jeudi 29 mai 2014

Projet Joana – phrases 150-151

Cuando bajaban las escaleras, abrí la ventana del pasadizo y me puse a gritar Y el cuento ¿dónde está? Dijiste que traerías un cuento, puta madre. Entré en mi cuarto y tiré la puerta, rabiando como un imbécil del que dos pituquitas de mierda se habían burlado.

Traduction temporaire :
Quand elles descendaient l'escalier, j'ouvris la fenêtre du couloir et criai : Et la nouvelle, où est-elle ? Tu m'avais dit que tu en apporterais une, putain. J'entrai dans ma chambre et claquai la porte, en colère comme un pauvre imbécile dont deux petites bourgeoises de merde s'étaient moqué.

8 commentaires:

Unknown a dit…

Quand elles descendaient l'escalier, j'ouvris la porte du couloir et me mis à crier « Et la nouvelle, où est-elle ? Tu m'avais dit que t'en apporterais une, putain. » J'entrai dans ma chambre et claquai la porte, en rageant comme un imbécile dont deux petites prétentieuses de merde s'étaient moqué.

Tradabordo a dit…

Quand elles descendaient l'escalier, j'ouvris la porte du couloir et me mis à [nécessaire ?] crier « Et la nouvelle, où est-elle ? Tu m'avais dit que t'[?]en apporterais une, putain. » J'entrai dans ma chambre et claquai la porte, en rageant [naturel ?] comme un imbécile dont deux petites prétentieuses [FS ?] de merde s'étaient moqué.

Unknown a dit…

Quand elles descendaient l'escalier, j'ouvris la porte du couloir et criai « Et la nouvelle, où est-elle ? Tu m'avais dit que tu en apporterais une, putain. » J'entrai dans ma chambre et claquai la porte, en colère comme un imbécile dont deux petites bourgeoises de merde s'étaient moqué.

Tradabordo a dit…

Quand elles descendaient l'escalier, j'ouvris la porte [FS] du couloir et criai « Et la nouvelle, où est-elle ? Tu m'avais dit que tu en apporterais une, putain. » [nécessaire d'ajouter les guillemets ?] J'entrai dans ma chambre et claquai la porte, en colère comme un imbécile dont deux petites bourgeoises de merde s'étaient moqué.

Unknown a dit…

Quand elles descendaient l'escalier, j'ouvris la fenêtre du couloir et criai : Et la nouvelle, où est-elle ? Tu m'avais dit que tu en apporterais une, putain. J'entrai dans ma chambre et claquai la porte, en colère comme un imbécile dont deux petites bourgeoises de merde s'étaient moqué.

Tradabordo a dit…

Quand elles descendaient l'escalier, j'ouvris la fenêtre du couloir et criai : Et la nouvelle, où est-elle ? Tu m'avais dit que tu en apporterais une, putain. J'entrai dans ma chambre et claquai la porte, en colère comme un [cheville : « pauvre »] imbécile dont deux petites bourgeoises de merde s'étaient moqué.

Unknown a dit…

Quand elles descendaient l'escalier, j'ouvris la fenêtre du couloir et criai : Et la nouvelle, où est-elle ? Tu m'avais dit que tu en apporterais une, putain. J'entrai dans ma chambre et claquai la porte, en colère comme un pauvre imbécile dont deux petites bourgeoises de merde s'étaient moqué.

Tradabordo a dit…

Quand elles descendaient l'escalier, j'ouvris la fenêtre du couloir et criai : Et la nouvelle, où est-elle ? Tu m'avais dit que tu en apporterais une, putain. J'entrai dans ma chambre et claquai la porte, en colère comme un pauvre imbécile dont deux petites bourgeoises de merde s'étaient moqué.

OK.