María José Abia
(Espagne)
Solterona
Otro domingo. Isabel se acicala para asistir a la misa de doce. Al salir paseará por la calle Mayor y buscará a Juan con la mirada. En él tiene depositada la esperanza de acabar con el rancio celibato que amarga sus días interminables.
El cielo, premonitor del infortunio, se echa a llorar.
Traduction temporaire :
Encore un dimanche. Isabelle se pomponne pour assister à la messe de midi. En sortant, elle se promènera du côté de la Calle Mayor et cherchera Juan des yeux. En lui, elle a placé ses espoirs de mettre un terme à ce rance célibat qui lui gâche ses interminables journées.
Le ciel, annonciateur de l’infortune, se met à pleurer.
María José Abia
(Espagne)
« Vieille fille »
Encore un dimanche. Isabelle se pomponne pour assister à la messe de midi. En sortant, elle se promènera du côté de la Calle Mayor et cherchera Juan des yeux. En lui, elle a placé ses espoirs de mettre un terme à ce rance célibat qui lui gâche ses interminables journées.
Le ciel, annonciateur de l’infortune, se met à pleurer.
6 commentaires:
María José Abia (Espagne)
« Vieille fille »
Un autre dimanche. Isabelle se pomponne pour assister à la messe de midi. En sortant, elle se promènera du côté de la rue Principale et cherchera Juan des yeux. En lui, elle a placé ses espoirs d’en finir avec ce rance célibat qui lui gâche ses jours interminables.
Le ciel, annonciateur de l’infortune, se met à pleurer.
María José Abia
(Espagne)
« Vieille fille »
Un autre [ou avec « Encore un » ? Pèse le pour et le contre et tranche…] dimanche. Isabelle se pomponne pour assister à la messe de midi. En sortant, elle se promènera du côté de la rue Principale [tu ne traduis pas] et cherchera Juan des yeux. En lui, elle a placé ses espoirs d’en finir avec [ou « mettre un terme » ? Comme tu veux…] ce rance célibat qui lui gâche ses jours interminables.
Le ciel, annonciateur de l’infortune, se met à pleurer.
María José Abia
(Espagne)
« Vieille fille »
Encore un dimanche. Isabelle se pomponne pour assister à la messe de midi. En sortant, elle se promènera du côté de la rue Mayor et cherchera Juan des yeux. En lui, elle a placé ses espoirs de mettre un terme à ce rance célibat qui lui gâche ses jours interminables.
Le ciel, annonciateur de l’infortune, se met à pleurer.
María José Abia
(Espagne)
« Vieille fille »
Encore un dimanche. Isabelle se pomponne pour assister à la messe de midi. En sortant, elle se promènera du côté de la Calle Mayor et cherchera Juan des yeux. En lui, elle a placé ses espoirs de mettre un terme à ce rance célibat qui lui gâche ses jours interminables [ou « interminables jours / journées » ?].
Le ciel, annonciateur de l’infortune, se met à pleurer.
María José Abia
(Espagne)
« Vieille fille »
Encore un dimanche. Isabelle se pomponne pour assister à la messe de midi. En sortant, elle se promènera du côté de la Calle Mayor et cherchera Juan des yeux. En lui, elle a placé ses espoirs de mettre un terme à ce rance célibat qui lui gâche ses interminables journées.
Le ciel, annonciateur de l’infortune, se met à pleurer.
María José Abia
(Espagne)
« Vieille fille »
Encore un dimanche. Isabelle se pomponne pour assister à la messe de midi. En sortant, elle se promènera du côté de la Calle Mayor et cherchera Juan des yeux. En lui, elle a placé ses espoirs de mettre un terme à ce rance célibat qui lui gâche ses interminables journées.
Le ciel, annonciateur de l’infortune, se met à pleurer.
OK.
Enregistrer un commentaire