jeudi 29 mai 2014

Projet Hélène 2 – phrases 42-43

La muerte, en cambio, nos exige que la imaginemos severa pero condescendiente, como si fuera una vieja institutriz plagada de virtudes que toma mucho tiempo apreciar. Finalmente nos llevamos el mismo secreto; ese que entonces, con desesperación, quisiéramos que alguien compartiera con nosotros: ¿nos veremos de nuevo alguna vez?

Traduction temporaire :
La mort, en revanche, exige que nous l’imaginions, sévère, mais bienveillante, comme une vieille institutrice pleine de vertus que l’on met longtemps à apprécier. Finalement, nous emportons avec nous le même secret ; celui que, désespérés, nous voudrions alors partager avec quelqu’un : est-ce qu’on se reverra un jour ?

4 commentaires:

Hélène a dit…

La mort, en revanche, exige que nous l’imaginions, sévère mais bienveillante, comme une vieille institutrice pleine de vertus que l’on met beaucoup de temps à apprécier. Finalement, nous emportons avec nous le même secret ; celui que, désespérés, nous voudrions alors partager avec quelqu’un : est-ce qu’on se reverra un jour ?

Tradabordo a dit…

La mort, en revanche, exige que nous l’imaginions, sévère, mais bienveillante, comme une vieille institutrice pleine de vertus que l’on met beaucoup de temps [ou simplement « longtemps » ?] à apprécier. Finalement, nous emportons avec nous le même secret ; celui que, désespérés, nous voudrions alors partager avec quelqu’un : est-ce qu’on se reverra un jour ?

Hélène a dit…

La mort, en revanche, exige que nous l’imaginions, sévère, mais bienveillante, comme une vieille institutrice pleine de vertus que l’on met longtemps à apprécier. Finalement, nous emportons avec nous le même secret ; celui que, désespérés, nous voudrions alors partager avec quelqu’un : est-ce qu’on se reverra un jour ?

Tradabordo a dit…

La mort, en revanche, exige que nous l’imaginions, sévère, mais bienveillante, comme une vieille institutrice pleine de vertus que l’on met longtemps à apprécier. Finalement, nous emportons avec nous le même secret ; celui que, désespérés, nous voudrions alors partager avec quelqu’un : est-ce qu’on se reverra un jour ?

OK.