lundi 9 novembre 2015

Projet Nancy 5 – phrases 20-29

El hombre, a los veinte pasos, aminora la velocidad de su marcha. Con algún cuidado asienta ahora en el suelo su pie derecho. Pero el hábito de caminar rápidamente y el temor de gastar tiempo, le obligan a apresurarse otra vez. No quisiera llegar tarde a la oficina. El dolor en la rodilla es molesto e incómodo cuando camina rápidamente. No quiere hacerle caso al dolor; se sobrepone al dolor físico y marcha apresuradamente. Entra en la oficina. Menos mal: no ha llegado tarde… En la oficina. Está sentado, manipulando gruesos librotes de cuentas corrientes.

Traduction temporaire :
Au bout de vingt pas, l'homme réduit son allure. Il pose à présent avec prudence son pied droit sur le sol. Mais l'habitude de marcher vite et la crainte de perdre du temps l'obligent à se dépêcher à nouveau. Il ne voudrait pas arriver en retard au travail. La douleur au genou est gênante à ce rythme soutenu. Il ne souhaite pas y prêter attention ; il la surmonte et accélère. Il entre dans la pièce. Heureusement, il n'est pas en retard… Au bureau. Il est assis et manipule de gros livres de comptes courants.

6 commentaires:

Nancy a dit…

L'homme, au bout de vingt pas, réduit son allure. Il pose à présent avec soin son pied droit sur le sol. Mais l'habitude de marcher vite et la crainte de perdre du temps l'obligent à se dépêcher à nouveau. Il ne voudrait pas arriver en retard au bureau. Sa douleur au genou est gênante et incommodante à ce rythme soutenu. Il ne souhaite pas prêter attention à la douleur ; il la surmonte et accélère. Il entre dans le bureau. Heureusement, il n'est pas en retard… Dans le bureau. Il est assis et manipule de gros livres de comptes courants.

Tradabordo a dit…

L'homme [placé après ?], au bout de vingt pas, réduit son allure. Il pose à présent avec soin [pas plutôt dans le sens de « précaution » ?] son pied droit sur le sol. Mais l'habitude de marcher vite et la crainte de perdre du temps l'obligent à se dépêcher à nouveau [placé avant ?]. Il ne voudrait pas arriver en retard au bureau. Sa [possessif nécessaire ? J'hésite] douleur au genou est gênante et incommodante [redondant ?] à ce rythme soutenu. Il ne souhaite pas prêter attention à la douleur [un moyen de ne pas répéter ?] ; il la surmonte et accélère. Il entre dans le bureau [un moyen de ne pas répéter ?]. Heureusement, il n'est pas en retard… Dans le bureau [idem ?]. Il est assis et manipule de gros livres de comptes courants.

Nancy a dit…

Au bout de vingt pas, l'homme réduit son allure. Il pose à présent avec prudence son pied droit sur le sol. Mais l'habitude de marcher vite et la crainte de perdre du temps l'obligent à se dépêcher une nouvelle fois. Il ne voudrait pas arriver en retard au travail. La douleur au genou est gênante à ce rythme soutenu. Il ne souhaite pas y prêter attention ; il la surmonte et accélère. Il entre dans la pièce. Heureusement, il n'est pas en retard… Au bureau. Il est assis et manipule de gros livres de comptes courants.

Tradabordo a dit…

Au bout de vingt pas, l'homme réduit son allure. Il pose à présent avec prudence son pied droit sur le sol. Mais l'habitude de marcher vite et la crainte de perdre du temps l'obligent à se dépêcher une nouvelle fois [bof]. Il ne voudrait pas arriver en retard au travail. La douleur au genou est gênante à ce rythme soutenu. Il ne souhaite pas y prêter attention ; il la surmonte et accélère. Il entre dans la pièce. Heureusement, il n'est pas en retard… Au bureau. Il est assis et manipule de gros livres de comptes courants.

Nancy a dit…

Au bout de vingt pas, l'homme réduit son allure. Il pose à présent avec prudence son pied droit sur le sol. Mais l'habitude de marcher vite et la crainte de perdre du temps l'obligent à se dépêcher à nouveau. Il ne voudrait pas arriver en retard au travail. La douleur au genou est gênante à ce rythme soutenu. Il ne souhaite pas y prêter attention ; il la surmonte et accélère. Il entre dans la pièce. Heureusement, il n'est pas en retard… Au bureau. Il est assis et manipule de gros livres de comptes courants.

Tradabordo a dit…

Au bout de vingt pas, l'homme réduit son allure. Il pose à présent avec prudence son pied droit sur le sol. Mais l'habitude de marcher vite et la crainte de perdre du temps l'obligent à se dépêcher à nouveau. Il ne voudrait pas arriver en retard au travail. La douleur au genou est gênante à ce rythme soutenu. Il ne souhaite pas y prêter attention ; il la surmonte et accélère. Il entre dans la pièce. Heureusement, il n'est pas en retard… Au bureau. Il est assis et manipule de gros livres de comptes courants.

OK.