vendredi 15 novembre 2013

Projet Delphine 4 – phrases 39

-No agradezcas mucho, ya era hora de conocer gente nueva, van más de ocho años y tres meses metido en este nicho, pero ahora acuéstate, mañana me contarás cómo has muerto.
-¿Muerto yo…? ¿Cómo? Todavía no he muerto…
- Es difícil aceptarlo pero ya habrá tiempo para hablar de eso, por ahora descansa, se te ve fatigado y sangras por todas partes.

Traduction temporaire :
– Ne me remercie pas trop. Il était temps que je rencontre de nouvelles personnes. Cela fait plus de huit ans et trois mois que je suis cloîtré dans cette niche. Mais allonge-toi donc. Demain tu me raconteras comment tu es mort.
– Mort, moi ? Qu'est-ce que tu dis ? Je ne suis pas encore mort…
– C'est difficile à accepter, mais on aura le temps de parler de cela. Pour le moment, repose-toi, tu as l'air fatigué et tu saignes de partout.

10 commentaires:

Unknown a dit…

-No agradezcas mucho, ya era hora de conocer gente nueva, van más de ocho años y tres meses metido en este nicho, pero ahora acuéstate, mañana me contarás cómo has muerto.
-¿Muerto yo…? ¿Cómo? Todavía no he muerto…
- Es difícil aceptarlo pero ya habrá tiempo para hablar de eso, por ahora descansa, se te ve fatigado y sangras por todas partes.

- Ne me remercies pas autant. Il était temps de rencontrer de nouvelles personnes, cela fait plus de huit ans et trois mois que je suis dans cette niche. Mais allonge-toi, demain tu me raconteras comment tu es mort.
- Mort, moi ? Qu'est-ce que tu dis ? Je ne suis pas encore mort...
- C'est difficile à accepter mais on aura le temps de parler de cela. Pour le moment, repose-toi, tu as l'air fatigué et tu saignes de partout.

Tradabordo a dit…

Mets les tirets longs pour l'ouverture les dialogues. J'ai changé moi-même ceux de la première partie du dialogue ;-) À ton tour pour la 2e…

Unknown a dit…

– Ne me remercies pas autant. Il était temps de rencontrer de nouvelles personnes, cela fait plus de huit ans et trois mois que je suis dans cette niche. Mais allonge-toi, demain tu me raconteras comment tu es mort.
– Mort, moi ? Qu'est-ce que tu dis ? Je ne suis pas encore mort...
– C'est difficile à accepter mais on aura le temps de parler de cela. Pour le moment, repose-toi, tu as l'air fatigué et tu saignes de partout.

Tradabordo a dit…

– Ne me remercies [GRAMMAIRE !] pas autant [naturel ?]. Il était temps de rencontrer de nouvelles personnes, [point ?] cela fait plus de huit ans et trois mois que je suis [un petit ajout pour rendre « metido » ?] dans cette niche. Mais allonge-toi [cheville : « donc » ?], demain tu me raconteras comment tu es mort.
– Mort, moi ? Qu'est-ce que tu dis ? Je ne suis pas encore mort... [trouve le raccourci clavier pour les points de suspension]
– C'est difficile à accepter [virgule avant les « mais » en milieu de phrase] mais on aura le temps de parler de cela. Pour le moment, repose-toi, tu as l'air fatigué et tu saignes de partout.

Unknown a dit…

– Ne me remercie pas trop. Il était temps de rencontrer de nouvelles personnes. Cela fait plus de huit ans et trois mois que je suis cloîtré dans cette niche. Mais allonge-toi donc, demain tu me raconteras comment tu es mort.
– Mort, moi ? Qu'est-ce que tu dis ? Je ne suis pas encore mort…
– C'est difficile à accepter, mais on aura le temps de parler de cela. Pour le moment, repose-toi, tu as l'air fatigué et tu saignes de partout.

Tradabordo a dit…

– Ne me remercie pas trop. Il était temps de rencontrer [ou « que je » ?] de nouvelles personnes. Cela fait plus de huit ans et trois mois que je suis cloîtré dans cette niche. Mais allonge [ou avec « se coucher » ? J'hésite]-toi donc, [point ?] demain tu me raconteras comment tu es mort.
– Mort, moi ? Qu'est-ce que tu dis ? Je ne suis pas encore mort…
– C'est difficile à accepter, mais on aura le temps de parler de cela. Pour le moment, repose-toi, tu as l'air fatigué et tu saignes de partout.

Unknown a dit…

– Ne me remercie pas trop. Il était temps que je rencontre de nouvelles personnes. Cela fait plus de huit ans et trois mois que je suis cloîtré dans cette niche. Mais vas donc te coucher [perso, je préfère avec "s'allonger" car on imagine tout de même, avec la suite, qu'il lui dit de s'allonger dans le but de dormir... mais d'ailleurs, est-ce que les morts dorment ? :-S]. Demain tu me raconteras comment tu es mort.
– Mort, moi ? Qu'est-ce que tu dis ? Je ne suis pas encore mort…
– C'est difficile à accepter, mais on aura le temps de parler de cela. Pour le moment, repose-toi, tu as l'air fatigué et tu saignes de partout.

Tradabordo a dit…

Que penses-tu de cette solution ?

– Ne me remercie pas trop. Il était temps que je rencontre de nouvelles personnes. Cela fait plus de huit ans et trois mois que je suis cloîtré dans cette niche. Mais allonger-toi donc. Demain tu me raconteras comment tu es mort.
– Mort, moi ? Qu'est-ce que tu dis ? Je ne suis pas encore mort…
– C'est difficile à accepter, mais on aura le temps de parler de cela. Pour le moment, repose-toi, tu as l'air fatigué et tu saignes de partout.

Unknown a dit…

Oui, parfait. J'ai juste corrigé une petite coquille sur le "allonger-toi", bref. Donc, on revient au "allonge-toi donc" du début, c'est bien ça ? Moi, ça me va tout à fait.

– Ne me remercie pas trop. Il était temps que je rencontre de nouvelles personnes. Cela fait plus de huit ans et trois mois que je suis cloîtré dans cette niche. Mais allonge-toi donc. Demain tu me raconteras comment tu es mort.
– Mort, moi ? Qu'est-ce que tu dis ? Je ne suis pas encore mort…
– C'est difficile à accepter, mais on aura le temps de parler de cela. Pour le moment, repose-toi, tu as l'air fatigué et tu saignes de partout.

Tradabordo a dit…

Oui… J'ai tenu compte de ta préférence pour « allonger » ;-)