Al día siguiente despertó vestido, con una tremenda resaca que le agudizaba el sentimiento de culpa, “como si hubiera matado a alguien” lo escuchó decir a un colega de trabajo que describía cómo se sentía después de una tremenda farra, y no pudo menos que sonreír por la ocurrencia, porque lo que era un broma para otros, para él era una fatídica realidad.
Traduction temporaire :
Le lendemain, il se réveilla tout habillé, avec une affreuse gueule de bois qui renforçait son sentiment de culpabilité ; « comme si j'avais tué quelqu'un », avait expliqué l'un de ses collègues en décrivant ce qu'il ressentait après une énorme bringue. Il n'avait pu s'empêcher de sourire à cette idée, car ce qui pour d'autres était une blague, était pour lui une réalité fatidique.
Le lendemain, il se réveilla tout habillé, avec une affreuse gueule de bois qui renforçait son sentiment de culpabilité ; « comme si j'avais tué quelqu'un », avait expliqué l'un de ses collègues en décrivant ce qu'il ressentait après une énorme bringue. Il n'avait pu s'empêcher de sourire à cette idée, car ce qui pour d'autres était une blague, était pour lui une réalité fatidique.
11 commentaires:
Le lendemain, il se réveilla tout habillé, avec une affreuse gueule de bois qui accentuait son sentiment de culpabilité, « comme s'il avait tué quelqu'un », avait-il entendu raconter un collègue qui décrivait comment il se sentait après une énorme bringue, et il ne put que sourire a cette idée, car ce qui pour d'autres était une blague, était pour lui une réalité fatidique.
Le lendemain, il se réveilla tout habillé, avec une affreuse gueule de bois qui accentuait [ou « renforçait » ? Comme tu veux] son sentiment de culpabilité, « comme s'il avait tué quelqu'un », avait-il entendu raconter un collègue [correct ????? J'ai beau relire…………] qui décrivait comment il se sentait après une énorme bringue, et il ne put que sourire a cette idée, car ce qui pour d'autres était une blague, était pour lui une réalité fatidique.
Le lendemain, il se réveilla tout habillé, avec une affreuse gueule de bois qui renforçait son sentiment de culpabilité, « comme s'il avait tué quelqu'un », avait raconté un de ses collègues qui décrivait comment il se sentait après une énorme bringue, et il ne put que sourire a cette idée, car ce qui pour d'autres était une blague, était pour lui une réalité fatidique.
Le lendemain, il se réveilla tout habillé, avec une affreuse gueule de bois qui renforçait son sentiment de culpabilité, « comme s'il [« je », du coup, non ?] avait tué quelqu'un », avait raconté [est-ce le bon verbe ici ? J'hésite] un de ses collègues qui décrivait comment il se sentait après une énorme bringue, et il ne put que sourire a [grammaire] cette idée, car ce qui pour d'autres était une blague, était pour lui une réalité fatidique.
Le lendemain, il se réveilla tout habillé, avec une affreuse gueule de bois qui renforçait son sentiment de culpabilité, « comme si j'avais tué quelqu'un », avait confié l'un de ses collègues qui décrivait comment il se sentait après une énorme bringue, et il ne put que sourire à cette idée, car ce qui pour d'autres était une blague, était pour lui une réalité fatidique.
Le lendemain, il se réveilla tout habillé, avec une affreuse gueule de bois qui renforçait son sentiment de culpabilité, « comme si j'avais tué quelqu'un », avait confié [ou « expliqué » ici ?] l'un de ses collègues qui décrivait [gérondif ?] comment il se sentait après une énorme bringue, et [cheville : « lui, » ?] il ne put [temps ? J'hésite entre le passé simple et le PQP…] que sourire à cette idée, car ce qui pour d'autres était une blague, était pour lui une réalité fatidique.
Le lendemain, il se réveilla tout habillé, avec une affreuse gueule de bois qui renforçait son sentiment de culpabilité, « comme si j'avais tué quelqu'un », avait expliqué l'un de ses collègues en décrivant comment il se sentait après une énorme bringue, et lui, il n'avait pu s'empêcher de sourire à cette idée, car ce qui pour d'autres était une blague, était pour lui une réalité fatidique.
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Le lendemain, il se réveilla tout habillé, avec une affreuse gueule de bois qui renforçait son sentiment de culpabilité, [point-virgule ?] « comme si j'avais tué quelqu'un », avait expliqué l'un de ses collègues en décrivant comment [une solution pour éviter « comme » + « comment » ? Pas affreux, mais bon…] il se sentait après une énorme bringue, [pojnt ?] et lui, il n'avait pu s'empêcher de sourire à cette idée, car ce qui pour d'autres était une blague, était pour lui une réalité fatidique.
Le lendemain, il se réveilla tout habillé, avec une affreuse gueule de bois qui renforçait son sentiment de culpabilité ; « comme si j'avais tué quelqu'un », avait expliqué l'un de ses collègues en décrivant ce qu'il ressentait après une énorme bringue. Il n'avait pu s'empêcher de sourire à cette idée, car ce qui pour d'autres était une blague, était pour lui une réalité fatidique.
Le lendemain, il se réveilla tout habillé, avec une affreuse gueule de bois qui renforçait son sentiment de culpabilité ; « comme si j'avais tué quelqu'un », avait expliqué l'un de ses collègues en décrivant ce qu'il ressentait après une énorme bringue. Il n'avait pu s'empêcher de sourire à cette idée, car ce qui pour d'autres était une blague, était pour lui une réalité fatidique.
Très bien… OK.
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