mercredi 21 octobre 2015

Projet Fanny – phrases 175-188

Con la otra mano cogió delicadamente la fotografía de la mano de ella y la puso encima de sus piernas, todavía sujetando a la chica.
—Esa eres tú y ese soy yo —le hablaba mientras la miraba fijamente—. Solo que tú no te acuerdas.
—¿Cómo puedes pensar que no voy a acordarme de haber estado en una cama de hospital teniendo ese aspecto, Josef? —Le indicó con un gesto la foto—. Mírame, parezco un cadáver. Sé que hay programas para hacer esos montajes, lo que no sabía es que hay seres tan hijos de puta como para querer hacerlos. Y tú te has llevado la palma.
En la foto, Roslin descansaba en una cama de hospital, a duras penas incorporada sobre varias almohadas, y tapada hasta la cintura con la sábana. Las piernas, que quedaban ocultas, se insinuaban como puros huesos. Piernas de esqueleto de laboratorio, con ángulos que se marcaban por debajo de la tela. Pero por encima de la sábana el espectáculo era aún peor. Una Roslin acabada, esquelética, con los pómulos salientes y las cuencas oculares hundidas. En ellas, los ojos destacaban grandes, lacrimosos y doloridos, como en aquellas imágenes de los supervivientes de los campos de concentración nazis cuando al fin fueron liberados.

Traduction temporaire :

Avec son autre main il récupéra délicatement la photo et la posa sur ses genoux. Il tenait toujours la jeune fille par le bras.
— Elle, c'est toi et lui, c'est moi. Il lui parlait en la fixant du regard. Sauf que tu ne t'en souviens pas.
— Comment peux-tu penser que j'ai oublié m'être retrouvée dans un lit d'hôpital dans un état pareil, Josef ? Elle lui désigna la photo. Regarde-moi, on dirait un cadavre. Je sais qu'il existe des logiciels pour faire des montages. Ce que je ne savais pas c'est qu'il y a des gens assez ignobles pour réaliser ce genre de choses. Toi, tu remportes la palme.
Sur la photo, Roslin était effectivement allongée dans un lit d'hôpital, redressée tant bien que mal sur plusieurs oreillers, et couverte jusqu'à la taille par le drap. Ses jambes, cachées, n'avaient que la peau sur les os ; des jambes de squelette de laboratoire, avec des angles qui pointaient sous le tissu. Mais au-dessus, le spectacle était encore pire : une Roslin épuisée, décharnée, les pommettes saillantes et les orbites enfoncées. Ses yeux ressortaient de son visage, grands, larmoyants et affligés, comme sur ces images des survivants des camps de concentration nazis, à leur libération.

14 commentaires:

Fanny JAY a dit…

Avec l'autre main il saisit délicatement la photo et la posa sur ses genoux, tout en maintenant toujours la jeune fille.
— Elle, c'est toi et lui, c'est moi, il lui parlait en la fixant du regard. Sauf que tu ne t'en souviens pas.
— Comment peux-tu penser que je ne me souviennes pas m'être retrouvée dans un lit d'hôpital avec cet aspect, Josef ? Elle lui indiqua la photo d'un geste. Regarde-moi, on dirait un cadavre. Je savais qu'il existait des programmes pour faire des montages. Ce que je ne savais pas c'est qu'il y avait des êtres aussi fils de pute pour vouloir les faire. Toi, tu as remporté la palme.
Sur la photo, Roslin était allongée dans un lit d'hôpital, installée tant bien que mal sur plusieurs coussins, et recouverte jusqu'à la ceinture par le drap. Ses jambes, qui restaient cachées, semblaient être des os. Des jambes de squelette de laboratoire, avec des angles qui se remarquaient sous la toile. Mais au-dessus du drap, le spectacle était encore pire. Une Roslin épuisée, squelettique, les pommettes saillantes et les orbites enfoncées. Ses yeux se détachaient du visage, grands, larmoyants et affligés, comme sur ces images des survivants des camps de concentration nazis, quand à la fin ils furent libérés.

Tradabordo a dit…

Avec l'[possessif ? Je ne sais pas… ]autre main il saisit [contradictoire avec l'adverbe ?] délicatement la photo et la posa sur ses genoux, tout en maintenant [peu clair] toujours la jeune fille.
— Elle, c'est toi et lui, c'est moi, [point ou alors il faut formuler la suite autrement] il lui parlait en la fixant du regard. Sauf que tu ne t'en souviens pas.
— Comment peux-tu penser que je ne me souviennes pas m'être retrouvée dans un lit d'hôpital avec cet aspect [mal dit], Josef ? Elle lui indiqua la photo d'un geste [redondant ?]. Regarde-moi, on dirait un cadavre. Je savais [temps !!!!] qu'il existait [idem] des programmes pour faire des montages. Ce que je ne savais pas c'est qu'il y avait des êtres aussi fils de pute pour vouloir les faire [gros manque de naturel /// à reprendre]. Toi, tu as remporté [au présent ?] la palme.

