lundi 20 janvier 2014

Projet Maïté 4 – phrase 2

Si pudiera, correría entre la gente por la Plaza Sintagma, detrás del perro anarquista, con la piel hirviendo y las entrañas suspendidas en el miedo, porque tendría miedo, pero montada en él Rhoda podría hablar del otro lado del humo, de ese humo sin fuego, del otro lado de la asfixia y los centinelas hermosos que con sus lágrimas callan lo que Rhoda escribiría, allí, donde el gas no nubla las plazas, ni las calles, ni los sintagmas.

Traduction temporaire :
Si elle le pouvait, elle courrait dans la foule, à la poursuite du chien anarchiste, la peau brûlante et les entrailles serrées par la peur, parce qu’elle aurait peur ; mais, juchée dessus, Rhoda pourrait parler de l’autre côté de la fumée, de cette fumée sans feu, de l’autre côté de l’asphyxie. Et les jolies sentinelles taisent avec leurs larmes ce que Rhoda écrirait, là, là où le gaz n’assombrit ni les places, ni les rues, ni les syntagmes.

14 commentaires:

Maymay a dit…

Si elle le pouvait, elle courrait parmi la foule de la Plaza Sintagma, après le chien anarchiste, avec la peau brûlante et les entrailles serrées par la peur, parce qu’elle aurait peur, mais à cheval sur cette dernière, Rhoda pourrait parler de l’autre côté de la fumée, de cette fumée sans feu, de l’autre côté de l’asphyxie et les jolies sentinelles qui avec leurs larmes taisent ce que Rhoda écrirait, là, où le gaz n’assombrit pas les places, ni les rues, ni les syntagmes.

Maïté

Tradabordo a dit…

Si elle le pouvait, elle courrait parmi [« dans » / « au milieu de » ?] la foule de la Plaza Sintagma, après le chien anarchiste [ça ne va pas… soit à cause de la syntaxe, soit parce qu'il faut que tu ajoutes une cheville avant « après »]


, avec la peau brûlante et les entrailles serrées par la peur, parce qu’elle aurait peur, mais à cheval sur cette dernière, Rhoda pourrait parler de l’autre côté de la fumée, de cette fumée sans feu, de l’autre côté de l’asphyxie et les jolies sentinelles qui avec leurs larmes taisent ce que Rhoda écrirait, là, où le gaz n’assombrit pas les places, ni les rues, ni les syntagmes.

Maymay a dit…

Si elle le pouvait, elle courrait après le chien anarchiste, parmi la foule, la peau brûlante et les entrailles serrées par la peur, parce qu’elle aurait peur, mais à cheval sur cette dernière, Rhoda pourrait parler de l’autre côté de la fumée, de cette fumée sans feu, de l’autre côté de l’asphyxie et les jolies sentinelles qui avec leurs larmes taisent ce que Rhoda écrirait, là, où le gaz n’assombrit pas les places, ni les rues, ni les syntagmes.

Maïté

Maymay a dit…

Si elle le pouvait, elle courrait après le chien anarchiste, parmi la foule, la peau brûlante et les entrailles serrées par la peur, parce qu’elle aurait peur, mais à cheval sur cette dernière, Rhoda pourrait parler de l’autre côté de la fumée, de cette fumée sans feu, de l’autre côté de l’asphyxie et les jolies sentinelles qui avec leurs larmes taisent ce que Rhoda écrirait, là, où le gaz n’assombrit pas les places, ni les rues, ni les syntagmes.

Maïté

Tradabordo a dit…

Si elle le pouvait, elle courrait après le chien anarchiste, parmi la foule,

Est-ce que ce ne serait pas mieux en gardant la syntaxe et an ajoutant des chevilles :

Si elle le pouvait, elle courrait dans la foule, à la poursuite du chien anarchiste

Qu'en penses-tu ?

la peau brûlante et les entrailles serrées par la peur, parce qu’elle aurait peur, mais à cheval sur cette dernière, Rhoda pourrait parler de l’autre côté de la fumée, de cette fumée sans feu, de l’autre côté de l’asphyxie et les jolies sentinelles qui avec leurs larmes taisent ce que Rhoda écrirait, là, où le gaz n’assombrit pas les places, ni les rues, ni les syntagmes.

Maymay a dit…

Si elle le pouvait, elle courrait dans la foule, à la poursuite du chien anarchiste
(oui je valide! :))

la peau brûlante et les entrailles serrées par la peur, parce qu’elle aurait peur, mais à cheval sur cette dernière, Rhoda pourrait parler de l’autre côté de la fumée, de cette fumée sans feu, de l’autre côté de l’asphyxie et les jolies sentinelles qui avec leurs larmes taisent ce que Rhoda écrirait, là, où le gaz n’assombrit pas les places, ni les rues, ni les syntagmes.

