jeudi 15 mai 2014

Projet Céline – phrases 123-124


Faltaba una hora, o más, para que el tren directo a Paris, llegara a colocarse en la línea. ¿No se había dado cuenta ella de eso, de que podrían haber conversado e intimado durante un largo rato, rato de angustia y de esperanza para él, rato de furia y de frialdad para ella, no se habían despedido, no se habían dicho las palabras de clichés que se dicen todos los compañeros de viaje que intiman en un trayecto de viaje con la intimidad peligrosa con que ellos lo habían hecho.

Traduction temporaire :
Il restait une heure – ou plus – avant que le train direct pour Paris entre en gare. Ne s’était-elle pas rendu compte qu’ils auraient pu discuter et sympathiser durant un long moment encore, moment d’angoisse et d’espoir pour lui, moment de colère et de froideur pour elle. Ils ne s’étaient pas dit au revoir, ils n'avaient pas prononcé les clichés que s'échangent tous les compagnons de voyage qui sympathisent durant un trajet, d'une façon dangereusement intime en ce qui les concernait.

8 commentaires:

Unknown a dit…

Il restait une heure – ou plus – pour que le train direct pour Paris entre en gare. Ne s’était-elle pas rendu compte qu’ils auraient pu discuter et sympathiser durant un long moment encore, moment d’angoisse et d’espoir pour lui, moment de furie et de froideur pour elle. Ils ne s’étaient pas dit au-revoir, ils n'avaient pas prononcé les clichés que s'échangent tous les compagnons de voyage qui sympathisent durant un trajet, avec l’intimité dangereuse avec laquelle ils l’avait fait.

Tradabordo a dit…

Il restait une heure – ou plus – pour [mal dit] que le train direct pour Paris entre en gare. Ne s’était-elle pas rendu compte [tu supprimes volontairement le « de eso » ?]

qu’ils auraient pu discuter et sympathiser durant un long moment encore, moment d’angoisse et d’espoir pour lui, moment de furie et de froideur pour elle. Ils ne s’étaient pas dit au-revoir, ils n'avaient pas prononcé les clichés que s'échangent tous les compagnons de voyage qui sympathisent durant un trajet, avec l’intimité dangereuse avec laquelle ils l’avait fait.

Unknown a dit…

Il restait une heure – ou plus – avant que le train direct pour Paris entre en gare. Ne s’était-elle pas rendu compte [tu supprimes volontairement le « de eso » ? / oui, car je trouve ça lourd comme formulation. Tu penses qu'il faut garder ?] qu’ils auraient pu discuter et sympathiser durant un long moment encore, moment d’angoisse et d’espoir pour lui, moment de furie et de froideur pour elle. Ils ne s’étaient pas dit au-revoir, ils n'avaient pas prononcé les clichés que s'échangent tous les compagnons de voyage qui sympathisent durant un trajet, avec l’intimité dangereuse avec laquelle ils l’avait fait.

Tradabordo a dit…

Il restait une heure – ou plus – avant que le train direct pour Paris entre en gare. Ne s’était-elle pas rendu compte qu’ils auraient pu discuter et sympathiser [pas plutôt dans le sens de « devenir intimes » ?] durant un long moment encore, moment d’angoisse et d’espoir pour lui, moment de furie [ou « colère » ?] et de froideur pour elle. Ils ne s’étaient pas dit au-revoir [tiret ? Vérifie], ils n'avaient pas prononcé les clichés que s'échangent tous les compagnons de voyage qui sympathisent durant un trajet, avec l’intimité dangereuse avec laquelle ils l’avait fait [la fin manque de naturel].

Unknown a dit…

Il restait une heure – ou plus – avant que le train direct pour Paris entre en gare. Ne s’était-elle pas rendu compte qu’ils auraient pu discuter et sympathiser [je pense que c'est plus dans le sens générique de "sympathiser] durant un long moment encore, moment d’angoisse et d’espoir pour lui, moment de colère et de froideur pour elle. Ils ne s’étaient pas dit au revoir, ils n'avaient pas prononcé les clichés que s'échangent tous les compagnons de voyage qui sympathisent durant un trajet, d'une façon dangereusement intime en ce qui les concerne.

Tradabordo a dit…

Il restait une heure – ou plus – avant que le train direct pour Paris entre en gare. Ne s’était-elle pas rendu compte qu’ils auraient pu discuter et sympathiser durant un long moment encore, moment d’angoisse et d’espoir pour lui, moment de colère et de froideur pour elle. Ils ne s’étaient pas dit au revoir, ils n'avaient pas prononcé les clichés que s'échangent tous les compagnons de voyage qui sympathisent durant un trajet, d'une façon dangereusement intime en ce qui les concerne [« concernait » ?].

Unknown a dit…

Il restait une heure – ou plus – avant que le train direct pour Paris entre en gare. Ne s’était-elle pas rendu compte qu’ils auraient pu discuter et sympathiser durant un long moment encore, moment d’angoisse et d’espoir pour lui, moment de colère et de froideur pour elle. Ils ne s’étaient pas dit au revoir, ils n'avaient pas prononcé les clichés que s'échangent tous les compagnons de voyage qui sympathisent durant un trajet, d'une façon dangereusement intime en ce qui les concernait.

Tradabordo a dit…

Il restait une heure – ou plus – avant que le train direct pour Paris entre en gare. Ne s’était-elle pas rendu compte qu’ils auraient pu discuter et sympathiser durant un long moment encore, moment d’angoisse et d’espoir pour lui, moment de colère et de froideur pour elle. Ils ne s’étaient pas dit au revoir, ils n'avaient pas prononcé les clichés que s'échangent tous les compagnons de voyage qui sympathisent durant un trajet, d'une façon dangereusement intime en ce qui les concernait.

OK.