Faisons déjà cela.

Sur la photo, Roslin était allongée dans un lit d'hôpital, installée tant bien que mal sur plusieurs coussins, et recouverte jusqu'à la ceinture par le drap. Ses jambes, qui restaient cachées, semblaient être des os. Des jambes de squelette de laboratoire, avec des angles qui se remarquaient sous la toile. Mais au-dessus du drap, le spectacle était encore pire. Une Roslin épuisée, squelettique, les pommettes saillantes et les orbites enfoncées. Ses yeux se détachaient du visage, grands, larmoyants et affligés, comme sur ces images des survivants des camps de concentration nazis, quand à la fin ils furent libérés.

Fanny JAY a dit…

Avec son autre main il prit [je voulais mettre prendre au départ, mais on l'a déjà dans la phrase précédente. Peut-être que je devrais changer dans la phrase précédente et mettre saisir pendant ma relecture.] délicatement la photo et la posa sur ses genoux. Il tenait toujours la jeune fille par le bras.
— Elle, c'est toi et lui, c'est moi. Il lui parlait en la fixant du regard. Sauf que tu ne t'en souviens pas.
— Comment peux-tu penser que je ne me souviennes pas m'être retrouvée dans un lit d'hôpital dans cet état, Josef ? Elle lui montra la photo. Regarde-moi, on dirait un cadavre. Je sais qu'il existe des programmes pour faire des montages. Ce que je ne savais pas c'est qu'il y a des gens assez ignobles pour faire ce genre de choses. Toi, tu remportes la palme.
Sur la photo, Roslin était allongée dans un lit d'hôpital, installée tant bien que mal sur plusieurs coussins, et couverte jusqu'à la ceinture par le drap. Ses jambes, qui restaient cachées, semblaient être des os. Des jambes de squelette de laboratoire, avec des angles qui se remarquaient sous la toile. Mais au-dessus du drap, le spectacle était encore pire. Une Roslin épuisée, squelettique, les pommettes saillantes et les orbites enfoncées. Ses yeux se détachaient du visage, grands, larmoyants et affligés, comme sur ces images des survivants des camps de concentration nazis, quand à la fin ils furent libérés.

Tradabordo a dit…

Avec son autre main il prit [« récupéra » ?] délicatement la photo et la posa sur ses genoux. Il tenait toujours la jeune fille par le bras.
— Elle, c'est toi et lui, c'est moi. Il lui parlait en la fixant du regard. Sauf que tu ne t'en souviens pas.
— Comment peux-tu penser que je ne me souviennes pas [« que j'ai oublié » ?] m'être retrouvée dans un lit d'hôpital dans cet état [« dans un état pareil » ?], Josef ? Elle lui montra [« désigna » ?] la photo. Regarde-moi, on dirait un cadavre. Je sais qu'il existe des programmes [« logiciels » ?] pour faire des montages. Ce que je ne savais pas c'est qu'il y a des gens assez ignobles pour faire [tu l'as déjà dans la phrase d'avant] ce genre de choses. Toi, tu remportes la palme.
Sur la photo, Roslin était [cheville : « effectivement » ?] allongée dans un lit d'hôpital, installée [FS ?] tant bien que mal sur plusieurs coussins [inexact ?], et couverte jusqu'à la ceinture [inexact ?] par le drap.

Ses jambes, qui restaient cachées, semblaient être des os. Des jambes de squelette de laboratoire, avec des angles qui se remarquaient sous la toile. Mais au-dessus du drap, le spectacle était encore pire. Une Roslin épuisée, squelettique, les pommettes saillantes et les orbites enfoncées. Ses yeux se détachaient du visage, grands, larmoyants et affligés, comme sur ces images des survivants des camps de concentration nazis, quand à la fin ils furent libérés.