Maïté

Tradabordo a dit…

Si elle le pouvait, elle courrait dans la foule, à la poursuite du chien anarchiste, la peau brûlante et les entrailles serrées par la peur, parce qu’elle aurait peur, [point-virgule ?] mais à cheval sur cette dernière [« juchée dessus » ?], Rhoda pourrait parler de l’autre côté de la fumée, de cette fumée sans feu, de l’autre côté de l’asphyxie et les [on ne comprend pas l'enchaînement avec la suite // c'est autre chose – alors changement de ponctuation. Sinon, clarifier] jolies sentinelles qui avec leurs larmes taisent ce que Rhoda écrirait, là, où le gaz n’assombrit pas les places, ni les rues, ni les syntagmes.

Maymay a dit…

Si elle le pouvait, elle courrait dans la foule, à la poursuite du chien anarchiste, la peau brûlante et les entrailles serrées par la peur, parce qu’elle aurait peur; mais juchée dessus, Rhoda pourrait parler de l’autre côté de la fumée, de cette fumée sans feu, de l’autre côté de l’asphyxie. Et les jolies sentinelles qui avec leurs larmes taisent ce que Rhoda écrirait là, de ce côté où le gaz n’assombrit pas les places, ni les rues, ni les syntagmes.

(j'ai mis un point et rajouté une cheville, ça me semble mieux au niveau de la compréhension, c'est plus juste comme ça ou je m'éloigne?)

Maïté

Tradabordo a dit…

Si elle le pouvait, elle courrait dans la foule, à la poursuite du chien anarchiste, la peau brûlante et les entrailles serrées par la peur, parce qu’elle aurait peur[espace avant les points-virgules]; mais juchée dessus, Rhoda pourrait parler de l’autre côté de la fumée, de cette fumée sans feu, de l’autre côté de l’asphyxie. Et les jolies sentinelles qui avec leurs larmes taisent ce que Rhoda écrirait là, de ce côté où le gaz n’assombrit pas les places, ni les rues, ni les syntagmes [non, ça ne va pas : on attend un verbe pluriel disant ce que font tes sentinelles du début… // essaie de bien comprendre qui va avec quoi].

Maymay a dit…

Si elle le pouvait, elle courrait dans la foule, à la poursuite du chien anarchiste, la peau brûlante et les entrailles serrées par la peur, parce qu’elle aurait peur ; mais juchée dessus, Rhoda pourrait parler de l’autre côté de la fumée, de cette fumée sans feu, de l’autre côté de l’asphyxie. Et les jolies sentinelles taisent avec leurs larmes ce que Rhoda écrirait là, de ce côté où le gaz n’assombrit pas les places, ni les rues, ni les syntagmes.

Maïté

Tradabordo a dit…

Si elle le pouvait, elle courrait dans la foule, à la poursuite du chien anarchiste, la peau brûlante et les entrailles serrées par la peur, [tiret à la place de la virgule ?] parce qu’elle aurait peur ; mais [virgule] juchée dessus, Rhoda pourrait parler de l’autre côté de la fumée, de cette fumée sans feu, de l’autre côté de l’asphyxie. Et les jolies sentinelles taisent avec leurs larmes ce que Rhoda écrirait là, de ce côté [pourquoi cet ajout ?] où le gaz n’assombrit pas les places, ni les rues, ni les syntagmes.

Maymay a dit…

Si elle le pouvait, elle courrait dans la foule, à la poursuite du chien anarchiste, la peau brûlante et les entrailles serrées par la peur, parce qu’elle aurait peur ; mais, juchée dessus, Rhoda pourrait parler de l’autre côté de la fumée, de cette fumée sans feu, de l’autre côté de l’asphyxie. Et les jolies sentinelles taisent avec leurs larmes ce que Rhoda écrirait là, où le gaz n’assombrit pas les places, ni les rues, ni les syntagmes.

Maïté

Tradabordo a dit…

Si elle le pouvait, elle courrait dans la foule, à la poursuite du chien anarchiste, la peau brûlante et les entrailles serrées par la peur, parce qu’elle aurait peur ; mais, juchée dessus, Rhoda pourrait parler de l’autre côté de la fumée, de cette fumée sans feu, de l’autre côté de l’asphyxie. Et les jolies sentinelles taisent avec leurs larmes ce que Rhoda écrirait, là, là où le gaz n’assombrit ni les places, ni les rues, ni les syntagmes.

J'ai fait quelques légères modifs… Regarde et dis-moi si ça te va.

Maymay a dit…

Oui, ça me va :)

Maïté