mercredi 3 août 2016

Projet Justine / Marion – phrases 297-305

Puedo pasar por debajo de la plataforma, pensó Verónica, y se agachó. No había nadie ahí abajo, ella era ágil y delgada, no había mucho espacio pero podía agacharse. Pasó por debajo del escenario caminando en cuclillas como un cangrejo. Del otro lado quedó atrapada entre la gente que lloraba y cantaba; desde ahí no podía ver a la vieja verde en el agua, apenas oler su podredumbre. Un nuevo empujón le dejó un insólito vacío y se arrojó hacia ese espacio entre dos mujeres que babeaban. Pero no pudo moverse. Algo la estaba sujetando de los tobillos. Miró el suelo y vio dos manos azules que le rodeaban los pantalones, justo encima de los pies. No se atrevió a luchar contra las manos, intentar deshacerse del abrazo. Eran manos de uñas finas, eran dedos azules que ella conocía muy bien.

Traduction temporaire :
Je pourrais me faufiler sous la plateforme, réfléchit Verónica avant de se pencher. Personne en dessous. Elle était agile et mince. Il n’y avait pas beaucoup d’espace, mais elle pouvait se baisser. Accroupie, elle se glissa sous l’estrade, marchant en crabe. Une fois de l’autre côté, elle se retrouva happée parmi les gens qui pleuraient et chantaient ; de là, elle ne distinguait pas la vieille dame verte dans l’eau, elle sentait à peine l’odeur de pourriture qu’elle exhalait. Une nouvelle bousculade la précipita dans un vide inattendu et elle en profita pour se jeter entre deux femmes qui bavaient. Là, elle fut incapable de bouger. Quelque chose la tenait par les chevilles. Regardant par terre, elle vit deux mains bleues autour de son pantalon, juste au-dessus de ses pieds. Elle n’osa pas lutter contre ces mains, chercher à se libérer de cette étreinte. Des mains aux ongles fins, des doigts bleus qu’elle connaissait très bien.

9 commentaires:

Justine a dit…

Je pourrais me faufiler sous la plateforme, réfléchit Verónica avant de se baisser. Personne en dessous, elle était agile et mince, il n’y avait pas beaucoup d’espace, mais elle pouvait se courber. Elle se glissa sous l’estrade en se déplaçant accroupie, tel un crabe. De l’autre côté, elle se retrouva happée parmi les gens qui pleuraient et chantaient ; de là, elle ne distinguait pas la vieille dame verte dans l’eau, elle sentait à peine l’odeur de pourriture qu’elle exhalait. Une nouvelle bousculade lui laissa un vide insolite dans lequel elle se jeta, entre deux femmes qui bavaient. Là, elle fut incapable de bouger. Quelque chose la tenait par les chevilles. Regardant par terre, elle vit deux mains bleues autour de son pantalon, juste au-dessus de ses pieds. Elle n’osa pas lutter contre ces mains, chercher à se libérer de cette étreinte. Des mains aux ongles fins, des doigts bleus qu’elle connaissait très bien.

Tradabordo a dit…

Je pourrais me faufiler sous la plateforme, réfléchit Verónica avant de se baisser. Personne en dessous, [point ?] elle était agile et mince, il n’y avait pas beaucoup d’espace, mais elle pouvait se courber [bof]. Elle se glissa sous l’estrade en se déplaçant accroupie, tel un crabe [la fin n'est pas géniale]. [cheville : « Une fois » ? Je te laisse réfléchir…]De l’autre côté, elle se retrouva happée parmi les gens qui pleuraient et chantaient ; de là, elle ne distinguait pas la vieille dame verte dans l’eau, elle sentait à peine l’odeur de pourriture qu’elle exhalait. Une nouvelle bousculade lui laissa un vide insolite [naturel ?] dans lequel elle se jeta, entre deux femmes qui bavaient. Là, elle fut incapable de bouger. Quelque chose la tenait par les chevilles. Regardant par terre, elle vit deux mains bleues autour de son pantalon, juste au-dessus de ses pieds. Elle n’osa pas lutter contre ces mains, chercher à se libérer de cette étreinte. Des mains aux ongles fins, des doigts bleus qu’elle connaissait très bien.

Justine a dit…

Je pourrais me faufiler sous la plateforme, réfléchit Verónica avant de se pencher. Personne en dessous. Elle était agile et mince, il n’y avait pas beaucoup d’espace, mais elle pouvait se baisser. Accroupie, elle se glissa sous l’estrade, marchant en crabe. Une fois de l’autre côté, elle se retrouva happée parmi les gens qui pleuraient et chantaient ; de là, elle ne distinguait pas la vieille dame verte dans l’eau, elle sentait à peine l’odeur de pourriture qu’elle exhalait. Une nouvelle bousculade créa un vide inhabituel dans lequel elle se jeta, entre deux femmes qui bavaient. Là, elle fut incapable de bouger. Quelque chose la tenait par les chevilles. Regardant par terre, elle vit deux mains bleues autour de son pantalon, juste au-dessus de ses pieds. Elle n’osa pas lutter contre ces mains, chercher à se libérer de cette étreinte. Des mains aux ongles fins, des doigts bleus qu’elle connaissait très bien.

