deux points] je me suis laissée prendre [FS ?] la main par le garçon et nous sommes tout de suite arrivés dans la chambre où je m'étais réveillée. Tandis que je me douchais, les souvenirs ne cessaient de venir à moi [virgule ?] comme des lumières clignotantes : son corps nu, sa peau douce, ses muscles robustes, son pénis, qui à plusieurs reprises [placé après ?] m'a assailli [grammaire ?] pour me faire jouir, comme je ne l'avais pas fait depuis longtemps. Cela a été une grande folie [on le dirait ?], une des meilleures de ma vie, ou du moins, c'est ce que j'ai cru.

Unknown a dit…

J'en suis sûre – elle a presque souri, mais ses lèvres n'ont pu guère se déformer qu'en une triste grimace, et elle a dit : je me suis laissée conduire par le garçon et nous sommes tout de suite arrivés dans la chambre où je m'étais réveillée. Tandis que je me douchais, les souvenirs ne cessaient de venir à moi, comme des lumières clignotantes : son corps nu, sa peau douce, ses muscles robustes, son pénis, qui m'a assaillie à plusieurs reprises pour me faire jouir, comme je ne l'avais pas fait depuis longtemps. Quelle folie douce, l'une des meilleures de ma vie, ou du moins, c'est ce que j'ai cru.

Tradabordo a dit…

J'en suis sûre – elle a presque souri, mais ses lèvres n'ont pu guère se déformer qu'en une triste grimace, et elle a dit : je me suis laissée conduire par le garçon et nous sommes tout de suite arrivés dans la chambre où je m'étais réveillée. Tandis que je me douchais, les souvenirs ne cessaient de venir à [« d'affluer vers » ?] moi, comme des lumières clignotantes : son corps nu, sa peau douce, ses muscles robustes, son pénis, qui m'a assaillie à plusieurs reprises pour me faire jouir, comme je ne l'avais pas fait depuis longtemps. Quelle folie douce, l'une des meilleures de ma vie, ou du moins, c'est ce que j'ai cru.

Unknown a dit…

J'en suis sûre – elle a presque souri, mais ses lèvres n'ont pu guère se déformer qu'en une triste grimace, et elle a dit : je me suis laissée conduire par le garçon et nous sommes tout de suite arrivés dans la chambre où je m'étais réveillée. Tandis que je me douchais, les souvenirs ne cessaient d'affluer vers moi, comme des lumières clignotantes : son corps nu, sa peau douce, ses muscles robustes, son pénis, qui m'a assaillie à plusieurs reprises pour me faire jouir, comme je ne l'avais pas fait depuis longtemps. Quelle folie douce, l'une des meilleures de ma vie, ou du moins, c'est ce que j'ai cru.

Tradabordo a dit…

J'en suis sûre – elle a presque souri, mais ses lèvres n'ont pu guère se déformer qu'en une triste grimace, et elle a dit : je me suis laissée conduire par le garçon et nous sommes tout de suite arrivés dans la chambre où je m'étais réveillée. Tandis que je me douchais, les souvenirs ne cessaient d'affluer vers moi, comme des lumières clignotantes : son corps nu, sa peau douce, ses muscles robustes, son pénis, qui m'a assaillie à plusieurs reprises pour me faire jouir, comme je ne l'avais pas fait depuis longtemps. Quelle folie douce, l'une des meilleures de ma vie, ou du moins, c'est ce que j'ai cru.

OK.