mercredi 14 octobre 2015

Projet Nancy 5 – phrases 4-11

La caja del cuerpo acompaña el avance, y la cabeza también: toda la fábrica del hombre cumple una actitud de manera fácil, hasta armoniosa. Ahora asienta el otro pie en el suelo. El caminar de este hombre es normal; camina desde hace veinte años, treinta años. Hay ritmo en la marcha de un hombre. Pero he aquí que este hombre asienta ahora el taco de su botín sobre una cáscara de fruta. No se ha producido el ruidito seco contra la baldosa; se oye más bien un chirrido un tanto apagado pero silbante, y en seguida se percibe con nitidez el golpe de la masa humana contra el suelo. El resbalón, rápido y traicionero, hizo perder línea, medida, ritmo y armonía. El hombre, al caer, movió sus brazos como un pelele.

Traduction temporaire :

Sa cage thoracique accompagne le mouvement, sa tête aussi : l'ensemble de la machine de cet homme adopte une attitude avec facilité, avec harmonie même. À présent, il pose l'autre pied. Sa marche est normale ; il marche depuis vingt, trente ans. Il y a du rythme dans les pas d'un homme. Or, voici qu'il pose soudain le talon de sa botte sur la coque d'un fruit. Le petit bruit sec contre le pavé n'a pas claqué ; à la place, on entend un cri un peu étouffé mais sifflant, et sur-le-champ, on perçoit nettement le choc de la masse humaine contre le sol. La chute, rapide et traître, lui a fait perdre la ligne, la mesure, le rythme et l'harmonie. En tombant, l'homme a agité ses bras comme un pantin.

7 commentaires:

Nancy a dit…

Sa cage thoracique accompagne le mouvement, et sa tête aussi : l'ensemble de la machine de cet homme exécute avec facilité, avec harmonie même, une attitude. À présent, il pose l'autre pied. Sa marche est normale ; il marche depuis vingt, trente ans. Il y a du rythme dans les pas d'un homme. Mais voici qu'il pose alors le talon de sa botte sur la coque d'un fruit. Le petit bruit sec contre le pavé ne s'est pas produit ; on entend plutôt un cri un peu étouffé mais sifflant, et sur-le-champ, on perçoit nettement le choc de la masse humaine contre le sol. La chute, rapide et traître, lui a fait perdre la ligne, la mesure, le rythme et l'harmonie. L'homme, en tombant, a remué ses bras tel un pantin.

Nancy a dit…

Oups, pardon, ne tiens pas compte de l'envoi précédent…



Sa cage thoracique accompagne le mouvement, et sa tête aussi : l'ensemble de la machine de cet homme adopte une attitude avec facilité, avec harmonie même. À présent, il pose l'autre pied. Sa marche est normale ; il marche depuis vingt, trente ans. Il y a du rythme dans les pas d'un homme. Mais voici qu'il pose alors le talon de sa botte sur la coque d'un fruit. Le petit bruit sec contre le pavé ne s'est pas produit ; on entend plutôt un cri un peu étouffé mais sifflant, et sur-le-champ, on perçoit nettement le choc de la masse humaine contre le sol. La chute, rapide et traître, lui a fait perdre la ligne, la mesure, le rythme et l'harmonie. L'homme, en tombant, a remué ses bras comme un pantin.

Tradabordo a dit…

Sa cage thoracique accompagne le mouvement, et [nécessaire ?] sa tête aussi : l'ensemble de la machine de cet homme adopte une attitude avec facilité, avec harmonie même. À présent, il pose l'autre pied. Sa marche est normale ; il marche depuis vingt, trente ans. Il y a du rythme dans les pas d'un homme. Mais [« Or, » ? Comme tu préfères…] voici qu'il pose alors [« à présent » / « soudain » ?] le talon de sa botte sur la coque d'un fruit. Le petit bruit sec contre le pavé ne s'est pas produit [j'hésite sur le verbe… Vois si tu as quelque chose de plus adapté ; sinon, laisse…] ; on entend plutôt [« à la place » ?] un cri un peu étouffé mais sifflant, et sur-le-champ, on perçoit nettement le choc de la masse humaine contre le sol. La chute, rapide et traître, lui a fait perdre la ligne, la mesure, le rythme et l'harmonie. L'homme [placé après ?], en tombant, a remué ses bras comme un pantin.

Nancy a dit…

Sa cage thoracique accompagne le mouvement, sa tête aussi : l'ensemble de la machine de cet homme adopte une attitude avec facilité, avec harmonie même. À présent, il pose l'autre pied. Sa marche est normale ; il marche depuis vingt, trente ans. Il y a du rythme dans les pas d'un homme. Or, voici qu'il pose soudain le talon de sa botte sur la coque d'un fruit. Le petit bruit sec contre le pavé n'a pas claqué ; à la place, on entend un cri un peu étouffé mais sifflant, et sur-le-champ, on perçoit nettement le choc de la masse humaine contre le sol. La chute, rapide et traître, lui a fait perdre la ligne, la mesure, le rythme et l'harmonie. En tombant, l'homme a remué ses bras comme un pantin.

Tradabordo a dit…

Sa cage thoracique accompagne le mouvement, sa tête aussi : l'ensemble de la machine de cet homme adopte une attitude avec facilité, avec harmonie même. À présent, il pose l'autre pied. Sa marche est normale ; il marche depuis vingt, trente ans. Il y a du rythme dans les pas d'un homme. Or, voici qu'il pose soudain le talon de sa botte sur la coque d'un fruit. Le petit bruit sec contre le pavé n'a pas claqué ; à la place, on entend un cri un peu étouffé mais sifflant, et sur-le-champ, on perçoit nettement le choc de la masse humaine contre le sol. La chute, rapide et traître, lui a fait perdre la ligne, la mesure, le rythme et l'harmonie. En tombant, l'homme a remué [« agité » ?] ses bras comme un pantin.

Nancy a dit…

Sa cage thoracique accompagne le mouvement, sa tête aussi : l'ensemble de la machine de cet homme adopte une attitude avec facilité, avec harmonie même. À présent, il pose l'autre pied. Sa marche est normale ; il marche depuis vingt, trente ans. Il y a du rythme dans les pas d'un homme. Or, voici qu'il pose soudain le talon de sa botte sur la coque d'un fruit. Le petit bruit sec contre le pavé n'a pas claqué ; à la place, on entend un cri un peu étouffé mais sifflant, et sur-le-champ, on perçoit nettement le choc de la masse humaine contre le sol. La chute, rapide et traître, lui a fait perdre la ligne, la mesure, le rythme et l'harmonie. En tombant, l'homme a agité ses bras comme un pantin.

Tradabordo a dit…

Sa cage thoracique accompagne le mouvement, sa tête aussi : l'ensemble de la machine de cet homme adopte une attitude avec facilité, avec harmonie même. À présent, il pose l'autre pied. Sa marche est normale ; il marche depuis vingt, trente ans. Il y a du rythme dans les pas d'un homme. Or, voici qu'il pose soudain le talon de sa botte sur la coque d'un fruit. Le petit bruit sec contre le pavé n'a pas claqué ; à la place, on entend un cri un peu étouffé mais sifflant, et sur-le-champ, on perçoit nettement le choc de la masse humaine contre le sol. La chute, rapide et traître, lui a fait perdre la ligne, la mesure, le rythme et l'harmonie. En tombant, l'homme a agité ses bras comme un pantin.

OK.