dimanche 22 juillet 2012

Les Ollantay – phrases 116-117

No pude evitar sonreír, ya que si existía un nombre opuesto al mío, era este. Debí haberme marchado de inmediato. 

Traduction temporaire :
Je souris malgré moi. Il ne pouvait pas exister un nom plus éloigné du mien. J’aurais dû m’en aller sur-le-champ.

5 commentaires:

Emilie a dit…

Je ne pus m’empêcher de sourire : s’il existait un nom opposé au mien, c’était bien celui-ci. J’aurais dû m’en aller sur-le-champ.

Pour les deux points à la place du "car", vous me direz...

Tradabordo a dit…

1) Ça m'embête de mettre deux points ici ; réservons-nous ce truc bien pratique pour d'autres situations. Pourquoi pas un simple point ?

2) « opposé » n'est pas très convaincant. + construction : est-ce qu'on ne passerait pas par « Il ne pouvait pas exister… »

OK pour le reste.

Justine a dit…

Je souris malgré moi . Il ne pouvait pas exister un nom plus éloigné du mien. J’aurais dû m’en aller sur-le-champ.

J'ai changé le début de la phrase, sinon on avait deux "pouvoir " dans la phrase.

Tradabordo a dit…

Je souris malgré moi. Il ne pouvait pas exister un nom plus éloigné du mien. J’aurais dû m’en aller sur-le-champ.

OK.

Émilie ?

Emilie a dit…

OK!