Fanny JAY a dit…

Avec son autre main il récupéra délicatement la photo et la posa sur ses genoux. Il tenait toujours la jeune fille par le bras.
— Elle, c'est toi et lui, c'est moi. Il lui parlait en la fixant du regard. Sauf que tu ne t'en souviens pas.
— Comment peux-tu penser que j'ai oublié m'être retrouvée dans un lit d'hôpital dans un état pareil, Josef ? Elle lui désigna la photo. Regarde-moi, on dirait un cadavre. Je sais qu'il existe des logiciels pour faire des montages. Ce que je ne savais pas c'est qu'il y a des gens assez ignobles pour réaliser ce genre de choses. Toi, tu remportes la palme.
Sur la photo, Roslin était effectivement allongée dans un lit d'hôpital, redressée tant bien que mal sur plusieurs oreillers, et couverte jusqu'à la taille par le drap. Ses jambes, qui restaient cachées, semblaient être des os. Des jambes de squelette de laboratoire, avec des angles qui se remarquaient sous la toile. Mais au-dessus du drap, le spectacle était encore pire. Une Roslin épuisée, squelettique, les pommettes saillantes et les orbites enfoncées. Ses yeux se détachaient du visage, grands, larmoyants et affligés, comme sur ces images des survivants des camps de concentration nazis, quand à la fin ils furent libérés.

Tradabordo a dit…

Avec son autre main il récupéra délicatement la photo et la posa sur ses genoux. Il tenait toujours la jeune fille par le bras.
— Elle, c'est toi et lui, c'est moi. Il lui parlait en la fixant du regard. Sauf que tu ne t'en souviens pas.
— Comment peux-tu penser que j'ai oublié m'être retrouvée dans un lit d'hôpital dans un état pareil, Josef ? Elle lui désigna la photo. Regarde-moi, on dirait un cadavre. Je sais qu'il existe des logiciels pour faire des montages. Ce que je ne savais pas c'est qu'il y a des gens assez ignobles pour réaliser ce genre de choses. Toi, tu remportes la palme.
Sur la photo, Roslin était effectivement allongée dans un lit d'hôpital, redressée tant bien que mal sur plusieurs oreillers, et couverte jusqu'à la taille par le drap.

Las piernas, que quedaban ocultas, se insinuaban como puros huesos. Piernas de esqueleto de laboratorio, con ángulos que se marcaban por debajo de la tela. Pero por encima de la sábana el espectáculo era aún peor. Una Roslin acabada, esquelética, con los pómulos salientes y las cuencas oculares hundidas. En ellas, los ojos destacaban grandes, lacrimosos y doloridos, como en aquellas imágenes de los supervivientes de los campos de concentración nazis cuando al fin fueron liberados.

Ses jambes, qui restaient [nécessaire ?] cachées, semblaient être des os [du coup, l'idée contenue dans « puros » n'est pas rendue]. [ou point-virgule ? Comme tu veux…] Des jambes de squelette de laboratoire, avec des angles qui se remarquaient [mal dit] sous la toile [« tissu »]. Mais au-dessus du drap [nécessaire ?], le spectacle était encore pire. [deux points ?] Une Roslin épuisée, squelettique, les pommettes saillantes et les orbites enfoncées. Ses yeux se détachaient [naturel ?] du visage, grands, larmoyants et affligés, comme sur ces images des survivants des camps de concentration nazis, quand à la fin ils furent libérés [ce petit bout n'est pas très naturel].

Fanny JAY a dit…

Avec son autre main il récupéra délicatement la photo et la posa sur ses genoux. Il tenait toujours la jeune fille par le bras.
— Elle, c'est toi et lui, c'est moi. Il lui parlait en la fixant du regard. Sauf que tu ne t'en souviens pas.
— Comment peux-tu penser que j'ai oublié m'être retrouvée dans un lit d'hôpital dans un état pareil, Josef ? Elle lui désigna la photo. Regarde-moi, on dirait un cadavre. Je sais qu'il existe des logiciels pour faire des montages. Ce que je ne savais pas c'est qu'il y a des gens assez ignobles pour réaliser ce genre de choses. Toi, tu remportes la palme.
Sur la photo, Roslin était effectivement allongée dans un lit d'hôpital, redressée tant bien que mal sur plusieurs oreillers, et couverte jusqu'à la taille par le drap.

Ses jambes, cachées, étaient de véritables os ; des jambes de squelette de laboratoire, avec des angles qui apparaissaient sous le tissu. Mais au-dessus, le spectacle était encore pire : une Roslin épuisée, squelettique, les pommettes saillantes et les orbites enfoncées. Ses yeux sortaient du visage, grands, larmoyants et affligés, comme sur ces images des survivants des camps de concentration nazis, à leur libération.

