vendredi 8 novembre 2013

Projet Justine 2 – phrase 3

Berreaban de tal manera que Candelario, asustado, examinaba las cabras más allá del peluche del buche, por el lomo, en las pezuñas, en las orejas, en las barbas; les abría desmesuradamente los párpados tratando de adivinar qué espíritu misterioso estaría ellas viendo pasar, para ponerse tan contentas, invadidas de dicha, con ánimos danzarines aún a media noche.

Traduction temporaire :
Elles bêlaient tellement, qu'effrayé, Candelario, les examinait du pelage de leur panse à leur barbiche, en passant par leur échine, leurs sabots, leurs oreilles ; il leur ouvrait grand les paupières, cherchant à deviner quel esprit mystérieux elles voyaient passer pour être aussi contentes, rayonnantes de joie, d’humeur à danser à minuit.

6 commentaires:

Justine a dit…

Elles bêlaient tellement que Candelario, effrayé, les examinait ; du pelage de leur panse à leur barbiche en passant par leur échine, leurs sabots, leurs oreilles ; il leur ouvrait grand les paupières, cherchant à deviner quel esprit mystérieux elles voyaient passer pour être si contentes, irradiées de joie, d’humeur à danser à minuit.

Tradabordo a dit…

Elles bêlaient tellement que Candelario, effrayé [juste avant ?], les examinait ; [pourquoi ce point-virgule ?] du pelage de leur [« sur la »] panse à leur barbiche [virgule ? J'hésite] en passant par leur échine, leurs sabots, leurs oreilles ; il leur ouvrait grand les paupières, cherchant à deviner quel esprit mystérieux elles voyaient passer pour être si [ou « aussi » ?] contentes, irradiées de [c'est correct ?] joie, d’humeur à danser à minuit.

Justine a dit…

j'ai changé « rayonner de joie » apparaît dans les combinaisons de mots.


Elles bêlaient tellement qu'effrayé, Candelario, les examinait du pelage sur la panse à leur barbiche, en passant par leur échine, leurs sabots, leurs oreilles ; il leur ouvrait grand les paupières, cherchant à deviner quel esprit mystérieux elles voyaient passer pour être aussi contentes, rayonnantes de joie, d’humeur à danser à minuit.

Tradabordo a dit…

Elles bêlaient tellement qu'effrayé, [la ponctuation du début ne va pas…] Candelario, les examinait du pelage sur la [il faut un possessif à l'un des deux termes…] panse à leur barbiche, en passant par leur échine, leurs sabots, leurs oreilles ; il leur ouvrait grand les paupières, cherchant à deviner quel esprit mystérieux elles voyaient passer pour être aussi contentes, rayonnantes de joie, d’humeur à danser à minuit.

Justine a dit…

Elles bêlaient tellement, qu'effrayé, Candelario, les examinait du pelage de leur panse à leur barbiche, en passant par leur échine, leurs sabots, leurs oreilles ; il leur ouvrait grand les paupières, cherchant à deviner quel esprit mystérieux elles voyaient passer pour être aussi contentes, rayonnantes de joie, d’humeur à danser à minuit.

Tradabordo a dit…

Elles bêlaient tellement, qu'effrayé, Candelario, les examinait du pelage de leur panse à leur barbiche, en passant par leur échine, leurs sabots, leurs oreilles ; il leur ouvrait grand les paupières, cherchant à deviner quel esprit mystérieux elles voyaient passer pour être aussi contentes, rayonnantes de joie, d’humeur à danser à minuit.

OK.