vendredi 27 juillet 2012

Les Pikimachay – phrase 25

Allí, encerrado, podías llorar si querías, lamentarte, mirarte los ojos rojos por varios minutos,  porque delante del resto nada, delante de ellos, es decir, nosotros, el estado cambiaba como un truco de magia en un tronar de dedos o tras un abracadabra. 

Traduction temporaire :
Là,  enfermé,  on pouvait pleurer si on voulait, se lamenter, regarder ses yeux rouges plusieurs minutes, tandis que face au reste du monde rien,  face à eux, c’est-à-dire nous, notre état changeait comme par magie, en un claquement de doigts ou après un abracadabra.

9 commentaires:

Unknown a dit…

Là, enfermé, tu pouvais pleurer si tu voulais, te lamenter, regarder tes yeux rouges pendant plusieurs minutes, parce que face au reste rien, face à eux, c’est-à-dire, nous, l’état changeait comme par magie en un claquement de doigts ou après un abracadabra.

Tradabordo a dit…

Pour l'instant, il est un tôt pour le dire, mais cette généralité « tu », on devrait la rendre avec « on ».

Anonyme a dit…

Ah, tu viens réponds ici à la question que je posais dans la phrase précédente. Je tente la solution de Manon avec "on" :

Là, enfermé, on pouvait pleurer si on voulait, se lamenter, regarder ses yeux rouges pendant plusieurs minutes, parce que face au reste rien, face à eux, c’est-à-dire nous, l’état changeait comme par magie en un claquement de doigts ou comme après un abracadabra.

(J'ai mis un "comme" avant "après")

Julie

Anonyme a dit…

Mince j'avais lu sans le premier "comme" donc celui que j'ai ajouté est inutile.

Là, enfermé, on pouvait pleurer si on voulait, se lamenter, regarder ses yeux rouges pendant plusieurs minutes, parce que face au reste rien, face à eux, c’est-à-dire nous, l’état changeait comme par magie en un claquement de doigts ou après un abracadabra.

Julie

Tradabordo a dit…

Là, enfermé, on pouvait pleurer si on voulait, se lamenter, regarder ses yeux rouges pendant plusieurs minutes, parce que face au reste rien, face à eux, c’est-à-dire nous, l’état changeait comme par magie en un claquement de doigts ou après un abracadabra.

1) « pendant » est-il nécessaire ?
2) Ce « face au reste » n'est pas très clair…
3) « l'état » de qui ?
4) Virgule après « magie ».

Unknown a dit…

J'ai tenté de transformer le "parce que face au reste rien", en espérant ne pas m'être trop éloignée du sens (j'ai hésité entre "tandis que" et "alors que") :

Là, enfermé, on pouvait pleurer si on voulait, se lamenter, regarder ses yeux rouges plusieurs minutes, tandis que face au reste du monde rien, face à eux, c’est-à-dire nous, notre état changeait comme par magie, en un claquement de doigts ou après un abracadabra.

Tradabordo a dit…

Là, enfermé, on pouvait pleurer si on voulait, se lamenter, regarder ses yeux rouges plusieurs minutes, tandis que face au reste du monde rien, face à eux, c’est-à-dire nous, notre état changeait comme par magie, en un claquement de doigts ou après un abracadabra.

Qu'en penses-tu, Julie ?

Julie Sanchez a dit…

Là, enfermé, on pouvait pleurer si on voulait, se lamenter, regarder ses yeux rouges plusieurs minutes, tandis que face au reste du monde rien, face à eux, c’est-à-dire nous, notre état changeait comme par magie, en un claquement de doigts ou après un abracadabra.

Ça me convient

Tradabordo a dit…

Là, enfermé, on pouvait pleurer si on voulait, se lamenter, regarder ses yeux rouges plusieurs minutes, tandis que face au reste du monde rien, face à eux, c’est-à-dire nous, notre état changeait comme par magie, en un claquement de doigts ou après un abracadabra.

OK.

Je mets la suite.