Tradabordo a dit…

Avec son autre main il récupéra délicatement la photo et la posa sur ses genoux. Il tenait toujours la jeune fille par le bras.
— Elle, c'est toi et lui, c'est moi. Il lui parlait en la fixant du regard. Sauf que tu ne t'en souviens pas.
— Comment peux-tu penser que j'ai oublié m'être retrouvée dans un lit d'hôpital dans un état pareil, Josef ? Elle lui désigna la photo. Regarde-moi, on dirait un cadavre. Je sais qu'il existe des logiciels pour faire des montages. Ce que je ne savais pas c'est qu'il y a des gens assez ignobles pour réaliser ce genre de choses. Toi, tu remportes la palme.
Sur la photo, Roslin était effectivement allongée dans un lit d'hôpital, redressée tant bien que mal sur plusieurs oreillers, et couverte jusqu'à la taille par le drap.

Ses jambes, cachées, étaient de véritables os [essayez de voir si ça marcherait en passant par « n'avoir que la peau sur les os »] ; des jambes de squelette de laboratoire, avec des angles qui apparaissaient [bof] sous le tissu. Mais au-dessus, le spectacle était encore pire : une Roslin épuisée, squelettique [un moyen de ne pas répéter], les pommettes saillantes et les orbites enfoncées. Ses yeux sortaient [bof] du visage, grands, larmoyants et affligés, comme sur ces images des survivants des camps de concentration nazis, à leur libération.

Fanny JAY a dit…

Avec son autre main il récupéra délicatement la photo et la posa sur ses genoux. Il tenait toujours la jeune fille par le bras.
— Elle, c'est toi et lui, c'est moi. Il lui parlait en la fixant du regard. Sauf que tu ne t'en souviens pas.
— Comment peux-tu penser que j'ai oublié m'être retrouvée dans un lit d'hôpital dans un état pareil, Josef ? Elle lui désigna la photo. Regarde-moi, on dirait un cadavre. Je sais qu'il existe des logiciels pour faire des montages. Ce que je ne savais pas c'est qu'il y a des gens assez ignobles pour réaliser ce genre de choses. Toi, tu remportes la palme.
Sur la photo, Roslin était effectivement allongée dans un lit d'hôpital, redressée tant bien que mal sur plusieurs oreillers, et couverte jusqu'à la taille par le drap.

Ses jambes, cachées, n'avaient que la peau sur les os ; des jambes de squelette de laboratoire, avec des angles qui perçaient sous le tissu. Mais au-dessus, le spectacle était encore pire : une Roslin épuisée, décharnée, les pommettes saillantes et les orbites enfoncées. Ses yeux se détachaient du visage, grands, larmoyants et affligés, comme sur ces images des survivants des camps de concentration nazis, à leur libération.

Tradabordo a dit…

Avec son autre main il récupéra délicatement la photo et la posa sur ses genoux. Il tenait toujours la jeune fille par le bras.
— Elle, c'est toi et lui, c'est moi. Il lui parlait en la fixant du regard. Sauf que tu ne t'en souviens pas.
— Comment peux-tu penser que j'ai oublié m'être retrouvée dans un lit d'hôpital dans un état pareil, Josef ? Elle lui désigna la photo. Regarde-moi, on dirait un cadavre. Je sais qu'il existe des logiciels pour faire des montages. Ce que je ne savais pas c'est qu'il y a des gens assez ignobles pour réaliser ce genre de choses. Toi, tu remportes la palme.
Sur la photo, Roslin était effectivement allongée dans un lit d'hôpital, redressée tant bien que mal sur plusieurs oreillers, et couverte jusqu'à la taille par le drap.
Ses jambes, cachées, n'avaient que la peau sur les os ; des jambes de squelette de laboratoire, avec des angles qui perçaient [on dirait que ça fait des trous ;-)] sous le tissu. Mais au-dessus, le spectacle était encore pire : une Roslin épuisée, décharnée, les pommettes saillantes et les orbites enfoncées. Ses yeux se détachaient [ils tombent ? ;-)] du visage, grands, larmoyants et affligés, comme sur ces images des survivants des camps de concentration nazis, à leur libération.

Fanny JAY a dit…

Avec son autre main il récupéra délicatement la photo et la posa sur ses genoux. Il tenait toujours la jeune fille par le bras.
— Elle, c'est toi et lui, c'est moi. Il lui parlait en la fixant du regard. Sauf que tu ne t'en souviens pas.
— Comment peux-tu penser que j'ai oublié m'être retrouvée dans un lit d'hôpital dans un état pareil, Josef ? Elle lui désigna la photo. Regarde-moi, on dirait un cadavre. Je sais qu'il existe des logiciels pour faire des montages. Ce que je ne savais pas c'est qu'il y a des gens assez ignobles pour réaliser ce genre de choses. Toi, tu remportes la palme.
Sur la photo, Roslin était effectivement allongée dans un lit d'hôpital, redressée tant bien que mal sur plusieurs oreillers, et couverte jusqu'à la taille par le drap.
Ses jambes, cachées, n'avaient que la peau sur les os ; des jambes de squelette de laboratoire, avec des angles qui pointaient sous le tissu. Mais au-dessus, le spectacle était encore pire : une Roslin épuisée, décharnée, les pommettes saillantes et les orbites enfoncées. Ses yeux ressortaient du visage, grands, larmoyants et affligés, comme sur ces images des survivants des camps de concentration nazis, à leur libération.

