jeudi 29 mai 2014

Projet Élise 4 – phrases 25-27

En un recurso extremo se obligó a permanecer sentado aunque el puño ya se le metió en el pecho y le impulsa a avanzar hacia la nube honda y vacilante que flota frente a él.
Escucha palabras, frases aisladas que no pueden estar allí. Susurros muy antiguos. “Los recuerdos son como mariposas”, dice, “giran y giran en redondo sin ir a ningún lado”.

Traduction temporaire :
En dernier recours, il se força à rester assis, bien que le poing serre déjà dans sa poitrine et le pousse à avancer vers le nuage profond et vacillant qui flotte devant lui.  Il entend des paroles, des phrases isolées qui ne peuvent pas être ici. Des murmures très anciens : « Les souvenirs sont comme des papillons », entend-il, « ils tournent et tournent en rond sans aller nulle part. »

4 commentaires:

Unknown a dit…

Dans un dernier recours, il se força à rester assis bien que le poing se soit déjà mis dans sa poitrine et le pousse à avancer vers le nuage profond et vacillant qui flotte devant lui.
Il entend des paroles, des phrases lointaines qui ne peuvent pas être ici. Des murmures très anciens : "Les souvenirs sont comme des papillons, entend-il, ils tournent et tournent en rond sans aller nulle part."

Tradabordo a dit…

Dans un dernier recours [naturel en français ?], il se força à rester assis [virgule ? J'hésite] bien que le poing se soit déjà mis [naturel et clair ?] dans sa poitrine et le pousse à avancer vers le nuage profond et vacillant qui flotte devant lui.
Il entend des paroles, des phrases lointaines [FS ?] qui ne peuvent pas être ici. Des murmures très anciens : "Les souvenirs sont comme des papillons [guillemets], entend-il, [idem] ils tournent et tournent en rond sans aller nulle part."

Unknown a dit…

En dernier recours, il se força à rester assis, bien que le poing serre déjà dans sa poitrine et le pousse à avancer vers le nuage profond et vacillant qui flotte devant lui.
Il entend des paroles, des phrases isolées qui ne peuvent pas être ici. Des murmures très anciens : « Les souvenirs sont comme des papillons », entend-il, « ils tournent et tournent en rond sans aller nulle part. »

Tradabordo a dit…

En dernier recours, il se força à rester assis, bien que le poing serre déjà dans sa poitrine et le pousse à avancer vers le nuage profond et vacillant qui flotte devant lui.
Il entend des paroles, des phrases isolées qui ne peuvent pas être ici. Des murmures très anciens : « Les souvenirs sont comme des papillons », entend-il, « ils tournent et tournent en rond sans aller nulle part. »

OK.