samedi 9 novembre 2013

Projet Sarah – phrases 27

Al día siguiente despertó vestido, con una tremenda resaca que le agudizaba el sentimiento de culpa, “como si hubiera matado a alguien” lo escuchó decir a un colega de trabajo que describía cómo se sentía después de una tremenda farra, y no pudo menos que sonreír por la ocurrencia, porque lo que era un broma para otros, para él era una fatídica realidad.

Traduction temporaire :
Le lendemain, il se réveilla tout habillé, avec une affreuse gueule de bois qui renforçait son sentiment de culpabilité ; « comme si j'avais tué quelqu'un », avait expliqué l'un de ses collègues en décrivant ce qu'il ressentait après une énorme bringue. Il n'avait pu s'empêcher de sourire à cette idée, car ce qui pour d'autres était une blague, était pour lui une réalité fatidique.

11 commentaires:

Unknown a dit…

Le lendemain, il se réveilla tout habillé, avec une affreuse gueule de bois qui accentuait son sentiment de culpabilité, « comme s'il avait tué quelqu'un », avait-il entendu raconter un collègue qui décrivait comment il se sentait après une énorme bringue, et il ne put que sourire a cette idée, car ce qui pour d'autres était une blague, était pour lui une réalité fatidique.

Tradabordo a dit…

Le lendemain, il se réveilla tout habillé, avec une affreuse gueule de bois qui accentuait [ou « renforçait » ? Comme tu veux] son sentiment de culpabilité, « comme s'il avait tué quelqu'un », avait-il entendu raconter un collègue [correct ????? J'ai beau relire…………] qui décrivait comment il se sentait après une énorme bringue, et il ne put que sourire a cette idée, car ce qui pour d'autres était une blague, était pour lui une réalité fatidique.

Unknown a dit…

Le lendemain, il se réveilla tout habillé, avec une affreuse gueule de bois qui renforçait son sentiment de culpabilité, « comme s'il avait tué quelqu'un », avait raconté un de ses collègues qui décrivait comment il se sentait après une énorme bringue, et il ne put que sourire a cette idée, car ce qui pour d'autres était une blague, était pour lui une réalité fatidique.

Tradabordo a dit…

Le lendemain, il se réveilla tout habillé, avec une affreuse gueule de bois qui renforçait son sentiment de culpabilité, « comme s'il [« je », du coup, non ?] avait tué quelqu'un », avait raconté [est-ce le bon verbe ici ? J'hésite] un de ses collègues qui décrivait comment il se sentait après une énorme bringue, et il ne put que sourire a [grammaire] cette idée, car ce qui pour d'autres était une blague, était pour lui une réalité fatidique.

Unknown a dit…

Le lendemain, il se réveilla tout habillé, avec une affreuse gueule de bois qui renforçait son sentiment de culpabilité, « comme si j'avais tué quelqu'un », avait confié l'un de ses collègues qui décrivait comment il se sentait après une énorme bringue, et il ne put que sourire à cette idée, car ce qui pour d'autres était une blague, était pour lui une réalité fatidique.

Tradabordo a dit…

Le lendemain, il se réveilla tout habillé, avec une affreuse gueule de bois qui renforçait son sentiment de culpabilité, « comme si j'avais tué quelqu'un », avait confié [ou « expliqué » ici ?] l'un de ses collègues qui décrivait [gérondif ?] comment il se sentait après une énorme bringue, et [cheville : « lui, » ?] il ne put [temps ? J'hésite entre le passé simple et le PQP…] que sourire à cette idée, car ce qui pour d'autres était une blague, était pour lui une réalité fatidique.

Unknown a dit…

Le lendemain, il se réveilla tout habillé, avec une affreuse gueule de bois qui renforçait son sentiment de culpabilité, « comme si j'avais tué quelqu'un », avait expliqué l'un de ses collègues en décrivant comment il se sentait après une énorme bringue, et lui, il n'avait pu s'empêcher de sourire à cette idée, car ce qui pour d'autres était une blague, était pour lui une réalité fatidique.

Unknown a dit…

Je n'ai pas reçu de commentaire...

Tradabordo a dit…

Le lendemain, il se réveilla tout habillé, avec une affreuse gueule de bois qui renforçait son sentiment de culpabilité, [point-virgule ?] « comme si j'avais tué quelqu'un », avait expliqué l'un de ses collègues en décrivant comment [une solution pour éviter « comme » + « comment » ? Pas affreux, mais bon…] il se sentait après une énorme bringue, [pojnt ?] et lui, il n'avait pu s'empêcher de sourire à cette idée, car ce qui pour d'autres était une blague, était pour lui une réalité fatidique.

Unknown a dit…

Le lendemain, il se réveilla tout habillé, avec une affreuse gueule de bois qui renforçait son sentiment de culpabilité ; « comme si j'avais tué quelqu'un », avait expliqué l'un de ses collègues en décrivant ce qu'il ressentait après une énorme bringue. Il n'avait pu s'empêcher de sourire à cette idée, car ce qui pour d'autres était une blague, était pour lui une réalité fatidique.

Tradabordo a dit…

Le lendemain, il se réveilla tout habillé, avec une affreuse gueule de bois qui renforçait son sentiment de culpabilité ; « comme si j'avais tué quelqu'un », avait expliqué l'un de ses collègues en décrivant ce qu'il ressentait après une énorme bringue. Il n'avait pu s'empêcher de sourire à cette idée, car ce qui pour d'autres était une blague, était pour lui une réalité fatidique.

Très bien… OK.