Tradabordo a dit…

Avec son autre main il récupéra délicatement la photo et la posa sur ses genoux. Il tenait toujours la jeune fille par le bras.
— Elle, c'est toi et lui, c'est moi. Il lui parlait en la fixant du regard. Sauf que tu ne t'en souviens pas.
— Comment peux-tu penser que j'ai oublié m'être retrouvée dans un lit d'hôpital dans un état pareil, Josef ? Elle lui désigna la photo. Regarde-moi, on dirait un cadavre. Je sais qu'il existe des logiciels pour faire des montages. Ce que je ne savais pas c'est qu'il y a des gens assez ignobles pour réaliser ce genre de choses. Toi, tu remportes la palme.
Sur la photo, Roslin était effectivement allongée dans un lit d'hôpital, redressée tant bien que mal sur plusieurs oreillers, et couverte jusqu'à la taille par le drap.
Ses jambes, cachées, n'avaient que la peau sur les os ; des jambes de squelette de laboratoire, avec des angles qui pointaient sous le tissu. Mais au-dessus, le spectacle était encore pire : une Roslin épuisée, décharnée, les pommettes saillantes et les orbites enfoncées. Ses yeux ressortaient du [je crois qu'on ne pourra pas faire sans le possessif] visage, grands, larmoyants et affligés, comme sur ces images des survivants des camps de concentration nazis, à leur libération.

Fanny JAY a dit…

Avec son autre main il récupéra délicatement la photo et la posa sur ses genoux. Il tenait toujours la jeune fille par le bras.
— Elle, c'est toi et lui, c'est moi. Il lui parlait en la fixant du regard. Sauf que tu ne t'en souviens pas.
— Comment peux-tu penser que j'ai oublié m'être retrouvée dans un lit d'hôpital dans un état pareil, Josef ? Elle lui désigna la photo. Regarde-moi, on dirait un cadavre. Je sais qu'il existe des logiciels pour faire des montages. Ce que je ne savais pas c'est qu'il y a des gens assez ignobles pour réaliser ce genre de choses. Toi, tu remportes la palme.
Sur la photo, Roslin était effectivement allongée dans un lit d'hôpital, redressée tant bien que mal sur plusieurs oreillers, et couverte jusqu'à la taille par le drap. Ses jambes, cachées, n'avaient que la peau sur les os ; des jambes de squelette de laboratoire, avec des angles qui pointaient sous le tissu. Mais au-dessus, le spectacle était encore pire : une Roslin épuisée, décharnée, les pommettes saillantes et les orbites enfoncées. Ses yeux ressortaient de son visage, grands, larmoyants et affligés, comme sur ces images des survivants des camps de concentration nazis, à leur libération.

Tradabordo a dit…

Avec son autre main il récupéra délicatement la photo et la posa sur ses genoux. Il tenait toujours la jeune fille par le bras.
— Elle, c'est toi et lui, c'est moi. Il lui parlait en la fixant du regard. Sauf que tu ne t'en souviens pas.
— Comment peux-tu penser que j'ai oublié m'être retrouvée dans un lit d'hôpital dans un état pareil, Josef ? Elle lui désigna la photo. Regarde-moi, on dirait un cadavre. Je sais qu'il existe des logiciels pour faire des montages. Ce que je ne savais pas c'est qu'il y a des gens assez ignobles pour réaliser ce genre de choses. Toi, tu remportes la palme.
Sur la photo, Roslin était effectivement allongée dans un lit d'hôpital, redressée tant bien que mal sur plusieurs oreillers, et couverte jusqu'à la taille par le drap. Ses jambes, cachées, n'avaient que la peau sur les os ; des jambes de squelette de laboratoire, avec des angles qui pointaient sous le tissu. Mais au-dessus, le spectacle était encore pire : une Roslin épuisée, décharnée, les pommettes saillantes et les orbites enfoncées. Ses yeux ressortaient de son visage, grands, larmoyants et affligés, comme sur ces images des survivants des camps de concentration nazis, à leur libération.

OK.