Ella se dejaba hacer de todo —dos de ellos, incluso, se vanagloriaron de haberle puesto los ojos en blanco durante la agonía de un orgasmo—, pero cuando buscaban su boca para besarla, referían invariablemente, la Zurda les plantaba las manos sobre el pecho, esquivándolos con nerviosos movimientos de cabeza.
Traduction temporaire :
Elle se laissait faire tout et n'importe quoi – deux d'entre eux se vantaient même d'avoir vu ses yeux se révulser pendant l'agonie d'un orgasme –, mais quand les garçons cherchaient sa bouche pour l'embrasser, tous rapportaient invariablement que la Gauchère plaquait ses mains sur leurs poitrines et esquivait en secouant nerveusement la tête.
Elle se laissait faire tout et n'importe quoi – deux d'entre eux se vantaient même d'avoir vu ses yeux se révulser pendant l'agonie d'un orgasme –, mais quand les garçons cherchaient sa bouche pour l'embrasser, tous rapportaient invariablement que la Gauchère plaquait ses mains sur leurs poitrines et esquivait en secouant nerveusement la tête.
10 commentaires:
Elle se laissait faire tout et n'importe quoi — deux d'entre eux se vantaient même d'avoir vu ses yeux se révulser pendant l'agonie d'un orgasme —, mais quand ils cherchaient sa bouche pour l'embrasser, tous rapportaient invariablement que la Gauchère plaquait ses mains sur leurs poitrines et les esquivait en bougeant nerveusement la tête.
Attention, ce sont les tirets moyens qu'il faut ici, pas les longs.
Elle se laissait faire tout et n'importe quoi – deux d'entre eux se vantaient même d'avoir vu ses yeux se révulser pendant l'agonie d'un orgasme –, mais quand ils cherchaient sa bouche pour l'embrasser, tous rapportaient invariablement que la Gauchère plaquait ses mains sur leurs poitrines et les [nécessaire ?] esquivait en bougeant nerveusement la tête.
Elle se laissait faire tout et n'importe quoi – deux d'entre eux se vantaient même d'avoir vu ses yeux se révulser pendant l'agonie d'un orgasme –, mais quand ils cherchaient sa bouche pour l'embrasser, tous rapportaient invariablement que la Gauchère plaquait ses mains sur leurs poitrines et esquivait en bougeant nerveusement la tête.
Oui avec cette police, j'ai du mal à les différencier parfois...
Nous aurais-tu oubliées ? ;)
Manifestement… Mais n'en déduis rien ;-))))
Elle se laissait faire tout et n'importe quoi – deux d'entre eux se vantaient même d'avoir vu ses yeux se révulser pendant l'agonie d'un orgasme –, mais quand ils cherchaient [ou par « on » ? Et le cas échéant, je me demande si c'est compatible avec le « ils » d'après ; j'attends votre avis…] sa bouche pour l'embrasser, tous rapportaient invariablement que la Gauchère plaquait ses mains sur leurs poitrines et esquivait en bougeant [ou avec « secouer » ?] nerveusement la tête.
En remplacement "ils" par "on" ça ne marche pas, parce qu'après on a besoin du "ils" (remplacé par "tous") et de "leurs". Mais, il est vrai, qu'avec "ils" tout seul, il y a une ambiguïté avec "d'eux d'entre eux". Et si on remplaçait "ils" par "les gars"?
Elle se laissait faire tout et n'importe quoi – deux d'entre eux se vantaient même d'avoir vu ses yeux se révulser pendant l'agonie d'un orgasme –, mais quand les gars cherchaient sa bouche pour l'embrasser, tous rapportaient invariablement que la Gauchère plaquait ses mains sur leurs poitrines et esquivait en secouant nerveusement la tête.
Elle se laissait faire tout et n'importe quoi – deux d'entre eux se vantaient même d'avoir vu ses yeux se révulser pendant l'agonie d'un orgasme –, mais quand les gars [dans ce cas, je crois qu'il vaut mieux « garçons »] cherchaient sa bouche pour l'embrasser, tous rapportaient invariablement que la Gauchère plaquait ses mains sur leurs poitrines et esquivait en secouant nerveusement la tête.
Elle se laissait faire tout et n'importe quoi – deux d'entre eux se vantaient même d'avoir vu ses yeux se révulser pendant l'agonie d'un orgasme –, mais quand les garçons cherchaient sa bouche pour l'embrasser, tous rapportaient invariablement que la Gauchère plaquait ses mains sur leurs poitrines et esquivait en secouant nerveusement la tête.
Elle se laissait faire tout et n'importe quoi – deux d'entre eux se vantaient même d'avoir vu ses yeux se révulser pendant l'agonie d'un orgasme –, mais quand les garçons cherchaient sa bouche pour l'embrasser, tous rapportaient invariablement que la Gauchère plaquait ses mains sur leurs poitrines et esquivait en secouant nerveusement la tête.
OK.
Nadia ?
ok
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