jeudi 8 octobre 2015

Projet Fanny – phrases 150-159

—Ros… ¿De dónde has sacado esto? —El tono era suave, conciliador…
Ella seguía sin apartar la mirada de la foto.
—¿Cuándo? —tan solo eso pudo pronunciar ella, muy bajito.
—Mira, no sé de dónde has sacado esta foto pero…
—¿Y tú de dónde crees que la he sacado? —le interrumpió ella—. Eres el único que sabe dónde estaba, ¿en serio tienes que preguntarlo?
Josef se había quedado sin palabras, solo respiraba lenta y pesadamente, sin apartar los ojos de ella y sin soltar la fotografía, aún en su mano. Mil historias pasaban por su mente, mil disculpas, mil explicaciones… Pero sabía que ella no creería ninguna.

Traduction temporaire :

— Ros… Où as-tu trouvé ça ? Le ton était doux, conciliant…
La jeune fille ne quittait pas la photo des yeux.
— Quand ? Elle ne put prononcer que ce mot, très bas.
— Ecoute, je ne sais pas où tu as trouvé cette photo, mais…
— Et tu crois que je l'ai sortie d'où ? l’interrompit-elle. Tu es le seul qui sait où elle était. Tu veux vraiment que je te réponde ?
Josef était resté sans voix. Il respirait lentement et lourdement, sans éloigner son regard de Roslín et sans lâcher le cliché. Mille histoires passaient dans son esprit, mille excuses, mille explications… Il savait qu'elle n'en croirait aucune.

6 commentaires:

Fanny JAY a dit…

— Ros… Où as-tu trouvé ça ? Le ton était doux, conciliant… Roslín ne quittait pas la photo des yeux.
— Quand ? Elle ne put prononcer que ces mots, très bas.
— Ecoute, je ne sais pas où tu as trouvé cette photo, mais…
— Mais d'où crois-tu que je l'aie sortie ? L’interrompit-elle. Tu es le seul qui sait où elle était. Tu tiens vraiment à le demander ?
Josef était resté sans voix. Il respirait juste lentement et lourdement, sans éloigner son regard de Roslín et sans lâcher le cliché, toujours dans sa main. Mille histoires passaient dans son esprit, mille excuses, mille explications… Mais il savait qu'elle n'en croirait aucune.

Tradabordo a dit…

— Ros… Où as-tu trouvé ça ? Le ton était doux, conciliant…
Roslín [« La jeune fille » ?] ne quittait pas la photo des yeux.
— Quand ? Elle ne put prononcer que ces mots, très bas.
— Ecoute, je ne sais pas où tu as trouvé cette photo, mais…
— Mais d'où crois-tu que je l'aie sortie ? [pas très naturel] L[minuscule]’interrompit-elle. Tu es le seul qui sait où elle était. Tu tiens vraiment à le demander [naturel ?] ?
Josef était resté sans voix. Il respirait juste [on supprime ?] lentement et lourdement, sans éloigner son regard de Roslín et sans lâcher le cliché, toujours dans sa main [redondant ?]. Mille histoires passaient dans son esprit, mille excuses, mille explications… Mais [nécessaire ?] il savait qu'elle n'en croirait aucune.

Fanny JAY a dit…

— Ros… Où as-tu trouvé ça ? Le ton était doux, conciliant…
La jeune fille ne quittait pas la photo des yeux.
— Quand ? Elle ne put prononcer que ces mots, très bas.
— Ecoute, je ne sais pas où tu as trouvé cette photo, mais…
— Mais tu crois que je l'ai sortie d'où ? l’interrompit-elle. Tu es le seul qui sait où elle était. Tu veux vraiment que je te réponde ?
Josef était resté sans voix. Il respirait lentement et lourdement, sans éloigner son regard de Roslín et sans lâcher le cliché. Mille histoires passaient dans son esprit, mille excuses, mille explications… Il savait qu'elle n'en croirait aucune.

Tradabordo a dit…

— Ros… Où as-tu trouvé ça ? Le ton était doux, conciliant…
La jeune fille ne quittait pas la photo des yeux.
— Quand ? Elle ne put prononcer que ces mots [en fait, elle n'en dit qu'un ;-)], très bas.
— Ecoute, je ne sais pas où tu as trouvé cette photo, mais…
— Mais [on en a un juste avant] tu crois que je l'ai sortie d'où ? l’interrompit-elle. Tu es le seul qui sait où elle était. Tu veux vraiment que je te réponde ?
Josef était resté sans voix. Il respirait lentement et lourdement, sans éloigner son regard de Roslín et sans lâcher le cliché. Mille histoires passaient dans son esprit, mille excuses, mille explications… Il savait qu'elle n'en croirait aucune.

Fanny JAY a dit…

— Ros… Où as-tu trouvé ça ? Le ton était doux, conciliant…
La jeune fille ne quittait pas la photo des yeux.
— Quand ? Elle ne put prononcer que ce mot, très bas.
— Ecoute, je ne sais pas où tu as trouvé cette photo, mais…
— Et tu crois que je l'ai sortie d'où ? l’interrompit-elle. Tu es le seul qui sait où elle était. Tu veux vraiment que je te réponde ?
Josef était resté sans voix. Il respirait lentement et lourdement, sans éloigner son regard de Roslín et sans lâcher le cliché. Mille histoires passaient dans son esprit, mille excuses, mille explications… Il savait qu'elle n'en croirait aucune.

Tradabordo a dit…

— Ros… Où as-tu trouvé ça ? Le ton était doux, conciliant…
La jeune fille ne quittait pas la photo des yeux.
— Quand ? Elle ne put prononcer que ce mot, très bas.
— Ecoute, je ne sais pas où tu as trouvé cette photo, mais…
— Et tu crois que je l'ai sortie d'où ? l’interrompit-elle. Tu es le seul qui sait où elle était. Tu veux vraiment que je te réponde ?
Josef était resté sans voix. Il respirait lentement et lourdement, sans éloigner son regard de Roslín et sans lâcher le cliché. Mille histoires passaient dans son esprit, mille excuses, mille explications… Il savait qu'elle n'en croirait aucune.

OK.