mardi 21 janvier 2014

Projet Justine – phrase 278

Fireman leía cada día aproximadamente ochenta y dos comentarios –de los que no se publicaban tal como llegaban, aunque quienes los escribían sabían que él iba a leerlos– donde le deseaban distintas variedades de tumores malignos.

Traduction temporaire :
Fireman lisait chaque jour près de quatre-vingt deux commentaires – dont certains qui n'étaient pas publiés comme ils arrivaient, même si ceux qui les écrivaient savaient qu'ils les lirait – dans lesquels on lui souhaitait toutes sortes de tumeurs malignes.

6 commentaires:

Justine a dit…

Fireman lisait chaque jour près de quatre-vingt deux commentaires — ceux qui n'étaient pas publiés tel quel, même si ceux qui les écrivaient savaient qu'ils les lirait — dans lesquels on lui souhaitait toutes sortes de tumeurs malignes.

Tradabordo a dit…

Fireman lisait chaque jour près de quatre-vingt deux commentaires — [les tirets moyens] ceux qui n'étaient pas publiés tel quel [« en l'état » ou littéral ?], même si ceux qui les écrivaient savaient qu'ils les lirait — dans lesquels on lui souhaitait toutes sortes de tumeurs malignes.

Justine a dit…

Fireman lisait chaque jour près de quatre-vingt deux commentaires – ceux qui n'étaient pas publiés comme ils arrivaient, même si ceux qui les écrivaient savaient qu'ils les lirait – dans lesquels on lui souhaitait toutes sortes de tumeurs malignes.

Tradabordo a dit…

Fireman lisait chaque jour près de quatre-vingt deux commentaires – ceux [en V.O. : « de los » ; est-ce que ça ne change pas l'interprétation ?] qui n'étaient pas publiés comme ils arrivaient, même si ceux qui les écrivaient savaient qu'ils les lirait – dans lesquels on lui souhaitait toutes sortes de tumeurs malignes.

Justine a dit…

Fireman lisait chaque jour près de quatre-vingt deux commentaires – dont certains qui n'étaient pas publiés comme ils arrivaient, même si ceux qui les écrivaient savaient qu'ils les lirait – dans lesquels on lui souhaitait toutes sortes de tumeurs malignes.

Tradabordo a dit…

Fireman lisait chaque jour près de quatre-vingt deux commentaires – dont certains qui n'étaient pas publiés comme ils arrivaient, même si ceux qui les écrivaient savaient qu'ils les lirait – dans lesquels on lui souhaitait toutes sortes de tumeurs malignes.

OK.