Tradabordo a dit…

Je pourrais me faufiler sous la plateforme, réfléchit Verónica avant de se pencher. Personne en dessous. Elle était agile et mince. Il n’y avait pas beaucoup d’espace, mais elle pouvait se baisser. Accroupie, elle se glissa sous l’estrade, marchant en crabe. Une fois de l’autre côté, elle se retrouva happée parmi les gens qui pleuraient et chantaient ; de là, elle ne distinguait pas la vieille dame verte dans l’eau, elle sentait à peine l’odeur de pourriture qu’elle exhalait. Une nouvelle bousculade créa un vide inhabituel [pas l'idée, à mon avis…] dans lequel elle se jeta, entre deux femmes qui bavaient. Là, elle fut incapable de bouger. Quelque chose la tenait par les chevilles. Regardant par terre, elle vit deux mains bleues autour de son pantalon, juste au-dessus de ses pieds. Elle n’osa pas lutter contre ces mains, chercher à se libérer de cette étreinte. Des mains aux ongles fins, des doigts bleus qu’elle connaissait très bien.

Justine a dit…

Je pourrais me faufiler sous la plateforme, réfléchit Verónica avant de se pencher. Personne en dessous. Elle était agile et mince. Il n’y avait pas beaucoup d’espace, mais elle pouvait se baisser. Accroupie, elle se glissa sous l’estrade, marchant en crabe. Une fois de l’autre côté, elle se retrouva happée parmi les gens qui pleuraient et chantaient ; de là, elle ne distinguait pas la vieille dame verte dans l’eau, elle sentait à peine l’odeur de pourriture qu’elle exhalait. Une nouvelle bousculade la précipita dans un vide insolite et elle en profita pour se jeter entre deux femmes qui bavaient. Là, elle fut incapable de bouger. Quelque chose la tenait par les chevilles. Regardant par terre, elle vit deux mains bleues autour de son pantalon, juste au-dessus de ses pieds. Elle n’osa pas lutter contre ces mains, chercher à se libérer de cette étreinte. Des mains aux ongles fins, des doigts bleus qu’elle connaissait très bien.

Tradabordo a dit…

Je pourrais me faufiler sous la plateforme, réfléchit Verónica avant de se pencher. Personne en dessous. Elle était agile et mince. Il n’y avait pas beaucoup d’espace, mais elle pouvait se baisser. Accroupie, elle se glissa sous l’estrade, marchant en crabe. Une fois de l’autre côté, elle se retrouva happée parmi les gens qui pleuraient et chantaient ; de là, elle ne distinguait pas la vieille dame verte dans l’eau, elle sentait à peine l’odeur de pourriture qu’elle exhalait. Une nouvelle bousculade la précipita dans un vide insolite [« inattendu » ?] et elle en profita pour se jeter entre deux femmes qui bavaient. Là, elle fut incapable de bouger. Quelque chose la tenait par les chevilles. Regardant par terre, elle vit deux mains bleues autour de son pantalon, juste au-dessus de ses pieds. Elle n’osa pas lutter contre ces mains, chercher à se libérer de cette étreinte. Des mains aux ongles fins, des doigts bleus qu’elle connaissait très bien.

Justine a dit…

Je pourrais me faufiler sous la plateforme, réfléchit Verónica avant de se pencher. Personne en dessous. Elle était agile et mince. Il n’y avait pas beaucoup d’espace, mais elle pouvait se baisser. Accroupie, elle se glissa sous l’estrade, marchant en crabe. Une fois de l’autre côté, elle se retrouva happée parmi les gens qui pleuraient et chantaient ; de là, elle ne distinguait pas la vieille dame verte dans l’eau, elle sentait à peine l’odeur de pourriture qu’elle exhalait. Une nouvelle bousculade la précipita dans un vide inattendu et elle en profita pour se jeter entre deux femmes qui bavaient. Là, elle fut incapable de bouger. Quelque chose la tenait par les chevilles. Regardant par terre, elle vit deux mains bleues autour de son pantalon, juste au-dessus de ses pieds. Elle n’osa pas lutter contre ces mains, chercher à se libérer de cette étreinte. Des mains aux ongles fins, des doigts bleus qu’elle connaissait très bien.

Tradabordo a dit…

Je pourrais me faufiler sous la plateforme, réfléchit Verónica avant de se pencher. Personne en dessous. Elle était agile et mince. Il n’y avait pas beaucoup d’espace, mais elle pouvait se baisser. Accroupie, elle se glissa sous l’estrade, marchant en crabe. Une fois de l’autre côté, elle se retrouva happée parmi les gens qui pleuraient et chantaient ; de là, elle ne distinguait pas la vieille dame verte dans l’eau, elle sentait à peine l’odeur de pourriture qu’elle exhalait. Une nouvelle bousculade la précipita dans un vide inattendu et elle en profita pour se jeter entre deux femmes qui bavaient. Là, elle fut incapable de bouger. Quelque chose la tenait par les chevilles. Regardant par terre, elle vit deux mains bleues autour de son pantalon, juste au-dessus de ses pieds. Elle n’osa pas lutter contre ces mains, chercher à se libérer de cette étreinte. Des mains aux ongles fins, des doigts bleus qu’elle connaissait très bien.

OK.

Tradabordo a dit…

Si je ne me trompe pas, ce texte est terminé, non ? Le cas échéant, tu sais ce que tu as à faire ;-)